français, régents. p. 226 et suiv. RELIGION.
REPRÉSAILLES.-Elles diffèrent de
la rétorsion, t. II, p. 319 et suiv.
Définition -Représailles négati-
ves et positives, générales et
spéciales, p. 321 et suiv.-eu-
vent-elles être exercées sur les
biens des particuliers? p. 323,
324 et suiv Théorie du Droit
moderne, ibid. A qui appar-
tient le droit de les exercer, p.
325. Historique, ibid. et p.
Les représailles peuvent-
elles être exercées au profit, et sur la demande d'un tiers État? p. 328 et suiv. Une sentence judiciaire inique au préjudice d'un étranger, donne-t-elle à sa nation le droit d'obtenir répara- tion par représailles ? p. 330 et suiv. Du droit de représailles sur la personne des nationaux, p. 331 et suiv. --Sur les biens des particuliers et au profit des par- ticuliers, p. 334 et suiv. REPRESSION.-Quelles doivent être les limites de la répression? en cas de rébellion, t. III, p. 155. REPRISE (des objets enlevés à l'en· nemi), t. III, p. 79 et suiv. RÉPUBLIQUE des nations. Ima- ginée par Wolff, pour construire l'édifice de son droit des gens vo- lontaire, t. I, p. 101 et suiv. - Vattel n'approuve pas cette fic- tion, ibid.
326. Opinion de Bacon, de
Benjamin Constant et de Mme de
Staël, t. I, p. 337. La religion
doit-elle servir de moyen politi-
que? p. 337 et suiv. - Définition
de ce qu'il faut entendre par re-
ligion. Ce qu'il faut distinguer
dans toute religion, p. 340 et
suiv. Séparation de la religion
et de l'État, p. 343 et suiv.
Relations entre la religion et
l'État. Quatre systèmes princi-
paux, p. 346. - Est-il nécessaire
qu'une Nation adopte spéciale-
ment une religion, p. 346 et suiv.
-Législations comparées, p.347
et suiv. Voir Conscience et Exercice du culte.-Cruautés et crimes commis au nom de la re- ligion, p. 358 et suiv. - Lois pé- nales en matière de religion, p. 359 et suiv.-Voir Outrages.- L'autorité doit-elle proscrire une religion, quand elle la croit dan- gereuse?p. 362 et 363.-Comment l'État peut avoir inspection sur les affaires de la religion, p. 370 et suiv. De l'intervention du gouvernement dans les matières religieuses, p. 373 et suiv.
RELIGION D'ÉTAT. - Voir Religion.
-Religion du chef de l'État, t. I,
p. 366.
REMPLACEMENT MILITAIRE, t. II, p.
351.
RENOUVELLEMENT des traités, t. II,
p. 192.
nombre est un indice du mouve- | SOUVERAINETÉ du peuple. Théo-
ment commercial d'un pays, t. I, p. 283.
SOCIÉTÉ GÉNÉRALE DES NATIONS.- Base du système politique de l'Europe. En quoi consiste
cette société politique, t. 1, p. 59 et suiv. SOCIÉTÉS POLITIQUES. Reposent- elles sur les mêmes principes que les sociétés civiles? t. I, p. 485 et suiv. SOL. Question de l'appropriation individuelle du sol, t I, p. 254 et suiv.
SOUVERAIN. Comment faut-il en- tendre ce titre donné au chef du pouvoir exécutif? t. I, p. 212 et uiv.
SOUVERAIN (personne du) Est-
elle exempte de l'effet direct des
opérations de la guerre? - Opi-
nions diverses. Usage mo-
derne, t. III, p. 34.
rie du dogme de la souveraineté du peuple, t. I, p. 218 et suiv.- Triomphe de ce dogme dans les temps modernes, p. 219 et suiv. La souveraineté du peuple est-elle illimitée ? p. 239 et suiv. -Limites qu'elle comporte, ibid. Un peuple peut-il abdiquer sa souveraineté ? ibid. SPONSIONS.
