Bulletin de la Société d'études historiques, scientifiques, artistiques, et littéraires des Haute-Alpes

Front Cover
 

Other editions - View all

Common terms and phrases

Popular passages

Page 327 - Je jure haine à la royauté et à » l'anarchie, attachement et fidélité à la République et » à la constitution de l'an III.
Page 86 - Procès-verbal de la célébration de l'anniversaire de la juste « punition du dernier roi des Français et de la déclaration d'atta...
Page 293 - Cette coupe consiste en une vasque supportée par un palmier autour duquel sont groupées deux figurines représentant la Catalogne et la Provence qui se donnent le bras.
Page 280 - Tout ce qui est grand, tout ce qui est beau, tout ce qui est bon, tout ce qui est juste, est puissamment protégé par l'Empereur.
Page 100 - Mélanges littéraires , ou pièces en prose et en vers lues dans les séances de la Société d'émulation des Hautes-Alpes , depuis le \ 5 décembre 1 802 , époque de sa fondation , jusqu'à la séance du 16 août 1807. Gap, J. Allier, 1807, in-8
Page 93 - ... à l'auteur du meilleur ouvrage, en forme de dictionnaire, contenant les locutions ou expressions vicieuses usitées dans le département des Hautes-Alpes, soit contre la langue française, soit contre la prononciation, avec les corrections de ces mêmes fautes ; — etc.).
Page 285 - L'amo, tambèn, a soun ivèr: La pampo dóu cor se despueio, E di jour que la flour se cueio, Rèsto rèn qu'un remembre fèr. . Au daut, pamens, di gràndi pènto, La sapino, eterno jouvènto, Verdejo encaro sout la nèu. Ansinto lou- cendrun de l'amo • *" Gardo un recaliéu riserèu Tant que rèsto un cor que nous amo.
Page 280 - Carpates lointaines. € Les populations latines de l'Orient vous écoutent et vous saluent par ma voix; elles admirent votre œuvre, elles partagent votre enthousiasme et elles sont fières de concourir avec vous à l'éclosion de la grande idée latine qui renferme...
Page 121 - Lépeaux, la Convention déclare que tout peuple qui voudrait être libre trouverait en elle appui, fraternité.
Page 110 - ... tous l'enthousiasme patriotique de l'époque, car on voit, en 1793, le citoyen Duchadoz, officier de santé, offrir 500 livres pour les dépenses des fêtes décadaires ; après la chute de Robespierre, Duchadoz devint syndic des médecins de Grenoble et médecin de l'Hôpital ; enfin, en 1797, il fut appelé à donner ses soins au pape Pie VI, lors de son passage à Grenoble; il le suivit jusqu'à Valence et resta près de lui jusqu'à la mort de son client (4). L'importance reconnue des fonctions...

Bibliographic information