Histoire des Français, Volume 4 |
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... ministres ne parlèrent que de la si- tuation du trésor . Le fait seul de la convocation des états était une révolution ; le gouvernement ne parut pas s'en douter : les députés n'apparaissaient à ses yeux que comme des contribua- bles et ...
... ministres ne parlèrent que de la si- tuation du trésor . Le fait seul de la convocation des états était une révolution ; le gouvernement ne parut pas s'en douter : les députés n'apparaissaient à ses yeux que comme des contribua- bles et ...
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... ministre était si populaire que ce renvoi eût été un engagement prématuré d'hostilité , et on le garda pour couvrir de sa présence le complot formé . Lorsque la cour fut décidée à commencer ses vengeances , Necker reçut l'ordre de se ...
... ministre était si populaire que ce renvoi eût été un engagement prématuré d'hostilité , et on le garda pour couvrir de sa présence le complot formé . Lorsque la cour fut décidée à commencer ses vengeances , Necker reçut l'ordre de se ...
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... ministres et conseillers du roi , « de quelque rang et état qu'ils pussent être , » étaient responsables de toute entreprise contraire aux droits de la na- tion et aux décrets de l'Assemblée , de tous les malheurs pré- sents et de ceux ...
... ministres et conseillers du roi , « de quelque rang et état qu'ils pussent être , » étaient responsables de toute entreprise contraire aux droits de la na- tion et aux décrets de l'Assemblée , de tous les malheurs pré- sents et de ceux ...
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... ministres ; et les ordonnances royales , pour être obéies , devaient passer par la bouche de l'Assemblée . ― - SYSTÈME ÉLEC- § II . DIVISION DE la France en dépARTEMENTS . TORAL . Cependant la constitution s'élevait peu à peu sur le ...
... ministres ; et les ordonnances royales , pour être obéies , devaient passer par la bouche de l'Assemblée . ― - SYSTÈME ÉLEC- § II . DIVISION DE la France en dépARTEMENTS . TORAL . Cependant la constitution s'élevait peu à peu sur le ...
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... ministres , du soin des hôpitaux , était en droit de reprendre les propriétés ecclésiastiques , et de les vendre pour éteindre la dette de l'État , combler le déficit , rembourser les charges judiciaires , abolir la gabelle , etc ...
... ministres , du soin des hôpitaux , était en droit de reprendre les propriétés ecclésiastiques , et de les vendre pour éteindre la dette de l'État , combler le déficit , rembourser les charges judiciaires , abolir la gabelle , etc ...
Common terms and phrases
allait alliés Alpes Anglais août armée armées du Rhin armes arriva assignats attaque Augereau Autrichiens avaient bataille Bernadotte Blücher Bonaparte c'était canons cent mille hommes centre Clairfayt coalition combat comité commandement conseil conspiration constitution consul Convention Danton Danube Davoust déclara décret députés devant Directoire dix mille hommes Dumouriez émigrés enfin ennemis envoya Fayette force française garde nationale gauche général Gironde Girondins gouvernement guerre Hollande insurgés Jacobins jeter juin l'Adige l'Angleterre l'archiduc l'armée l'Assemblée l'Autriche l'empereur l'ennemi l'Europe laissa Lannes liberté Louis Louis XVI marche Marmont Masséna menaces ment millions ministres monarchie Moreau Murat n'avait n'était Naples Napoléon nation paix passa pendant peuple Pichegru Piémont porta position prince Prusse Prussiens quarante mille républicains république resta retraite révolution révolutionnaire Rhin Robespierre route royalistes Russes s'empara s'était sauver sections seul soldats Soult terreur tion trente mille tribunal troupes vaisseaux victoire vingt mille hommes vingt-cinq mille voulait
Popular passages
Page 72 - ... vous n'avez pas rempli le vœu de la Constitution ! Elle est peut-être renversée ; mais vous ne recueillerez pas le fruit de votre parjure ! Vous ne vous êtes point opposé par un acte formel aux victoires qui se remportaient en votre nom sur la liberté ; mais vous ne recueillerez point le fruit de ces indignes triomphes ! Vous n'êtes plus rien pour cette Constitution , que vous avez si indignement violée , pour ce peuple , que vous avez si lâchement trahi ! ( Applaudissemens réitérés.
Page 182 - III. 11 met au premier rang de ces devoirs de détester la mauvaise foi et la tyrannie, de punir les tyrans et les traîtres, de secourir les...
Page 583 - En commençant la guerre pour soutenir l'indépendance nationale, je comptais sur la réunion de tous les efforts, de toutes les volontés, et le concours de toutes les autorités nationales : j'étais fondé à en espérer le succès, et j'avais bravé toutes les déclarations des puissances contre moi. « Les circonstances me paraissent changées.
Page 189 - Je me bornerai à dire que depuis plus de six semaines la nature et la force de la calomnie, l'impuissance de faire le bien et d'arrêter le mal, m'ont forcé à abandonner absolument mes fonctions de membre du comité de salut public, et je jure qu'en cela même, je n'ai consulté que ma raison et la patrie?
Page 356 - J'ai fait arrêter et juger le duc d'Enghien, parce que cela était nécessaire à la sûreté, à l'intérêt et à l'honneur du peuple français, lorsque le comte d'Artois entretenait, de son aveu, soixante assassins à Paris. Dans une semblable circonstance, j'agirais encore de même.
Page 480 - Vous devez comprendre que je ne me sépare pas de mes prédécesseurs, et que depuis Clovis jusqu'au Comité...
Page 164 - Fuyait-on au contraire la popularité, et se tenait-on au coin de son feu, cette vie retirée vous avait fait remarquer, vous avait donné de la considération. — Suspect. « Etiez-vous riche, il y avait un péril imminent que le peuple ne fût corrompu par vos largesses.
Page 233 - Je vais vous conduire dans les plus fertiles plaines du monde; vous y trouverez de grandes villes, de riches provinces; vous y trouverez honneur, gloire et richesses. Soldats d'Italie, manqueriez-vous de courage?
Page 479 - N'oubliez jamais , dans quelque position que vous placent ma politique et l'intérêt de mon Empire , que vos premiers devoirs sont envers moi , vos seconds envers la France : tous vos autres devoirs, même ceux envers les peuples que je pourrais vous confier, ne viennent qu'après.
Page 575 - Les puissances alliées ayant proclamé que l'empereur Napoléon était le seul obstacle au rétablissement de la paix en Europe, l'empereur Napoléon, fidèle à son serment, déclare qu'il renonce, pour lui et ses héritiers, aux trônes de France et d'Italie, et qu'il n'est aucun sacrifice personnel, même celui de la vie, qu'il ne soit prêt à faire à l'intérêt de la France.