Biographie nouvelle des contemporains [1787-1820].Dufour, 1827 |
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... on le revêtit du commandément géné- ral des forces américaines , et il conserva le ministère de la guerre jusqu'à la paix ; alors il reprit le département des affaires étrangè- res , qu'il ne remit qu'en 1817 . Ses concitoyens 6 MON MON.
... on le revêtit du commandément géné- ral des forces américaines , et il conserva le ministère de la guerre jusqu'à la paix ; alors il reprit le département des affaires étrangè- res , qu'il ne remit qu'en 1817 . Ses concitoyens 6 MON MON.
Page 20
... jusqu'à la dernière extrémité , ri- valisèrent de zèle et d'efforts , et supportèrent avec constance pen- dant huit mois toutes les priva- tions et tous les dangers de ce siége . De retour en France sur pa- role , par suite de la ...
... jusqu'à la dernière extrémité , ri- valisèrent de zèle et d'efforts , et supportèrent avec constance pen- dant huit mois toutes les priva- tions et tous les dangers de ce siége . De retour en France sur pa- role , par suite de la ...
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... jusqu'à l'époque de son entière dissolution , 1824. Il a très - rarement occupé la tribune . en MONTBRUN ( LE COMTE DE ) , gé- néral de division , commandant de la légion - d'honneur . Ses premiers pas dans la carrière des armes fu ...
... jusqu'à l'époque de son entière dissolution , 1824. Il a très - rarement occupé la tribune . en MONTBRUN ( LE COMTE DE ) , gé- néral de division , commandant de la légion - d'honneur . Ses premiers pas dans la carrière des armes fu ...
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... jusqu'à sa sortie de la chambre en 1822 , par suite du renouvel- lement de la 1a série . MONTCHENU ( LE COMTE CLAU- DE - MARIE - HENRI DE ) , maréchal - de- camp , nó en 1757 , entra au ser- vice , quitta le territoire français au ...
... jusqu'à sa sortie de la chambre en 1822 , par suite du renouvel- lement de la 1a série . MONTCHENU ( LE COMTE CLAU- DE - MARIE - HENRI DE ) , maréchal - de- camp , nó en 1757 , entra au ser- vice , quitta le territoire français au ...
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... jusqu'à l'épo- que de la révolution , firent remar- » quer en lui des talens distingués . Nommé , en 1789 , député aux é- tats - généraux par le clergé de Pa- ris , malgré son dévouement aux deux premiers ordres , ce fut a- vec une ...
... jusqu'à l'épo- que de la révolution , firent remar- » quer en lui des talens distingués . Nommé , en 1789 , député aux é- tats - généraux par le clergé de Pa- ris , malgré son dévouement aux deux premiers ordres , ce fut a- vec une ...
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Common terms and phrases
alliés anglais armée Augereau Autrichiens avaient bataille Bernadotte bientôt Blücher çais campagne capitale cavalerie chef chevalier de Saint-Louis comman commandement comte conseil conseil des cinq-cents corps corps-législatif dant département députés devait devint donna Dresde duc de Vicence ennemis Erfurt Essonne événemens famille force fortune Fran garde général gloire gouvernement grade guerre hommes Joachim jour l'Angleterre l'ar l'armée française l'Autriche l'em l'ennemi l'Europe légion-d'honneur léon Louis XVI maréchal maréchal Marmont maréchal Ney Marmont mars mée membre ment militaire ministre mois Moreau Morellet Moskou mourut Mozart Murat Naples Napo Napoléon naquit nation néral nommé obtint ordres ouvrage paix passa patrie pendant pereur poléon politique premier prince prince de Schwarzenberg prit Prusse Prussiens publié reçut rent retraite reur révolution royale Russie s'était Schwarzenberg seul sion soldats Soult souverains succès tait talens teur tion traité trône troupes vait victoire
Popular passages
Page 512 - Franche-Comté et de la Bourgogne, et la position que j'avais prise sur les derrières de l'armée ennemie en la séparant de ses magasins, de ses parcs de réserve, de ses convois et de tous ses équipages, l'avaient placée dans une situation désespérée. , Les Français ne furent jamais sur le point d'être plus puissants, et l'élite de l'armée ennemie était...
Page 549 - En commençant la guerre pour soutenir l'indépendance nationale , je comptais sur la réunion de tous les efforts , de toutes les volontés , et le concours de toutes les autorités nationales; j'étais fondé à en espérer le succès , et j'avais bravé toutes les déclarations des puissances contre moi. Les circonstances me paraissent changées. Je m'offre en sacrifice à la haine des ennemis de la France. Puissent-ils être sincères dans leurs déclarations, et n'en avoir réellement voulu...
Page 527 - Monsieur mon frère, vous aurez appris dans le cours du mois dernier, mon retour sur les côtes de France, mon entrée à Paris et le départ de la famille des Bourbons.
Page 395 - Russie est entraînée par la fatalité ; ses destins doivent s'accomplir. Nous croirait-elle donc dégénérés ? Ne serions-nous donc plus les soldats d'Austerlitz ? Elle nous place entre le déshonneur et la guerre : le choix ne saurait être douteux. Marchons donc en avant : passons le Niémen, portons la guerre sur son territoire. La seconde guerre de Pologne sera glorieuse aux armes françaises, comme la première.
Page 559 - Je proteste solennellement ici, à la face du ciel et des hommes, contre la violence qui m'est faite, contre la violation de mes droits les plus sacrés, en disposant par la force de ma personne et de ma liberté. Je suis venu librement à bord du Bellérophon. Je ne suis pas prisonnier, je suis l'hôte de l'Angleterre.
Page 535 - Nos constitutions sont éparses : une de nos plus importantes occupations sera de les réunir dans un seul cadre, et de les coordonner dans une seule pensée. Ce travail recommandera l'époque actuelle aux générations futures. J'ambitionne de voir la France jouir de toute la liberté possible ; je dis possible, parce que l'anarchie ramène toujours au gouvernement absolu.
Page 439 - J'ai plusieurs fois donné la paix aux nations, lorsqu'elles avaient tout perdu. D'une part, de mes conquêtes j'ai élevé des trônes pour des rois qui m'ont abandonné. » J'avais conçu et exécuté de grands desseins pour la prospérité et le bonheur du monde.
Page 539 - Les insensés ! un moment de prospérité les aveugle. L'oppression et l'humiliation du peuple Français sont hors de leur pouvoir ! S'ils entrent en France , ils y trouveront leur tombeau.
Page 536 - crise où nous sommes engagés est forte. N'imitons pas « l'exemple du Bas-Empire, qui, pressé de tous les côtés par « les Barbares, se rendit la risée de la postérité en s'occu« pant de discussions abstraites au moment où le bélier « brisait les portes de la ville.
Page 528 - Une plus belle arène est aujourd'hui ouverte aux souverains, et je suis le premier à y descendre. Après avoir présenté au monde le spectacle de grands combats, il sera plus doux de ne connaître désormais d'autre rivalité que celle des avantages de la paix, d'autre lutte que la lutte sainte de la félicité des peuples.