Diverses espèces;
leur nature; leurs effets, t II, p. 213, 21. STATUT PERSONNEL. Son appli-
cation aux successions mobilières des étrangers, t. II, p. 89. STATUT RÉEL. Ses effets, t. II,
naturel ou de droit positif? t. I,
TERRITOIRE. Propriété. De quoi se com- pose le territoire d'un État, t. I, p. 560 et suiv. TERRITOIRE MARITIME. - Que com- prend le territoire maritime de chaque État, t. I, p. 584 et suiv. Droit que confère la propriété de ce territoire, ibid. TERRITOIRE NEUTRE.
princes et des nations à cet égard, t II, p. 10 et suiv.- Règles for- mulées par Pinheiro-Ferreira, p. 12 et suiv. Opinion de ce publiciste sur les titres qui con- trastent avec les idées du siècle, et les indications de la géographie politique, p. 14 et suiv. TOLERANCE (en matière religieuse).
Ne date que de la Révolution française, t. I, p. 363 et suiv. Henri IV et Fénelon, p. 365⚫et 366. TOLERANCE RELIGIEUSE. Droits et devoirs réciproques des nations à cet égard, t. II, p. 40. TRAITÉS DE COMMERCE.
tés conclus pour le temps de paix, et de ceux conclus pour le temps de guerre, t. I, p. 614, 615 et suiv. Différentes clauses insérées dans ces traités, ibid. - Énumération de divers traités de commerce récemment conclus, p. 616. Importance de l'étude des clauses des traités de com- merce, p. 617. TRAITÉS DE PAIX.
tient le droit de les conclure, t. III, p. 173 et suiv. Limites imposées au droit de conclure les traités, p. 177 et suiv. Prin- cipes du droit public moderne, p. 178 et suiv. Des cessions de territoire, par traités de paix, p. 179 et suiv. - Droit comparé, ibid. Le souverain peut-il dis- poser, par traités, en vertu de son droit de domaine éminent, des choses appartenant à des par- ticuliers? p. 180 et suiv.-D'après quelles règles les traités de paix doivent-ils être interprétés ? Disputes relatives à leur sens, ou à leur infraction alléguée, t. III, p. 200 et suiv. - Voir Publica- tion de la paix. TRAITÉS INTERNATIONAUX
Pu- blicité qui leur est donnée au- jourd'hui, t. I, p 104. TRAITÉS PUBLICS. Définition. Leur utilité. Principes géné- raux. Soumis en général aux règles substantielles des contrats, t. II, p. 137 et suiv. proprement dits et conventions transitoires, p. 140 et suiv. Droit de les contracter. - Son caractère. A qui appartient-il ?
p. 142 et suiv. - A qui est con- fié, dans le sein de chaque nation, l'exercice de ce droit? ibid. Théorie et pratique, p. 142 et 143. — Questions diverses rela- tives à la ratification des traités publies, t. II, p. 144, 145 et suiv.
Conditions essentielles pour leur validité, p. 146 et suiv.—Peut- on éviter l'exécution des traités en se prévalant du droit de né- cessité? p. 150. — Inviolabilité et sainteté des traités publics, p. 154. — Du cas où deux traités conclus avec diverses nations se-
raient incompatibles, ibid. — Di- verses catégories de traités pu- blics, p. 155 et suiv.- Des traités égaux et inégaux, p. 159 et suiv. - Des traités personnels et des traités réels. Cette distinction est-elle admise par le droit mo- derne, p. 172 et suiv. - Des traités perpétuels, p. 175. Des traités de garantie. p. 235 et suiv. - Exemples tirés de l'his- toire contemporaine, p. 236 et suiv. - Des moyens d'affermir les traités publics, p. 237. - De leur interprétation, p. 250. — De l'interprétation favorable, et de l'interprétation odieuse, p. 282.
Des droits que confere Ce qu'elle permet,
la trève.
t. III, p. 126.
TRIBUT. — L'obligation contractée
par une nation envers une autre
nation, ne porte atteinte qu'à son
indépendance naturelle, t. I,
p. 128.
TROUPES ÉTRANGÈRES. - Peuvent-
elles être admises au service de
l'Etat, ou introduites sur le ter-
ritoire français ? t. II, p. 358.
TUNIS (État de). — Réformes libė-
rales de Sidi-Mohammed et de
Sidi-Sadok, t. I, p. 128.
TURQUIE. Forme de son gouver-
nement, t. 1, p. 120 et suiv. - La
civilisation en Turquie, t. II,
p. 406.
UTILITÉ (L'). — Premier principe de toute obligation, t. I, p. 12.— Caractère et analyse de l'utilité, p. 19 et suiv. — Opinion de Bar- beyrac, id.
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