...pourrait faire cesser le tu» multe. » La Reine rougit à ce mot , et s'écria: « Je vous entends, M. le Coadjuteur , vous » voudriez que je donnasse la liberté à Broussel » je l'étranglerois plutôt avec les deux mains; » et achevant cette dernière syllabe , elle me les porta...

...auparavant , vrnait de s'écrier, avec l'accent d'une Isabcau de Bavière: « Monsieur le coadjntnnr, vous voudriez que je donnasse la liberté à Broussel...personnes qui ont du courage sans lumières. Ce courage éclate à contre-temps , et s'abat d'autant plus vite , que , lorsque la peur lui succède , le mal...

...Isaheau de Bavière : « Monsieur le cotdjuteur, vont voudriez que je donnasse la liberté à Brousse! ; je l'étranglerais plutôt de mes mains, » devient...personnes qui ont du courage sans lumières. Ce courage ccl te à contre-temps , et s'abat d'autant plus vite, que, lorsque la peur lui succède , le mal est...

...second pourroit faire cesser le trouble. » La régente rougit , et s'écria : « Je vous entends , M. 'le coadjuteur, « vous voudriez que je donnasse la liberté à Broussel ; « je l'étranglerai plutôt de mes deux mains , et ceux « qui ajouta-t-elle en me les portant presque au...

...pourrait faire cesser » le tumulte. » La reine rougit à ce mot, et s'écria : « Je vous entends, M. le coadjuteur, » vous voudriez que je donnasse la...liberté à » Broussel; je l'étranglerais plutôt avec les deux » mains; » et achevant cette dernière syllabe, elle me les porta presque au visage,...

...» le tumulte. » La reine rougit à ce mot, et s'écria : « Je vous entends, M. le coadjuteurx » vous voudriez que je donnasse la liberté à » Broussel ; je l'étranglerais plutôt avec les deux » mains ; » et achevant cette dernière syllabe, elle me les porta presque au visage,...

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...faire cesser le tu« multe. » La Reine rougit à ce mot, et s'écria : « Je « vous entends , M. le coadjuteur ! vous voudriez que « je donnasse la liberté à Broussel. Je l'étranglerois « plutôt avec les deux mains. » Et achevant cette dernière syllabe , elle me les...

...faire cesser le tu« multe. » La Reine rougit à ce mot, et s'écria : « Je « vous entends , M. le coadjuteur ! vous voudriez que « je donnasse la liberté à Broussel. Je l'étranglerois « plutôt avec les deux mains. » Et achevant cette dernière syllabe, elle me les...

...firent monter le rouge de la colère au visage d'Anne d'Autriche ; elle s'écria : « Je vous entends, Monsieur le coadjuteur, vous voudriez que je donnasse la liberté à Broussel ; je l'étranglerais nlutôt avec les deux mains. » — « En achevant cette dernière syllabe , dit le cardinal de Retz...