Mémoires posthumes, Volume 4Charpentier et cie, 1876 - France |
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... qu'on lui faisait à l'occasion de son douaire : ce n'était là , de sa part , qu'un prétexte , ainsi qu'elle me l'avoua , son but était de tâcher de me réconcilier avec son cousin . Elle me conjura d'oublier mes griefs personnels contre ...
... qu'on lui faisait à l'occasion de son douaire : ce n'était là , de sa part , qu'un prétexte , ainsi qu'elle me l'avoua , son but était de tâcher de me réconcilier avec son cousin . Elle me conjura d'oublier mes griefs personnels contre ...
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... qu'à me louer de ses procédés vis - à - vis de moi ; que , seule- ment , il était venu un moment où nous n'avions pu nous entendre ; qu'il ne m'était pas possible de suivre . ce génie impatient dans les voies hasardeuses où il se ...
... qu'à me louer de ses procédés vis - à - vis de moi ; que , seule- ment , il était venu un moment où nous n'avions pu nous entendre ; qu'il ne m'était pas possible de suivre . ce génie impatient dans les voies hasardeuses où il se ...
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... qu'il se trouvait face à face avec l'Assemblée , il ne pouvait procéder avec ... un an la prorogation de la suspension du droit de réunion ; puis il se fit ... un simple engagement d'honneur . Le projet de ces banques , présenté avec un ...
... qu'il se trouvait face à face avec l'Assemblée , il ne pouvait procéder avec ... un an la prorogation de la suspension du droit de réunion ; puis il se fit ... un simple engagement d'honneur . Le projet de ces banques , présenté avec un ...
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... un État libre . Aucun de nous , pas même M. de Lamennais , le seul prêtre qui fit partie de notre commission , et qui ne le cédait certes à personne en liberté d'esprit , en hardiesse politique , ne proposa cette séparation . C'est qu ...
... un État libre . Aucun de nous , pas même M. de Lamennais , le seul prêtre qui fit partie de notre commission , et qui ne le cédait certes à personne en liberté d'esprit , en hardiesse politique , ne proposa cette séparation . C'est qu ...
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... que par la loi et que d'ail- leurs la loi qu'on faisait était bien plutôt une trève , très - éphémère , qu'un traité de paix définitif . Mais une autre loi également importante , quoique d'une nature toute différente , se débattait ...
... que par la loi et que d'ail- leurs la loi qu'on faisait était bien plutôt une trève , très - éphémère , qu'un traité de paix définitif . Mais une autre loi également importante , quoique d'une nature toute différente , se débattait ...
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Common terms and phrases
24 février appelé Assemblée assez aurait avaient Baroche Berryer blique bonapartistes c'était choses collègues colonel commission conseils conservateur Constitution constitutionnelle coup d'État dangers débat déclaration défiance demande devait devoir discours discussion dit-il domicile donner duc de Broglie Dupin éclatante élection électorale Émile de Girardin Émile Ollivier eût force garantie gauche général Cavaignac général Changarnier gouvernement guerre hommes interpellations j'ai jour Jules Favre l'armée l'Assem l'Assemblée l'élection l'Élysée l'Empire l'orateur laissait légalité législatif lement Léon Faucher liberté loi du 31 Louis-Napoléon majorité ment message Michel de Bourges ministre de l'intérieur mission monarchie n'avait n'était Napoléon nationale Odilon Barrot orateurs parlement parlementaire paroles Pascal Duprat passions pays personnel peuple police politique pouvait pouvoir exécutif Président projet proposition prorogation Prusse question raison réélection représentants Répu républicain République responsabilité révision révolution revues de Satory s'était sentiment serait sérieux seul situation soldats sorte suffrage universel Thiers tion tribune voix vote voulait
Popular passages
Page 70 - Cet homme d'Etat, par exemple, qui médite de tromper ses confrères et de réaliser la maxime que la parole a été donnée à l'homme pour déguiser sa pensée, croyez-vous que, même en matière de politique, il prétende établir comme une maxime universelle la légitimité du mensonge?
Page 148 - Quoi! après Auguste, Augustule ! Quoi ! parce que nous avons eu Napoléon le Grand, il faut que nous ayons Napoléon le Petit ! (La gauche applaudit, la droite crie.
Page 220 - Un chef responsable, nommé pour dix ans ; « 2° Des ministres dépendant du pouvoir exécutif seul ; « 3° Un conseil d'État formé des hommes les plus distingués, préparant les lois et en soutenant la discussion devant le Corps législatif;
Page 220 - Soldats! Soyez fiers de votre mission, vous sauverez la patrie, car je compte sur vous, non pour violer les lois, mais pour faire respecter la première loi du pays, la souveraineté nationale, dont je suis le légitime représentant. Depuis longtemps vous souffriez, comme moi, des obstacles qui s'opposaient et au bien que je voulais vous faire et aux démonstrations de votre sympathie en ma faveur. Ces obstacles sont brisés. L'Assemblée a essayé d'attenter à l'autorité que je tiens de la nation...
Page 69 - C'est ma conviction profonde, elle n'a jamais été ébranlée. Les ennemis seuls de la tranquillité publique ont pu dénaturer les plus simples démarches qui naissent de ma position. » Comme premier magistrat de la république, j'étais obligé de me mettre en relation avec le clergé, la magistrature, les agriculteurs, les industriels, l'administration, l'armée, et je me suis empressé de saisir toutes les occasions de leur témoigner...
Page 221 - ... votre attitude imposante, le pays à manifester sa volonté dans le calme et la réflexion. Soyez prêts à réprimer toute tentative contre le libre exercice de la souveraineté du peuple. Soldats, je ne vous parle pas des souvenirs que mon nom rappelle. Ils sont gravés dans vos cœurs. Nous sommes unis par des liens indissolubles. Votre histoire est la mienne. Il ya entre nous, dans le passé, communauté de gloire et de malheur ; il y aura, dans l'avenir, communauté de sentiments et de résolutions...
Page 91 - L'Assemblée déclare qu'elle n'a pas confiance dans le ministère et passe à l'ordre du jour.
Page 70 - Ce qui me préoccupe surtout, soyez-en persuadés, ce n'est pas de savoir qui gouvernera la France en 1852, c'est d'employer le temps dont je dispose de manière à ce que la transition, quelle qu'elle soit, se fasse sans agitation et sans trouble. . Le but le plus noble et le plus digne d'une âme élevée n'est point de rechercher, quand on est au pouvoir, par quels expédients on s'y perpétuera, mais de veiller sans cesse aux moyens de consolider, à l'avantage de tous, les principes d'autorité...
Page 219 - Au lieu de faire des lois dans l'intérêt général, elle forge des armes pour la guerre civile; elle attente au pouvoir que je tiens directement du peuple; elle encourage toutes les mauvaises passions; elle compromet le repos de la France: je l'ai dissoute, et je rends le peuple entier juge entre elle et moi.
Page 221 - C'est à moi , responsable de mes actions devant le peuple et devant la postérité, de prendre les mesures qui me semblent indispensables pour le bien public. « Quant à vous, restez inébranlables dans les règles de la discipline et de l'honneur. Aidez, par votre attitude imposante, le pays à manifester sa volonté dans le calme et la réflexion. Soyez prêts à réprimer toute tentative contre le libre exercice de la souveraineté du peuple.