Chute de l'Empire. Histoire des deux restaurations jusqu'à la chute de Charles x, Volume 3 |
From inside the book
Results 1-5 of 39
Page 66
... suivant : « La nation française renonce à jamais à toute conquête , à toute « guerre d'offensive ou d'ambition . « Elle ne prendra jamais les armes que pour défendre son territoire ου pour défendre un allié injustement attaqué . << Elle ...
... suivant : « La nation française renonce à jamais à toute conquête , à toute « guerre d'offensive ou d'ambition . « Elle ne prendra jamais les armes que pour défendre son territoire ου pour défendre un allié injustement attaqué . << Elle ...
Page 108
... suivant , dont la rédaction appartenait , assure - t - on , à Fouché , et que la Chambre adopta tout d'une voix : « La Chambre des représentants , délibérant sur les diverses proposi- tions faites dans sa séance et mentionnées dans son ...
... suivant , dont la rédaction appartenait , assure - t - on , à Fouché , et que la Chambre adopta tout d'une voix : « La Chambre des représentants , délibérant sur les diverses proposi- tions faites dans sa séance et mentionnées dans son ...
Page 114
... suivants , d'une lettre adressée de Bruxelles par le duc de Wellington au prince de Metter- nich , le 20 mai 1815 , moins d'un mois avant Waterloo , en sont la preuve : « Je ne doute pas de notre succès dans cette guerre , disait ...
... suivants , d'une lettre adressée de Bruxelles par le duc de Wellington au prince de Metter- nich , le 20 mai 1815 , moins d'un mois avant Waterloo , en sont la preuve : « Je ne doute pas de notre succès dans cette guerre , disait ...
Page 122
... suivant : << La commission de gouvernement , « Sur le rapport du ministre secrétaire d'État chargé provisoirement du portefeuille de la justice . « Arrête ce qui suit : « Les arrêts et jugements des cours et tribunaux , les actes des ...
... suivant : << La commission de gouvernement , « Sur le rapport du ministre secrétaire d'État chargé provisoirement du portefeuille de la justice . « Arrête ce qui suit : « Les arrêts et jugements des cours et tribunaux , les actes des ...
Page 125
... suivant : « C'est mon empresse- ment et ma franchise à soutenir que le bonheur de la France dépendait de la prompte soumission au roi , qui me rendirent suspect au gouvernement et me firent rappeler de l'armée , dont le commandement fut ...
... suivant : « C'est mon empresse- ment et ma franchise à soutenir que le bonheur de la France dépendait de la prompte soumission au roi , qui me rendirent suspect au gouvernement et me firent rappeler de l'armée , dont le commandement fut ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
abdication alliés anglais annoncer armée arrêté arrivée avaient Bellerophon Blücher Bonaparte Bourbons Bourmont capitaine Maitland capitale Carnot Cent-Jours Chambre des pairs Chambre des représentants chargé chef collègues commandant commissaires commission de gouvernement comte conseil consentit Davoust débat déclaration demande départ dépêche députés dernier devant duc d'Otrante duc de Rovigo duc de Wellington force Fouché frégates garde nationale général Becker Gourgaud gouvernement provisoire guerre heures hommes immédiatement impérial journée jours juillet juin l'abdication l'armée l'Élysée l'empereur l'ennemi Labédoyère Lafayette laisser Lanjuinais Lavalette lendemain lettre Louis XVIII Lucien Malmaison maréchal Grouchy maréchal Ney matin membres ment militaire ministres mort n'avait n'était Napoléon négociations officiers ordres passe-ports patrie peuple place police politique portes position pouvait préfet présent président prince d'Eckmühl proclamation proposition Prussiens quartier général quitter répondit reste réunis Rochefort royalistes s'était Saint-Jean-d'Angély salle séance serait seul soir soldats sort souverains Talleyrand tion tribune troupes trouvait Tuileries venait Vitrolles voix vote Waterloo
Popular passages
Page 401 - ... de renouveler, à des époques déterminées , soit sous les auspices immédiats des souverains , soit par leurs ministres respectifs , des réunions consacrées aux grands intérêts communs et à l'examen des mesures qui , dans chacune de ces époques, seront jugées les plus salutaires pour le repos et la prospérité des peuples , et pour le maintien de la paix de l'Europe.
Page 400 - Art. 2. — En conséquence, le seul principe en vigueur, soit entre lesdits gouvernements, soit entre leurs sujets, sera celui de se rendre réciproquement service, de se témoigner par une bienveillance inaltérable l'affection mutuelle dont ils doivent être animés, de ne se considérer tous que comme membres d'une...
Page 213 - ... estime et de sa confiance? Mais comment répondit-on, en Angleterre, à une telle magnanimité? On feignit de tendre une main hospitalière à cet ennemi ; et quand il se fut livré de bonne foi, on l'immola.
Page 74 - J'étais fondé à en espérer le succès, et j'avais bravé toutes les déclarations des puissances contre moi. Les circonstances me paraissent changées. Je m'offre en sacrifice à la haine des ennemis de la France; puissent-ils être sincères dans leurs déclarations, et n'en avoir...
Page 221 - ... l'expérience seule pouvait avertir; elle ne sera pas perdue. Je veux tout ce qui sauvera la France ; mes sujets ont appris par de cruelles épreuves que le principe de la légitimité des souverains est une...
Page 213 - J'en appelle à l'histoire ; elle dira qu'un ennemi qui fit vingt ans la guerre au peuple anglais vint librement dans son infortune, chercher un asile sous ses lois. Quelle...
Page 395 - Le Traité de Paris, du 30 mai 1814, et l'acte final du Congrès de Vienne, du 9 juin 1815, sont confirmés et seront maintenus dans toutes celles de leurs dispositions qui n'auraient pas été modifiées par les clauses du présent Traité.
Page 487 - Les ministres du Roi sont obligés de vous dire que cette décision du conseil de guerre devient un triomphe pour les factieux. Il importe que leur joie soit courte, pour qu'elle ne leur soit pas funeste.
Page 276 - S'il survient des difficultés sur l'exécution de quelqu'un des articles de la présente convention, l'interprétation en sera faite en faveur de l'armée française et de la ville de Paris.
Page 400 - Conformément aux paroles des saintes Écritures, qui ordonnent à tous les hommes de se regarder comme frères, les trois monarques contractants demeureront unis par les liens d'une fraternité véritable et indissoluble, et, se considérant comme compatriotes, ils se prêteront en toute occasion et en tout lieu assistance, aide et secours, se regardant envers leurs sujets et...