Napoléon l'homme: le politique, l'orateur, d'après sa correspondance et ses oeuvres, Volume 2Perrin, 1889 |
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Page 26
... mort du roi et il l'a fait sous les Bour- bons . C'est que j'eusse marché avec l'opinion pu- blique pour l'en punir , tandis que l'opinion publique marchait avec lui pour le rendre inattaquable . >> Quant à l'hérédité qui est la base de ...
... mort du roi et il l'a fait sous les Bour- bons . C'est que j'eusse marché avec l'opinion pu- blique pour l'en punir , tandis que l'opinion publique marchait avec lui pour le rendre inattaquable . >> Quant à l'hérédité qui est la base de ...
Page 39
... mort de son fils ( 2 ) ? Nous savons déjà ce que Napoléon pensait de la chouannerie ; il la regardait comme une maladie du corps social . Cela ne l'empêchait pas de rendre hommage au courage des chefs de cette insurrec- tion qui étaient ...
... mort de son fils ( 2 ) ? Nous savons déjà ce que Napoléon pensait de la chouannerie ; il la regardait comme une maladie du corps social . Cela ne l'empêchait pas de rendre hommage au courage des chefs de cette insurrec- tion qui étaient ...
Page 60
... mort de Napoléon , dans les écrits des compagnons de sa captivité . En résumé , pour tout ramener à lui seul , Napo- léon avait dû anéantir la liberté civile ( 1 ) ; il avait dû aussi détruire , dans leur germe , toutes les vélléités d ...
... mort de Napoléon , dans les écrits des compagnons de sa captivité . En résumé , pour tout ramener à lui seul , Napo- léon avait dû anéantir la liberté civile ( 1 ) ; il avait dû aussi détruire , dans leur germe , toutes les vélléités d ...
Page 70
... mort de la France fut résolue par l'Angleterre . >> Le jour où cette condamnation fut prononcée dans les conseils du Cabinet Anglais , Napoléon comprit qu'il n'y avait plus que les armes ; c'était un duel où l'un des deux adversaires ...
... mort de la France fut résolue par l'Angleterre . >> Le jour où cette condamnation fut prononcée dans les conseils du Cabinet Anglais , Napoléon comprit qu'il n'y avait plus que les armes ; c'était un duel où l'un des deux adversaires ...
Page 125
... mort quand il la rend un moment plus tôt qu'il n'est obligé . » Déclarant que les capitulations ne sont excu- sables que dans les cas où se trouvèrent Fran- çois Ier et le roi Jean ( 1 ) , il les jugeait toujours au criterium suivant ...
... mort quand il la rend un moment plus tôt qu'il n'est obligé . » Déclarant que les capitulations ne sont excu- sables que dans les cas où se trouvèrent Fran- çois Ier et le roi Jean ( 1 ) , il les jugeait toujours au criterium suivant ...
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Popular passages
Page 256 - Ayez pour les cérémonies que prescrit l'Alcoran, pour les mosquées, la même tolérance que vous avez eue pour les couvents, pour les synagogues, pour la religion de Moïse et de Jésus-Christ.
Page 359 - En butte aux factions qui divisent mon pays, et à l'inimitié des plus grandes puissances de l'Europe, j'ai terminé ma carrière politique, et je viens, comme Thémistocle, m'asseoir au foyer du peuple britannique. Je me mets sous la protection de ses lois, que je réclame de Votre Altesse Royale, comme celle du plus puissant, du plus constant et du plus généreux de mes ennemis.
Page 248 - Puissent-ils être sincères dans leurs déclarations, et n'en avoir réellement voulu qu'à ma personne! Ma vie politique est terminée, et je proclame mon fils, sous le titre de Napoléon II, empereur des Français. Les ministres actuels formeront provisoirement le conseil du gouvernement. L'intérêt que je porte à mon fils m'engage à...
Page 248 - L'intérêt que je porte à mon fils m'engage à inviter les chambres à organiser sans délai la régence par une loi. » Unissez-vous tous pour le salut public et pour rester une nation indépendante.
Page 261 - Non , non ! La dynastie de Naples a cessé de régner; son existence est incompatible avec le repos de l'Europe et l'honneur de ma couronne. «Soldats! marchez, précipitez dans les flots, si tant est qu'ils vous attendent, ces débiles bataillons des tyrans des mers; montrez au monde de quelle manière nous punissons les parjures...
Page 248 - FRANÇAIS! En commençant la guerre pour soutenir l'indépendance nationale , je comptais sur la réunion de tous les efforts , de toutes les volontés , et le concours de toutes les autorités nationales; j'étais fondé à en espérer le succès , et j'avais bravé toutes les déclarations des puissances contre moi. Les circonstances me paraissent changées.
Page 335 - Il le trouva avec toute sa connaissance et montrant le plus grand sang-froid. Le duc serra la main de l'empereur qu'il porta sur ses lèvres. « Toute ma vie, lui dit-il, a été consacrée à votre service, et je ne la regrette que par l'utilité dont elle pouvait vous être encore.
Page 241 - Juda, ayant ouï de sa propre bouche qu'il falloit rendre à Dieu ce qui est à Dieu , et à César ce qui est à César...
Page 11 - ... contre lui. Mais que ce sauveur impatiemment attendu donne tout à coup un signe d'existence, l'instinct national le devine et l'appelle, les obstacles s'aplanissent devant lui, et tout un grand peuple, volant sur son passage, semble dire : Le voilà...
Page 421 - Templiers dirige les esprits sur ce point de l'histoire française. Cela est bien, mais je ne crois pas qu'il faille laisser jouer des pièces dont les sujets seraient pris dans des temps trop près de nous. Je lis dans un journal qu'on veut jouer une tragédie de Henri IV. Cette époque n'est pas assez éloignée pour ne pas réveiller des passions.