Histoire des Français, Volume 4 |
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... guerre civile et la guerre étrangère . L'Assemblée ne s'était encore occupée des finances qu'ac- cidentellement ; elle avait autorisé le ministère à faire deux emprunts , de 30 et de 80 millions ; mais ces emprunts n'a- vaient pas été ...
... guerre civile et la guerre étrangère . L'Assemblée ne s'était encore occupée des finances qu'ac- cidentellement ; elle avait autorisé le ministère à faire deux emprunts , de 30 et de 80 millions ; mais ces emprunts n'a- vaient pas été ...
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... guerre civile , les constitutionnels en la discréditant par leurs mœurs et leurs doctrines . Ce fut l'incrédulité qui y gagna , elle qui n'avait encore que faiblement corrompu la masse populaire . Le peuple préféra sa foi nouvelle à sa ...
... guerre civile , les constitutionnels en la discréditant par leurs mœurs et leurs doctrines . Ce fut l'incrédulité qui y gagna , elle qui n'avait encore que faiblement corrompu la masse populaire . Le peuple préféra sa foi nouvelle à sa ...
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Théophile Sébastien Lavallée. celle du clergé devait engendrer la guerre civile ; mais celle de la noblesse , dans laquelle se réunirent toutes les autres , engen- dra la guerre étrangère . A l'organisation départementale , la ...
Théophile Sébastien Lavallée. celle du clergé devait engendrer la guerre civile ; mais celle de la noblesse , dans laquelle se réunirent toutes les autres , engen- dra la guerre étrangère . A l'organisation départementale , la ...
Page 38
... guerre de rois à rois , leur diplomatie d'équilibre , leur politique d'intérêts , seule guerre , scule diplomatie , seule politique que l'on connût depuis le traité de Westphalie . Ils ne sentaient pas que les idées révolu- tionnaires ...
... guerre de rois à rois , leur diplomatie d'équilibre , leur politique d'intérêts , seule guerre , scule diplomatie , seule politique que l'on connût depuis le traité de Westphalie . Ils ne sentaient pas que les idées révolu- tionnaires ...
Page 39
... guerre d'Orient , lorsque Joseph II mourut [ 1790 , 22 févr . ] . Son successeur , Léopold , avait mieux compris la situation politique : il montra à Frédéric - Guillaume le nouvel et commun ennemi qui s'était dressé derrière eux ...
... guerre d'Orient , lorsque Joseph II mourut [ 1790 , 22 févr . ] . Son successeur , Léopold , avait mieux compris la situation politique : il montra à Frédéric - Guillaume le nouvel et commun ennemi qui s'était dressé derrière eux ...
Common terms and phrases
allait alliés Alpes Anglais août armée armées du Rhin armes arriva assignats attaque Augereau Autrichiens avaient bataille Bernadotte Blücher Bonaparte c'était canons cent mille hommes centre Clairfayt coalition combat comité commandement conseil conspiration constitution consul Convention Danton Danube Davoust déclara décret députés devant Directoire dix mille hommes Dumouriez émigrés enfin ennemis envoya Fayette force française garde nationale gauche général Gironde Girondins gouvernement guerre Hollande insurgés Jacobins jeter juin l'Adige l'Angleterre l'archiduc l'armée l'Assemblée l'Autriche l'empereur l'ennemi l'Europe laissa Lannes liberté Louis Louis XVI marche Marmont Masséna menaces ment millions ministres monarchie Moreau Murat n'avait n'était Naples Napoléon nation paix passa pendant peuple Pichegru Piémont porta position prince Prusse Prussiens quarante mille républicains république resta retraite révolution révolutionnaire Rhin Robespierre route royalistes Russes s'empara s'était sauver sections seul soldats Soult terreur tion trente mille tribunal troupes vaisseaux victoire vingt mille hommes vingt-cinq mille voulait
Popular passages
Page 72 - ... vous n'avez pas rempli le vœu de la Constitution ! Elle est peut-être renversée ; mais vous ne recueillerez pas le fruit de votre parjure ! Vous ne vous êtes point opposé par un acte formel aux victoires qui se remportaient en votre nom sur la liberté ; mais vous ne recueillerez point le fruit de ces indignes triomphes ! Vous n'êtes plus rien pour cette Constitution , que vous avez si indignement violée , pour ce peuple , que vous avez si lâchement trahi ! ( Applaudissemens réitérés.
Page 182 - III. 11 met au premier rang de ces devoirs de détester la mauvaise foi et la tyrannie, de punir les tyrans et les traîtres, de secourir les...
Page 583 - En commençant la guerre pour soutenir l'indépendance nationale, je comptais sur la réunion de tous les efforts, de toutes les volontés, et le concours de toutes les autorités nationales : j'étais fondé à en espérer le succès, et j'avais bravé toutes les déclarations des puissances contre moi. « Les circonstances me paraissent changées.
Page 189 - Je me bornerai à dire que depuis plus de six semaines la nature et la force de la calomnie, l'impuissance de faire le bien et d'arrêter le mal, m'ont forcé à abandonner absolument mes fonctions de membre du comité de salut public, et je jure qu'en cela même, je n'ai consulté que ma raison et la patrie?
Page 356 - J'ai fait arrêter et juger le duc d'Enghien, parce que cela était nécessaire à la sûreté, à l'intérêt et à l'honneur du peuple français, lorsque le comte d'Artois entretenait, de son aveu, soixante assassins à Paris. Dans une semblable circonstance, j'agirais encore de même.
Page 480 - Vous devez comprendre que je ne me sépare pas de mes prédécesseurs, et que depuis Clovis jusqu'au Comité...
Page 164 - Fuyait-on au contraire la popularité, et se tenait-on au coin de son feu, cette vie retirée vous avait fait remarquer, vous avait donné de la considération. — Suspect. « Etiez-vous riche, il y avait un péril imminent que le peuple ne fût corrompu par vos largesses.
Page 233 - Je vais vous conduire dans les plus fertiles plaines du monde; vous y trouverez de grandes villes, de riches provinces; vous y trouverez honneur, gloire et richesses. Soldats d'Italie, manqueriez-vous de courage?
Page 479 - N'oubliez jamais , dans quelque position que vous placent ma politique et l'intérêt de mon Empire , que vos premiers devoirs sont envers moi , vos seconds envers la France : tous vos autres devoirs, même ceux envers les peuples que je pourrais vous confier, ne viennent qu'après.
Page 575 - Les puissances alliées ayant proclamé que l'empereur Napoléon était le seul obstacle au rétablissement de la paix en Europe, l'empereur Napoléon, fidèle à son serment, déclare qu'il renonce, pour lui et ses héritiers, aux trônes de France et d'Italie, et qu'il n'est aucun sacrifice personnel, même celui de la vie, qu'il ne soit prêt à faire à l'intérêt de la France.