Petite encyclopédie poétique; ou, Choix de poésies dans tous les genres, Volume 7Capelle et Cie., 1804 - French poetry |
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Page 154
... baisers ; les Muses des concerts : Je ne veux point mourir encore . Ainsi , triste et captif , ma lyre toutefois S'éveillait , écoutant ces plaintes , cette voix , Ces vœux d'une jeune captive , Et , secouant le faix de mes jours ...
... baisers ; les Muses des concerts : Je ne veux point mourir encore . Ainsi , triste et captif , ma lyre toutefois S'éveillait , écoutant ces plaintes , cette voix , Ces vœux d'une jeune captive , Et , secouant le faix de mes jours ...
Page 235
... baisers pour un gage , Pour deux baisers perdre son cœur ? La gloire de Lise est complette ; Je sens ma perte chaque jour : Chaque jour j'acquitte ma dette Sans que Lise paie à son tour . C'est mauvaise volonté pure ; Peut - elle se le ...
... baisers pour un gage , Pour deux baisers perdre son cœur ? La gloire de Lise est complette ; Je sens ma perte chaque jour : Chaque jour j'acquitte ma dette Sans que Lise paie à son tour . C'est mauvaise volonté pure ; Peut - elle se le ...
Page 236
... baisers sont d'un grand produit ; Mille pour un sont le salaire De vingt - quatre heures de crédit . Je laisse dormir ma créance , Et je m'applaudis mille fois En comptant l'intérêt immense Que doit Lise depuis six mois . Bien que mon ...
... baisers sont d'un grand produit ; Mille pour un sont le salaire De vingt - quatre heures de crédit . Je laisse dormir ma créance , Et je m'applaudis mille fois En comptant l'intérêt immense Que doit Lise depuis six mois . Bien que mon ...
Page 244
... baisers annonce - moi Le retour de l'Aurore ; Le soir , pour gage de ta foi , Donne - m'en cent encore . Mais lorsque le dieu des pavots Etend son voile sombre , Qu'alors , sans craindre mes rivaux , Tes baisers soient sans nombre ...
... baisers annonce - moi Le retour de l'Aurore ; Le soir , pour gage de ta foi , Donne - m'en cent encore . Mais lorsque le dieu des pavots Etend son voile sombre , Qu'alors , sans craindre mes rivaux , Tes baisers soient sans nombre ...
Page 247
... baisers du Zéphyr , Reine de l'empire de Flore , Hâte - toi de t'épanouir . Que dis - je ? hélas ! diffère encore , Diffère un moment de t'ouvrir : L'instant qui doit te faire éclore Est celui qui doit te flétrir . Themire est une fleur ...
... baisers du Zéphyr , Reine de l'empire de Flore , Hâte - toi de t'épanouir . Que dis - je ? hélas ! diffère encore , Diffère un moment de t'ouvrir : L'instant qui doit te faire éclore Est celui qui doit te flétrir . Themire est une fleur ...
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Common terms and phrases
ailes airs amans amant Amour Apollon armes astres audace autels Bacchus baisers beau beauté Bientôt bords bravant brillant brûle Catulle céleste cendre Cérès chante charmes ciel cieux cœur courroux Cybèle Cythère Danaé déesse délire desirs Dieu dieux divin douce doux Eglé enfant Epicure éternel Etna Euryte feux fils flambeau flamme fleurs flots foudre frappe front fureur gloire Graces guerriers héros heureux immortelle jaloux jamais jour l'abyme l'ame l'Amour l'Aurore l'homme l'ode l'onde l'or l'univers laisse lauriers LEBRUN lois lyre mains monstre mort mortels Muses nature Neptune neuf sœurs nymphes ODES ombre palmes peuples Pindare plaisir plaisirs pleurs Polymnie ravis rivaux rois rose ROUSSEAU sage seul siècles sœurs soleil sombre sommeil sort souffle souffle des dieux sourire Stésichore sublime temple tems terre terrible Thémire Tibulle Tithon tombeau tonnerre trépas triomphe trône tyrans vainqueur vaisseaux vaste vengeur Vénus vois Vois le Soleil voix volage vole yeux
Popular passages
Page 32 - Mais elle était du monde où les plus belles choses Ont le pire destin ; Et rose elle a vécu ce que vivent les roses, L'espace d'un matin.
Page 153 - J'ai passé les premiers à peine. Au banquet de la vie à peine commencé Un instant seulement mes lèvres ont pressé La coupe en mes mains encor pleine. Je ne suis qu'au printemps , je veux voir la moisson, Et , comme le soleil , de saison en saison , Je veux achever mon année. Brillante sur ma tige, et l'honneur du jardin, Je n'ai vu luire encor que les feux du matin ; Je veux achever ma journée.
Page 153 - Mon beau voyage encore est si loin de sa fin! Je pars, et des ormeaux qui bordent le chemin J'ai passé les premiers à peine. Au banquet de la vie à peine commencé, Un instant seulement mes lèvres ont pressé La coupe en mes mains encor pleine.
Page 152 - S'il est des jours amers, il en est de si doux! Hélas! quel miel jamais n'a laissé de dégoûts? Quelle mer n'a point de tempête?
Page 77 - Les grandes vérités que je vais révéler. " L'homme en sa propre force a mis sa confiance ; Ivre de ses grandeurs et de son opulence , L'éclat de sa fortune enfle sa vanité. Mais , ô moment terrible , ô jour épouvantable , Où la mort saisira ce fortuné coupable , Tout chargé des liens de son iniquité! Que deviendront alors , répondez , grands du monde , Que deviendront ces biens où votre espoir se fonde , Et dont vous étalez l'orgueilleuse moisson...
Page 36 - Où l'Hèbre effrayé dans son onde Reçut ses membres dispersés, Le Thrace, errant sur les montagnes, Remplit les bois et les campagnes Du cri perçant de ses douleurs ; Les champs de l'air en retentirent, Et dans les antres qui gémirent Le lion répandit des pleurs.
Page 21 - C'est Dieu qui nous fait vivre, C'est Dieu qu'il faut aimer. En vain, pour satisfaire à nos lâches envies, Nous passons près des rois tout le temps de nos vies A souffrir des mépris et ployer les genoux : Ce qu'ils peuvent n'est rien ; ils sont comme nous sommes, Véritablement hommes, Et meurent comme nous.
Page 210 - Je suis vaincu du temps, je cède à ses outrages; Mon esprit seulement, exempt de sa rigueur, A de quoi témoigner en ses derniers ouvrages Sa première vigueur. Les puissantes faveurs dont Parnasse m'honore Non loin de mon berceau commencèrent leur cours ; Je les possédai jeune, et les possède encore A la fin de mes jours.
Page 35 - La mort a des rigueurs à nulle autre pareilles ; On a beau la prier, La cruelle qu'elle est se bouche les oreilles , Et nous laisse crier. Le pauvre en sa cabane , où le chaume le couvre , Est sujet à ses lois ; Et la garde qui veille aux barrières du Louvre N'en défend pas nos rois. De murmurer contre elle, et perdre patience, II est mal à propos j Vouloir ce que Dieu veut est la seule science Qui nous met en repos.
Page 207 - Certes, ou je me trompe, ou déjà la victoire, Qui son plus grand honneur de tes palmes attend, Est aux bords de Charente en son habit de gloire, Pour te rendre content. Je la vois qui t'appelle, et qui semble te dire : « Roi, le plus grand des rois, et qui m'est le plus cher, Si tu veux que je t'aide à sauver ton empire, II est temps de marcher.