Commentaire sur la Loi des successions: formant le titre premier du livre troisième du Code civil, Volume 1 |
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... père ou à sa mère , c'est - à - dire , s'ils étaient pa- rens paternels ou maternels du père , parens maternels ou pater- nels de la mère . Il suffit de considérer la ligne par laquelle ils te- naient au défunt lui - même , c'est - à ...
... père ou à sa mère , c'est - à - dire , s'ils étaient pa- rens paternels ou maternels du père , parens maternels ou pater- nels de la mère . Il suffit de considérer la ligne par laquelle ils te- naient au défunt lui - même , c'est - à ...
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... père . George avait des parens paternels , savoir ceux du côté d'An- toine , son père , et des parens maternels , savoir ceux du côté de Claire Lenoir , sa mère ; mais tous les parens de George , soit pa- ternels , soit maternels , sont ...
... père . George avait des parens paternels , savoir ceux du côté d'An- toine , son père , et des parens maternels , savoir ceux du côté de Claire Lenoir , sa mère ; mais tous les parens de George , soit pa- ternels , soit maternels , sont ...
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... père ou du chef de sa mère qu'elle était parente au défunt mais qu'il faut considérer uniquement si elle était parente ou du côté du père ou du côté de la mère du défunt ; c'est - à - dire que ce n'est point par le père ou la mère de l ...
... père ou du chef de sa mère qu'elle était parente au défunt mais qu'il faut considérer uniquement si elle était parente ou du côté du père ou du côté de la mère du défunt ; c'est - à - dire que ce n'est point par le père ou la mère de l ...
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... père et la mère de la personne à laquelle il s'agit de succéder , et non pas le père et la mère de la personne qui veut succéder . 3. Nous allons examiner maintenant si les descendans , les as- cendans et les collatéraux peuvent être ...
... père et la mère de la personne à laquelle il s'agit de succéder , et non pas le père et la mère de la personne qui veut succéder . 3. Nous allons examiner maintenant si les descendans , les as- cendans et les collatéraux peuvent être ...
Page 103
... mère qu'il est parent de chacun des ascendans dont sa mère est issue ; mais on a déjà dit que ce n'est ni son père ni sa mère qu'il faut considérer pour savoir dans quelle ligne il est parent à un ascendant décédé ; mais qu'il faut ...
... mère qu'il est parent de chacun des ascendans dont sa mère est issue ; mais on a déjà dit que ce n'est ni son père ni sa mère qu'il faut considérer pour savoir dans quelle ligne il est parent à un ascendant décédé ; mais qu'il faut ...
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Commentaire Sur La Loi Des Successions: Formant Le Titre Premier ..., Volume 2 Georges Antoine Chabot No preview available - 2018 |
Common terms and phrases
acte authentique aïeul alimens appelés à succéder articles ascendans ascendant aurait eue branche paternelle cendans cession Code civil collatéraux concours conjoint survivant consanguins conseil d'état décédé sans postérité décès déclaré indigne déférée défunt n'a laissé descendans d'eux descendans de frères descendans légitimes descendant disposé disposition de l'art division doit donation effet également enfans légitimes enfans naturels entre-vifs établi exclus faveur frères ou sœurs Gilbert héritiers légitimes issus l'aïeul l'article l'ascendant donateur l'autre ligne l'égard l'enfant légitime l'héritier l'un légalement législateur ligne paternelle lorsqu'il Maleville mariage mort civile motifs parens légitimes père et mère personnes peuvent proche puisqu'il qu'ainsi quart quoiqu'il quotité réclamer reconnaissance représentation réserve résulte réversion s'il saisine serait seul côté sœurs d'un seul sœurs du défunt sœurs germains sœurs légitimes souche succèdent succes successeurs irréguliers succession du donataire successions ab intestat suivant l'art survécu termes de l'art ticle tiers tion titre tribunat trouve turel utérins
Popular passages
Page 73 - Lorsque les faits punis par l'article précédent auront été commis par suite d'un plan concerté, les coupables pourront être mis, par l'arrêt ou le jugement, sous la surveillance de la haute police pendant deux ans au moins et cinq ans au plus.
Page 518 - La succession de l'enfant naturel décédé sans postérité, est dévolue au père ou à la mère qui l'a reconnu ; ou par moitié à tous les deux, s'il a été reconnu par l'un et par l'autre.
Page 490 - En ligne collatérale, la représentation est admise en faveur des enfants et descendants de frères ou sœurs du défunt, soit qu'ils viennent à sa succession concurremment avec des oncles ou tantes, soit que tous les frères et sœurs du défunt étant prédécédés, la succession se trouve dévolue à leurs descendants en degrés égaux ou iuégaux.
Page 386 - La reconnaissance faite, pendant le mariage, par l'un des époux, au profit d'un enfant naturel qu'il aurait eu, avant son mariage, d'un autre que de son époux, ne pourra nuire ni à celui-ci, ni aux enfants nés de ce mariage. Néanmoins elle produira son effet après la dissolution de ce mariage, s'il n'en reste pas d'enfants.
Page 543 - ... 342. Un enfant ne sera jamais admis à la recherche soit de la paternité, soit de la maternité, dans les cas où, suivant l'article 335, la reconnaissance n'est pas admise.
Page 112 - Toute succession échue à des ascendants ou à des collatéraux, se divise en deux parts égales : l'une pour les parents de la ligne paternelle, l'autre pour les parents de la ligne maternelle. Les parents utérins ou consanguins ne sont pas exclus par les germains; mais ils ne prennent part que dans leur ligne, sauf ce qui sera dit à l'article 752.
Page 55 - L'étranger jouira en France des mêmes droits civils que ceux qui sont ou seront accordés aux Français par les traités de la nation à laquelle cet étranger appartiendra.
Page 73 - Il n'ya ni crime ni délit, lorsque l'homicide, les blessures et les coups étaient ordonnés par la loi et commandés par l'autorité légitime. ARTICLE 328 Il n'ya ni crime ni délit, lorsque l'homicide, les blessures et les coups étaient commandés par la nécessité actuelle de la légitime défense de soi-même ou d'autrui.
Page 228 - La dot constituée par le mari seul à l'enfant commun, en effets de la communauté, est à la charge de la communauté; et dans le cas où la communauté est acceptée par la femme, celle-ci doit supporter la moitié de la dot, à moins que le mari n'ait déclaré expressément qu'il s'en chargeait pour le tout, ou pour une portion plus forte que la moitié.
Page 68 - L'étrangère qui aura épousé un Français, suivra I» condition de son mari. I 3 • L'étranger qui aura été admis par l'autorisation de l'Empereur à établir son domicile en France, y jouira de tous les droits civils, tant qu'il continuera d'y résider.