| Armand François Allonville (comte d') - France - 1838 - 742 pages
...détruirait plus sans ramener les mêmes » horreurs lôt ou tard, ils ont dû croire leur hon» neur intéressé à ne pas abandonner toujours à des »...maîtres. » Le premier consul ne demande pas mieux aujour» d'hui que de payer la dette de la nation. S'il n'est » plus en son pouvoir de revenir sur... | |
| Armand François comte d'. Allonville - 1841 - 388 pages
...plus sans ramener les mêmes horreurs, « tôt ou tard ils ont dû croire leur honneur inté« ressé à ne pas abandonner toujours à des mains « étrangères...maîtres. Le « premier consul ne demande pas mieux aujour« d'hui que de payer la dette de la nation, S'il n'est « plus en son pouvoir de revenir sur... | |
| Jean-Baptiste Honoré Raymond Capefigue - 1840 - 506 pages
...événements vers un ordre de choses qui ne se détruirait pas sans ramener les mêmes horreurs tôt ou tard, ils ont dû croire leur honneur intéressé à ne...princes l'indépendance et des moyens de splendeur. 11 peut leur assurer des apanages brillants, et en les sanctionnant par des traités et des garanties... | |
| Capefigue (M., Jean Baptiste Honoré Raymond) - Europe - 1842 - 632 pages
...événements vers un ordre de choses qui ne se détruirait pas sans ramener les mêmes horreurs tôt ou tard, ils ont dû croire leur honneur intéressé à ne...mieux aujourd'hui que de payer la dette de la nation. ea elle, à la place du gouvernement monarchique héréditaire, tempéré par des lois fondamentales,... | |
| Théodore Iung - 1882 - 520 pages
...de leurs anciens chefs. Le premier Consul ne demande pas mieux aujourd'hui que de payer leur dette. S'il n'est plus en son pouvoir de revenir sur le passé,...l'indépendance et des moyens de splendeur; il peut leur assurer à tous des apanages brillants; et, en les sanctionnant par des traités et des garanties solennelles,... | |
| Théodore Jung, Théodore Iung - France, 1775-1840 - 1882 - 576 pages
...événements vers un ordre de choses qui ne se détruirait plus sans ramener les mêmes horreurs tôt ou tard, ils ont dû croire leur honneur intéressé à ne...à des mains étrangères le sort de leurs anciens chefs. Le premier Consul ne demande pas mieux aujourd'hui que de payer leur dette. S'il n'est plus... | |
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