Napoléon l'homme: le politique, l'orateur, d'après sa correspondance et ses oeuvres, Volume 2Perrin, 1889 |
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... laisser une trop large voie aux améliorations . >> « Toutefois , ajoutait - il , la constitution anglaise , — et c'était déjà la constitution parlementaire par ex- cellence , était inapplicable à la France , parce que le caractère des ...
... laisser une trop large voie aux améliorations . >> « Toutefois , ajoutait - il , la constitution anglaise , — et c'était déjà la constitution parlementaire par ex- cellence , était inapplicable à la France , parce que le caractère des ...
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... laisser . Que de fois n'a - t - il pas prononcé , sous l'Empire , cette parole qui est en opposition mani- feste avec tous ses actes et qui ne saurait s'expli- quer autrement que par cette espèce de méfiance qu'il pratiquait vis - à ...
... laisser . Que de fois n'a - t - il pas prononcé , sous l'Empire , cette parole qui est en opposition mani- feste avec tous ses actes et qui ne saurait s'expli- quer autrement que par cette espèce de méfiance qu'il pratiquait vis - à ...
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... laisser traîner la chose en longueur : « N'allez pas encore me de- mander trois ou quatre mois pour avoir des ren- seignements ; vous avez de jeunes auditeurs , des Préfets intelligents , des ingénieurs des ponts et chaussées instruits ...
... laisser traîner la chose en longueur : « N'allez pas encore me de- mander trois ou quatre mois pour avoir des ren- seignements ; vous avez de jeunes auditeurs , des Préfets intelligents , des ingénieurs des ponts et chaussées instruits ...
Page 64
... laisser agir , à traiter lui - même les choses avec une brus- querie , une franchise militaires qu'il croyait habiles , mais qui , au fond , ne servaient qu'à lui attirer les inimitiés des Cabinets de l'Europe . L'Empereur menait une ...
... laisser agir , à traiter lui - même les choses avec une brus- querie , une franchise militaires qu'il croyait habiles , mais qui , au fond , ne servaient qu'à lui attirer les inimitiés des Cabinets de l'Europe . L'Empereur menait une ...
Page 76
... Eu- rope apprit que Napoléon n'était plus invincible . Le châtiment avait suivi la faute , sans laisser au coupable , entraîné par le vertige , le temps de se reconnaître , de se repentir et de s'amender . Combien 76 DE LA POLITIQUE.
... Eu- rope apprit que Napoléon n'était plus invincible . Le châtiment avait suivi la faute , sans laisser au coupable , entraîné par le vertige , le temps de se reconnaître , de se repentir et de s'amender . Combien 76 DE LA POLITIQUE.
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Amsterdam armée articles Barbier bataille bibliothèque Bonaparte brumaire bulletin c'était Cambacérès camp de Boulogne campagne César Châteaubriand chose civile Code Conseil d'État Consulat Corps Législatif critique d'Italie détails devait dictées Directoire disait-il discours dit-il documents doit donner écrit écrivait Égypte Empereur ennemis esprit française François Ier général génie gloire gouvernement guerre Histoire hommes idées impériale Indication des textes j'ai jour journaux jugement l'Angleterre l'armée l'Em l'Empe l'Empereur l'Empire l'Europe l'histoire l'Institut laisser Légion d'honneur léon lettre littéraire Louis Louis XIV Louis XVI Mahomet Marengo Mémoires ment militaire Ministre Moniteur Napo Napoléon disait Napoléon se montre nation œuvres ouvrages paix parler paroles pensée pereur peuple poléon politique Pologne Premier Consul prince principes proclamations public question règne renseignements annexes reste reur Révolution rien Romains Russie saint Sainte-Beuve Sainte-Hélène sentiments serait seul soldats Talma teur textes ou renseignements Thibaudeau tion traduite tragédie traité d'Amiens Tribunat trône trouve victoire Voltaire Voyage
Popular passages
Page 256 - Ayez pour les cérémonies que prescrit l'Alcoran, pour les mosquées, la même tolérance que vous avez eue pour les couvents, pour les synagogues, pour la religion de Moïse et de Jésus-Christ.
Page 359 - En butte aux factions qui divisent mon pays, et à l'inimitié des plus grandes puissances de l'Europe, j'ai terminé ma carrière politique, et je viens, comme Thémistocle, m'asseoir au foyer du peuple britannique. Je me mets sous la protection de ses lois, que je réclame de Votre Altesse Royale, comme celle du plus puissant, du plus constant et du plus généreux de mes ennemis.
Page 248 - Puissent-ils être sincères dans leurs déclarations, et n'en avoir réellement voulu qu'à ma personne! Ma vie politique est terminée, et je proclame mon fils, sous le titre de Napoléon II, empereur des Français. Les ministres actuels formeront provisoirement le conseil du gouvernement. L'intérêt que je porte à mon fils m'engage à...
Page 248 - L'intérêt que je porte à mon fils m'engage à inviter les chambres à organiser sans délai la régence par une loi. » Unissez-vous tous pour le salut public et pour rester une nation indépendante.
Page 261 - Non , non ! La dynastie de Naples a cessé de régner; son existence est incompatible avec le repos de l'Europe et l'honneur de ma couronne. «Soldats! marchez, précipitez dans les flots, si tant est qu'ils vous attendent, ces débiles bataillons des tyrans des mers; montrez au monde de quelle manière nous punissons les parjures...
Page 248 - FRANÇAIS! En commençant la guerre pour soutenir l'indépendance nationale , je comptais sur la réunion de tous les efforts , de toutes les volontés , et le concours de toutes les autorités nationales; j'étais fondé à en espérer le succès , et j'avais bravé toutes les déclarations des puissances contre moi. Les circonstances me paraissent changées.
Page 335 - Il le trouva avec toute sa connaissance et montrant le plus grand sang-froid. Le duc serra la main de l'empereur qu'il porta sur ses lèvres. « Toute ma vie, lui dit-il, a été consacrée à votre service, et je ne la regrette que par l'utilité dont elle pouvait vous être encore.
Page 241 - Juda, ayant ouï de sa propre bouche qu'il falloit rendre à Dieu ce qui est à Dieu , et à César ce qui est à César...
Page 11 - ... contre lui. Mais que ce sauveur impatiemment attendu donne tout à coup un signe d'existence, l'instinct national le devine et l'appelle, les obstacles s'aplanissent devant lui, et tout un grand peuple, volant sur son passage, semble dire : Le voilà...
Page 421 - Templiers dirige les esprits sur ce point de l'histoire française. Cela est bien, mais je ne crois pas qu'il faille laisser jouer des pièces dont les sujets seraient pris dans des temps trop près de nous. Je lis dans un journal qu'on veut jouer une tragédie de Henri IV. Cette époque n'est pas assez éloignée pour ne pas réveiller des passions.