Œuvres complètes de Lamartine: Histoire de la restaurationL'auteur, 1862 |
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... s'il la combattrait à visage découvert , ou s'il la tournerait par une apparente indifférence . Il fal- lait choisir entre le danger d'une réinstallation de Napo- léon lui - même au trône et à la tête de l'armée , si la chambre refusait ...
... s'il la combattrait à visage découvert , ou s'il la tournerait par une apparente indifférence . Il fal- lait choisir entre le danger d'une réinstallation de Napo- léon lui - même au trône et à la tête de l'armée , si la chambre refusait ...
Page 8
... s'il n'y avait pas un empereur . « Oui , lui répond le parti des bonapar- tistes , nous avons un empereur , nous voulons Napoléon II ! - Il est notre souverain par les lois fondamentales ; à ce nom seul , l'armée et la garde nationale ...
... s'il n'y avait pas un empereur . « Oui , lui répond le parti des bonapar- tistes , nous avons un empereur , nous voulons Napoléon II ! - Il est notre souverain par les lois fondamentales ; à ce nom seul , l'armée et la garde nationale ...
Page 19
... s'il n'était pas obtenu , témoignerait du moins aux yeux des chambres des efforts de Fouché et de ses collègues pour avoir une négociation en faveur du fils de Napoléon ; s'il était obtenu , il donnait à la France un avant- goût de la ...
... s'il n'était pas obtenu , témoignerait du moins aux yeux des chambres des efforts de Fouché et de ses collègues pour avoir une négociation en faveur du fils de Napoléon ; s'il était obtenu , il donnait à la France un avant- goût de la ...
Page 22
... s'il restait à Paris . Votre tête , répondit Fouché en souriant , comment pourrais - je vous la garantir , puisque je ne suis pas sûr de la mienne ? Tout ce que je puis faire , c'est de vous pro- mettre qu'elles tomberont ensemble ! » M ...
... s'il restait à Paris . Votre tête , répondit Fouché en souriant , comment pourrais - je vous la garantir , puisque je ne suis pas sûr de la mienne ? Tout ce que je puis faire , c'est de vous pro- mettre qu'elles tomberont ensemble ! » M ...
Page 23
... s'il est possible , cette double tache de fai- blesse et de légèreté ! qu'on la couvre du moins de quelque lutte , de quelque gloire ! Qu'on fasse pour la patrie ce qu'on ne veut plus faire pour moi ! Mais je ne l'espère pas , ajoutait ...
... s'il est possible , cette double tache de fai- blesse et de légèreté ! qu'on la couvre du moins de quelque lutte , de quelque gloire ! Qu'on fasse pour la patrie ce qu'on ne veut plus faire pour moi ! Mais je ne l'espère pas , ajoutait ...
Common terms and phrases
20 mars accusé alliés âme amis armée armes avaient Becker Bellerophon Blacas Blücher Bonaparte Bourbons Bourmont C'était Calabres capitaine capitale Carnot cause cent-jours chambre des pairs cœur colère collègues commandant complices comte d'Artois conseil Corse cour crime Davoust Decazes demanda devant dignité dit-il drapeau duc de Richelieu ennemis EUVR famille femme fidélité fortune Fouché frégates général gloire gouvernement guerre hommes jours juges l'accusé l'armée l'empire l'Europe l'île Labédoyère laisser larmes Lavalette lord Wellington Louis XVIII lui-même Macerone main maison Malmaison maréchal ment Midi militaire ministre mort Murat murmures n'avait n'était Naples Napo Napoléon nation négociation nuit Nunziante officiers palais pardon paroles passions patrie patriotisme pendant peuple Pizzo plage police politique popularité porte pouvait prince prisonnier rade refusa règne répondit restauration retour révolution royalistes royaume Russie s'était sang sauver sentiment seul soldats sort souverain Talleyrand tion Toulon trahison trône troupes vengeance victime Vitrolles voulait Waterloo
Popular passages
Page 263 - Achille; adieu, maLétitia; adieu, mon Lucien; adieu, ma Louise; montrez-vous au monde dignes de moi. Je vous laisse sans royaume et sans biens, au milieu de mes nombreux ennemis Soyez constamment unis...
Page 56 - En butte aux factions qui divisent mon pays, et à l'inimitié des plus grandes puissances de l'Europe, j'ai terminé ma carrière politique, et je viens, comme Thémistocle, m'asseoir au foyer du peuple britannique. Je me mets sous la protection de ses lois, que je réclame de Votre Altesse Royale, comme celle du plus puissant, du plus constant et du plus généreux de mes ennemis.
Page 63 - Angleterre avec ma suite si cela m'était agréable. Je me suis présenté de bonne foi pour venir me mettre sous la protection des lois de l'Angleterre. Aussitôt assis à bord du Bellérophon , je fus sur le foyer du peuple britannique.
Page 309 - Toutes les puissances qui voudront solennellement avouer les principes sacrés qui ont dicté le présent acte, et reconnaîtront combien il est important au bonheur des nations trop longtemps agitées que ces vérités exercent désormais sur les destinées humaines toute l'influence qui leur appartient, seront reçues avec autant d'empressement que d'affection dans cette sainte alliance.
Page 63 - Bellérophon de me recevoir ainsi que ma suite, n'a voulu que me tendre une embûche, il a forfait à l'honneur et flétri son pavillon. Si cet acte se consommait, ce serait en vain que les Anglais voudraient parler désormais de leur loyauté, de leurs lois et de leur liberté.
Page 309 - En conséquence, le seul principe en vigueur, soit entre lesdits gouvernements, soit entre leurs sujets, sera celui de se rendre réciproquement service, de se témoigner par une bienveillance inaltérable l'affection mutuelle dont ils doivent être animés, de ne se considérer tous que comme membres d'une même nation chrétienne, les trois Princes Alliés ne s'envisageant eux-mêmes que comme délégués par la Providence pour gouverner trois branches d'une même famille...
Page 306 - ... et de ne conserver, des temps passés, que le bien que la Providence a fait sortir du sein même des calamités publiques. Ce n'est qu'ainsi que les vœux formés par les...
Page 76 - Je dois donc, pour la dignité de mon trône, pour l'intérêt de mes peuples, pour le repos de l'Europe, excepter du pardon les instigateurs et les auteurs de cette trame horrible. Ils seront désignés à la vengeance des lois par les deux Chambres, que je me propose d'assembler incessamment.
Page 385 - J'y avais des parents, des amis, des soldats, enfin, qui sont les amis de leurs chefs; et j'enverrais à la mort celui à qui tant de Français doivent la vie, tant de familles leurs fils, leurs époux, leurs pères!
Page 191 - que notre ministre de la police générale » leur indiquera , et où ils resteront sous sa » surveillance, en attendant que les chambres » statuent sur ceux d'entre eux qui devront » ou sortir du royaume, ou être livrés à la