Mémoires posthumes, Volume 4Charpentier et cie, 1876 - France |
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... personne en liberté d'esprit , en hardiesse politique , ne proposa cette séparation . C'est qu'en y réfléchissant , il est plus aisé de formuler l'in- dépendance des deux pouvoirs que de la réaliser , surtout lorsqu'il s'agit de placer ...
... personne en liberté d'esprit , en hardiesse politique , ne proposa cette séparation . C'est qu'en y réfléchissant , il est plus aisé de formuler l'in- dépendance des deux pouvoirs que de la réaliser , surtout lorsqu'il s'agit de placer ...
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... personne ne voulait voir . Mes rapports avec le Président m'avaient appris à le connaître , et les indiscrétions de son entourage auraient d'ailleurs suffi pour me révéler le fond de sa pensée . La loi fut présentée par M. Baroche avec ...
... personne ne voulait voir . Mes rapports avec le Président m'avaient appris à le connaître , et les indiscrétions de son entourage auraient d'ailleurs suffi pour me révéler le fond de sa pensée . La loi fut présentée par M. Baroche avec ...
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... personne n'accourut à ce cri . Sur quoi on lui demanda malicieusement quel était le loup qui menaçait le troupeau ? ... La réponse eût été facile , mais il ne la fit pas . La discussion générale fut close sur ce discours au- quel M ...
... personne n'accourut à ce cri . Sur quoi on lui demanda malicieusement quel était le loup qui menaçait le troupeau ? ... La réponse eût été facile , mais il ne la fit pas . La discussion générale fut close sur ce discours au- quel M ...
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... personnes qui avaient souffert pour la cause de la république . On se rappelle par suite de quel malheureux et scandaleux incident , le projet de loi présenté par M. Senard à ce sujet avait dû être retiré sous le ministère de M. Dufaure ...
... personnes qui avaient souffert pour la cause de la république . On se rappelle par suite de quel malheureux et scandaleux incident , le projet de loi présenté par M. Senard à ce sujet avait dû être retiré sous le ministère de M. Dufaure ...
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... personne ne voulait , à une réforme à laquelle tous aspiraient , avait infligé au pays cette longue et dou- loureuse série d'épreuves qu'il traversait . Mais ce qu'un philosophe ou un publiciste écrivant un livre peut exprimer en toute ...
... personne ne voulait , à une réforme à laquelle tous aspiraient , avait infligé au pays cette longue et dou- loureuse série d'épreuves qu'il traversait . Mais ce qu'un philosophe ou un publiciste écrivant un livre peut exprimer en toute ...
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Common terms and phrases
armée Assemblée assez assuré aurait avaient Baroche Berryer blique bonapartistes c'était chef choses collègues commission conseils conservateur Constitution constitutionnelle Corps législatif coup d'État dangers débat déclaration défiance demande députés devait devoir discours discussion dit-il donner duc de Broglie Dupin éclatante effet élection électorale Émile de Girardin Émile Ollivier eût force garantie gauche général Changarnier guerre hommes institutions j'ai j'avais jour Jules Favre l'armée l'Assem l'Assemblée l'élection l'Élysée l'empereur l'Empire l'orateur laissait légalité Léon Faucher liberté loi du 31 Louis-Napoléon Louis-Philippe majorité malheureux ment mesure Michel de Bourges militaire mission monarchie n'avait n'était Napoléon nationale Odilon Barrot palais Bourbon parlement parlementaire paroles Pascal Duprat passé passions pays peuple police politique pouvait pouvoir exécutif préfet Président projet proposition prorogation Prusse qu'un question raison réélection représentants Répu républicain République responsabilité révision révolution s'était Satory sentiment serait sérieux seul situation soldats sorte suffrage universel Thiers tion tribune voix vote voulait
Popular passages
Page 221 - ... votre attitude imposante, le pays à manifester sa volonté dans le calme et la réflexion. Soyez prêts à réprimer toute tentative contre le libre exercice de la souveraineté du peuple. Soldats, je ne vous parle pas des souvenirs que mon nom rappelle. Ils sont gravés dans vos cœurs. Nous sommes unis par des liens indissolubles. Votre histoire est la mienne. Il ya entre nous, dans le passé, communauté de gloire et de malheur ; il y aura, dans l'avenir, communauté de sentiments et de résolutions...
Page 148 - Quoi! après Auguste, Augustule ! Quoi ! parce que nous avons eu Napoléon le Grand, il faut que nous ayons Napoléon le Petit ! (La gauche applaudit, la droite crie.
Page 69 - C'est ma conviction profonde, elle n'a jamais été ébranlée. Les ennemis seuls de la tranquillité publique ont pu dénaturer les plus simples démarches qui naissent de ma position. » Comme premier magistrat de la république, j'étais obligé de me mettre en relation avec le clergé, la magistrature, les agriculteurs, les industriels, l'administration, l'armée, et je me suis empressé de saisir toutes les occasions de leur témoigner...
Page 91 - L'Assemblée déclare qu'elle n'a pas confiance dans le ministère, et passe à l'ordre du jour.
Page 70 - Ce qui me préoccupe surtout, soyez-en persuadés, ce n'est pas de savoir qui gouvernera la France en 1852, c'est d'employer le temps dont je dispose, de manière que la transition, quelle qu'elle soit, se fasse sans agitation et sans trouble. Le but le plus noble et le plus digne d'une âme élevée n'est point de rechercher, quand on est au pouvoir, par quels expédients on s'y perpétuera, mais de veiller sans cesse aux moyens de consolider...
Page 221 - C'est à moi , responsable de mes actions devant le peuple et devant la postérité, de prendre les mesures qui me semblent indispensables pour le bien public. « Quant à vous, restez inébranlables dans les règles de la discipline et de l'honneur. Aidez, par votre attitude imposante, le pays à manifester sa volonté dans le calme et la réflexion. Soyez prêts à réprimer toute tentative contre le libre exercice de la souveraineté du peuple.
Page 70 - Le but le plus noble d'une âme élevée n'est point de rechercher, quand on est au pouvoir, par quels expédients on s'y perpétuera, mais de veiller sans cesse aux moyens de consolider à l'avantage de tous, les principes d'autorité et de morale qui défient les passions des hommes et l'instabilité des lois. (Nombreuses marques d'approbation.) Je vous ai loyalement ouvert mon cœur, vous répondrez à ma franchise par votre confiance; à mes bonnes intentions, par votre concours, et Dieu fera...
Page 219 - République, mon devoir est de déjouer leurs perfides projets, de maintenir la République et de sauver le pays en invoquant le jugement solennel du seul souverain que je reconnaisse en France, le peuple.
Page 145 - ... travers de grands obstacles, et peut-être des flots de sang ; qu'il soit roi ou qu'il demeure [défenseur inconnu et obscur d'une cause à laquelle nous appartenons tous, il faut qu'il soit, avant tout, un homme de son temps et de la nation ; qu'il soit catholique et serviteur passionné, exclusif, de la France et de la Révolution.