Œuvres complètes, Volume 6 |
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acte alliés Anglois auroient auroit avoient avoit cède Charles XII commerçans commerce compagnie d'Ostende conclu consentement contractans cour de Madrid cour de Vienne czar Danemarck déclaration denrées devoit duc de Holstein duc de Savoie duché engagemens ennemis Espagne Espagnols établi états états-généraux étoient étoit faisoit falloit forces François garantie gouvernement guerre Haye Hollandois Holstein Indes l'Angleterre l'empereur Charles l'empire l'Europe l'isle loix Louis XIV maison d'Autriche maison de Hanover maison de Savoie majesté marchandises ministres n'avoit n'étoit nation négociation paix Pays-Bas peuples Philippe politique Portugal possède pourroient pourront pouvoit prince privilèges provinces Provinces-Unies Prusse puissances quadruple alliance renonce république richesses royaume Russie Ryswick secours sera seront Sleswick succession Suède Suédois sujets tems Traité d'Ut Traité d'Utrecht Traité de Bade Traité de Munster Traité de Neustadt traité de partage Traité de Rysv traité de Ryswick Traité de Stockholm Traité de Turin Traité de Vienne trône Unies Utrecht vaisseaux villes anséatiques
Popular passages
Page 193 - Suéde , même avant la réduction du fief de Kexholm , sous la domination du roi de Suède. Ces anciennes limites s'étendent du côté du Nord à huit lieues , de-là , elles vont dans une ligne diamétrale , au travers du fief de Kexholm , jusqu'à...
Page 96 - ... est arbitraire. Ce n'est pas pour la famille régnante que l'ordre de succession. est établi, mais parce qu'il est de l'intérêt de l'Etat qu'il y ait une famille régnante.
Page 176 - C'est-à-dire, que jamais homme ne fut plus propre à être le fléau de la nation qu'il gouverne. Ce fut donc inutilement que le roi d'Angleterre , aussi passionné pour faire des traités que le roi de Suède pour faire la guerre, tenta de pacifier- le Nord.
Page 118 - Portugal tous les droits qu'elle pourroit avoir sur les terres appelées du Cap du Nord, situées entre la rivière des Amazones et celle de Japoc ou de Vincent Pinson.
Page 86 - France par la force des armes, faisant ou excitant une guerre offensive ou défensive, je veux, dès à présent comme alors, qu'elle soit jugée et déclarée pour illicite , injuste , mal entreprise , et pour violence , invasion et usurpation faite contre la raison et contre la conscience ; et qu'au contraire...
Page 63 - J'aurais accepté, pour le rétablir, des conditions bien opposées à la sûreté de mes provinces frontières ; mais plus j'ai témoigné de facilité et d'envie de dissiper les ombrages que mes ennemis affectent de conserver de ma puissance et de mes desseins, plus ils ont multiplié leurs prétentions; en sorte qu'ajoutant par degrés de nouvelles demandes aux premières...
Page 92 - Saint-Jean dans sa réponse à Torcy , que vous tenez en France qu'il n'ya que Dieu seul qui puisse abolir la loi sur laquelle votre droit de succession est fondé ; mais vous nous permettrez aussi de croire, en Angleterre, qu'un prince peut se départir de ses droits par une cession volontaire ; et que celui en faveur de qui il auroit fait la renonciation...
Page 64 - ... de mes provinces frontières. Je passe sous silence les insinuations qu'ils m'ont faites de joindre mes forces à celles de la ligue, et de contraindre le roi mon petit-fils à descendre du trône, s'il ne consentoit pas volontairement à vivre désormais sans États et à se réduire à la condition d'un simple particulier.
Page 146 - ... l'Angleterre ne douta plus qu'elle ne fût menacée de la guerre , s'il est vrai, comme on l'a publié, que Riperda , étonné de son élévation , prévît sa disgrace ; et que , voulant se ménager Une retraite à Londres , il eût trahi son maître , et révélé aux Anglais le secret des traités qu'il avoit conclus. Quoiqu'il en soit , la cour de Vienne et l'Espagne avoient fait un troisième traité d alliance défensive qu'elles tenoient secret.
Page 330 - ... point d'état en Europe qui fasse un commerce aussi considérable que l'Angleterre , et j'en conclus qu'il est de l'intérêt des Anglais d'inviter les autres peuples à donner au commerce la plus grande liberté. Il faut même remarquer avec l'auteur que je viens de citer, que l'Angleterre est d'autant plus exposée aux pirateries de ses ennemis , que son commerce intérieur n'en est pas même à l'abri.