Œuvres complètes de Lamartine: Histoire de la restaurationL'auteur, 1862 |
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... homme qui n'était plus qu'un citoyen sans titre et un général sans commandement . On pouvait le tolérer par ... hommes indignes d'apprécier vos travaux ont vu , dans les marques d'attachement que vous m'avez données , un zèle ...
... homme qui n'était plus qu'un citoyen sans titre et un général sans commandement . On pouvait le tolérer par ... hommes indignes d'apprécier vos travaux ont vu , dans les marques d'attachement que vous m'avez données , un zèle ...
Page 17
... hommes importants des deux chambres qui s'étaient montrés depuis ses revers les plus hostiles à Na- poléon et à sa ... homme de bien et de patriotisme , sans répugnance contre les Bourbons , dont sa haute naissance le faisait le client ...
... hommes importants des deux chambres qui s'étaient montrés depuis ses revers les plus hostiles à Na- poléon et à sa ... homme de bien et de patriotisme , sans répugnance contre les Bourbons , dont sa haute naissance le faisait le client ...
Page 18
... hommes qui s'étaient le plus acharnés contre Napoléon , trompé , après sa chute , dans le vague espoir qu'il avait ... homme à tant de , faces un moyen habile de paraître servir à la fois un reste de cause napoléo- nienne dans la cause ...
... hommes qui s'étaient le plus acharnés contre Napoléon , trompé , après sa chute , dans le vague espoir qu'il avait ... homme à tant de , faces un moyen habile de paraître servir à la fois un reste de cause napoléo- nienne dans la cause ...
Page 21
... hommes simples et systématiques qui s'imaginent , comme mon collègue Car- not , que le salut de la France et de la liberté est dans cette chimère d'empire libéral sous un enfant prisonnier de l'Europe . Il faut les laisser traverser ...
... hommes simples et systématiques qui s'imaginent , comme mon collègue Car- not , que le salut de la France et de la liberté est dans cette chimère d'empire libéral sous un enfant prisonnier de l'Europe . Il faut les laisser traverser ...
Page 24
... hommes sortis du 20 mars , ses ministres , ses maréchaux , ses lieutenants , ses partisans , qui avaient joué avec lui et pour lui la der- nière armée de la France . Mais l'ambition ne se trouve jamais assez servie si on ne lui sacrifie ...
... hommes sortis du 20 mars , ses ministres , ses maréchaux , ses lieutenants , ses partisans , qui avaient joué avec lui et pour lui la der- nière armée de la France . Mais l'ambition ne se trouve jamais assez servie si on ne lui sacrifie ...
Common terms and phrases
20 mars accusé alliés âme amis armée armes avaient Becker Bellerophon Blacas Blücher Bonaparte Bourbons Bourmont C'était Calabres capitaine capitale Carnot cause cent-jours chambre des pairs cœur colère collègues commandant complices comte d'Artois conseil Corse cour crime Davoust Decazes demanda devant dignité dit-il drapeau duc de Richelieu ennemis EUVR famille femme fidélité fortune Fouché frégates général gloire gouvernement guerre hommes jours juges l'accusé l'armée l'empire l'Europe l'île Labédoyère laisser larmes Lavalette lord Wellington Louis XVIII lui-même Macerone main maison Malmaison maréchal ment Midi militaire ministre mort Murat murmures n'avait n'était Naples Napo Napoléon nation négociation nuit Nunziante officiers palais pardon paroles passions patrie patriotisme pendant peuple Pizzo plage police politique popularité porte pouvait prince prisonnier rade refusa règne répondit restauration retour révolution royalistes royaume Russie s'était sang sauver sentiment seul soldats sort souverain Talleyrand tion Toulon trahison trône troupes vengeance victime Vitrolles voulait Waterloo
Popular passages
Page 263 - Achille; adieu, maLétitia; adieu, mon Lucien; adieu, ma Louise; montrez-vous au monde dignes de moi. Je vous laisse sans royaume et sans biens, au milieu de mes nombreux ennemis Soyez constamment unis...
Page 56 - En butte aux factions qui divisent mon pays, et à l'inimitié des plus grandes puissances de l'Europe, j'ai terminé ma carrière politique, et je viens, comme Thémistocle, m'asseoir au foyer du peuple britannique. Je me mets sous la protection de ses lois, que je réclame de Votre Altesse Royale, comme celle du plus puissant, du plus constant et du plus généreux de mes ennemis.
Page 63 - Angleterre avec ma suite si cela m'était agréable. Je me suis présenté de bonne foi pour venir me mettre sous la protection des lois de l'Angleterre. Aussitôt assis à bord du Bellérophon , je fus sur le foyer du peuple britannique.
Page 309 - Toutes les puissances qui voudront solennellement avouer les principes sacrés qui ont dicté le présent acte, et reconnaîtront combien il est important au bonheur des nations trop longtemps agitées que ces vérités exercent désormais sur les destinées humaines toute l'influence qui leur appartient, seront reçues avec autant d'empressement que d'affection dans cette sainte alliance.
Page 63 - Bellérophon de me recevoir ainsi que ma suite, n'a voulu que me tendre une embûche, il a forfait à l'honneur et flétri son pavillon. Si cet acte se consommait, ce serait en vain que les Anglais voudraient parler désormais de leur loyauté, de leurs lois et de leur liberté.
Page 309 - En conséquence, le seul principe en vigueur, soit entre lesdits gouvernements, soit entre leurs sujets, sera celui de se rendre réciproquement service, de se témoigner par une bienveillance inaltérable l'affection mutuelle dont ils doivent être animés, de ne se considérer tous que comme membres d'une même nation chrétienne, les trois Princes Alliés ne s'envisageant eux-mêmes que comme délégués par la Providence pour gouverner trois branches d'une même famille...
Page 306 - ... et de ne conserver, des temps passés, que le bien que la Providence a fait sortir du sein même des calamités publiques. Ce n'est qu'ainsi que les vœux formés par les...
Page 76 - Je dois donc, pour la dignité de mon trône, pour l'intérêt de mes peuples, pour le repos de l'Europe, excepter du pardon les instigateurs et les auteurs de cette trame horrible. Ils seront désignés à la vengeance des lois par les deux Chambres, que je me propose d'assembler incessamment.
Page 385 - J'y avais des parents, des amis, des soldats, enfin, qui sont les amis de leurs chefs; et j'enverrais à la mort celui à qui tant de Français doivent la vie, tant de familles leurs fils, leurs époux, leurs pères!
Page 191 - que notre ministre de la police générale » leur indiquera , et où ils resteront sous sa » surveillance, en attendant que les chambres » statuent sur ceux d'entre eux qui devront » ou sortir du royaume, ou être livrés à la