ceux-ci les exigent. C'est au Roi seul qu'on les imputerait, et l'on se rappellerait que Bonaparte lui-même, dans les derniers momens de son dangereux pouvoir, n'a pas du moins manqué de modération. Que répondrait-on encore à cette objection? que le trône devait préserver la France du retour de Bonaparte, au moins autant que France devait en préserver le trône. la Erfin voulût-on écarter huit ou dix individus, car à peine arriverait-on à ce nombre, on n'a qu'à. attendre quelques instans, ces individus s'éloigneront d'eux-mêmes. Dans tous les cas, des arrestations et des jugemens seraient nécessaires à éviter. La police n'aurait qu'un avis à donner, et le but serait rempli sans détruire la sécurité et sans compromettre la clémence. La France sera pacifiée en un clin d'oeil sous tous les rapports qui peuvent intéresser les souverains; mais elle ne le sera jamais pleinement relativement au repos et au bonheur du Roi, si tout n'est pas onblié, s'il n'y a pas une égale répression de toutes les opinions extrêmes, de quelque hauteur que partent ces opinions, et si tous les partis ne jouissent pas de la protection des lois avec la même certitude et la même confiance. FIN. Page II. Comment prétend-on considérer M. Fouché?. V. Rouge et Blanc, ou les deux Fouché.. VII. Le Diner Conventionnel. VIII. Mesures fiscales contre les Emigrés. XX. Le Ministère de M. Fouché jugé par les passions XXI. Trois Nivôse, ou la machine anglaise, dite Ma- XXV. Fouché et le duc de Wellington. XXVI. Aveux et confidences d'un politique.. FIN DE LA TABLE Imprimerie de P. GUEFFIER, rue Guénégaud, n° 51. |