Histoire du clergé de France, Volumes 3-4 |
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... fois et quantes qu'une femme est déboutée d'aucune succession comme de fief noble , les fils qui en viennent et des- cendent en sont aussi forclos . >> ( 3 ) Chroniques , chap . XLIX . " ( < « < cune bataille commença . » 27.
... fois et quantes qu'une femme est déboutée d'aucune succession comme de fief noble , les fils qui en viennent et des- cendent en sont aussi forclos . >> ( 3 ) Chroniques , chap . XLIX . " ( < « < cune bataille commença . » 27.
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Joseph Claude F. Bousquet. " ( < « < cune bataille commença . » Après cette défaite , la Flandre se soumit , le roi remit le comte en possession de ses Etats , et lui adressa ces mots remarquables : « Beau cousin , je < « < suis venu ici ...
Joseph Claude F. Bousquet. " ( < « < cune bataille commença . » Après cette défaite , la Flandre se soumit , le roi remit le comte en possession de ses Etats , et lui adressa ces mots remarquables : « Beau cousin , je < « < suis venu ici ...
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... , bourg à deux lieues de La Capelle , où les An- glais étaient campés au nombre de cent vingt mille hommes . Une bataille décisive semblait inévitable ; Edouard l'avait fait demander à Philippe qui l'avait acceptée pour le surlen- 40.
... , bourg à deux lieues de La Capelle , où les An- glais étaient campés au nombre de cent vingt mille hommes . Une bataille décisive semblait inévitable ; Edouard l'avait fait demander à Philippe qui l'avait acceptée pour le surlen- 40.
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... bataille était un vendredi ; mais si les deux rivaux avaient eu un désir sérieux de combattre , ils auraient pu remettre l'affaire au lendemain . Comme l'on n'a rien de positif à cet égard , il semble naturel de penser , dit M. Petitot ...
... bataille était un vendredi ; mais si les deux rivaux avaient eu un désir sérieux de combattre , ils auraient pu remettre l'affaire au lendemain . Comme l'on n'a rien de positif à cet égard , il semble naturel de penser , dit M. Petitot ...
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... bataille , fit agir auprès de Jeanne de Valois , sa belle - mère , sœur de Philippe et veuve du comte de Hainaut , qui s'était retirée dans l'abbaye de Fontenelle , où elle pratiquait la plus austère vertu . Cette pieuse princesse ...
... bataille , fit agir auprès de Jeanne de Valois , sa belle - mère , sœur de Philippe et veuve du comte de Hainaut , qui s'était retirée dans l'abbaye de Fontenelle , où elle pratiquait la plus austère vertu . Cette pieuse princesse ...
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Common terms and phrases
affaires Anglais armée armes arrêt assemblée avaient ayant bataille Benoît Benoît XIII bientôt Bonaparte Bretagne bulle c'était cardinal catholique cause célèbre cent chap Charles IX Charles VII choses Clément VII clergé comte concile concile de Bâle concile de Pise condamné Condé connétable conseil cour couronne d'Angleterre d'Espagne dauphin déclara décret députés devait Dieu donner duc d'Orléans duc de Bourgogne ecclésiastiques Edouard élections ennemis envoya évêques fils française François Ier général gouvernement Grégoire XII guerre Henri Henri III Hist Jean Jean XXII Jeanne jours l'armée l'Assemblée l'Église l'empereur l'Etat Louis XI Louis XII maréchal mariage ment mille hommes ministre mois mort mourut n'avait Napoléon Navarre ordonna paix pape Parlement passer père peuple Philippe pontife porte prélats prince princesse prisonnier protestants puissance règne reine religion révolution Rome royaume s'était sacré saint Saint-Siége schisme seigneurs serait session suivant tion traité trève trône troupes trouvait venait victoire
Popular passages
Page 261 - La mort a des rigueurs à nulle autre pareilles ; On a beau la prier, La cruelle qu'elle est se bouche les oreilles, Et nous laisse crier. Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre, Est sujet à ses lois ; Et la garde qui veille aux barrières du Louvre N'en défend point nos Rois. De murmurer contre elle et perdre patience II est mal à propos ; Vouloir ce que Dieu veut est la seule science Qui nous met en repos.
Page 195 - Je jure et promets à Dieu, sur les saints évangiles, de garder obéissance et fidélité au gouvernement établi par la constitution de la République française. Je promets aussi de n'avoir aucune intelligence, de n'assister à aucun conseil, de n'entretenir aucune ligue, soit au dedans, soit au dehors, qui soit contraire à la tranquillité publique; et si, dans mou diocèse ou ailleurs, j'apprends qu'il se trame quelque chose au préjudice de l'État, je le ferai savoir au gouvernement, i ART.
Page 95 - Paul ne peut en rien être altéré ou ébranlé : it que toute personne soit soumise aux puissances supérieures ; car il n'ya point de puissance qui ne vienne de Dieu, et c'est lui qui ordonne celles qui sont sur la terre...
Page 195 - La religion catholique, apostolique et romaine sera librement exercée en France. Son culte sera public, en se conformant aux règlements de police que le gouvernement jugera nécessaires pour la tranquillité publique.
Page 378 - C'est à moi, responsable de mes actions devant le peuple et devant la postérité, de prendre les mesures qui me semblent indispensables pour le bien public. Quant à vous, restez inébranlables dans les règles de la discipline et de l'honneur. Aidez, par votre attitude imposante, le pays à manifester sa volonté dans le calme et la réflexion. Soyez prêts à réprimer toute tentative contre le libre exercice de la souveraineté du peuple.
Page 95 - Nous déclarons , en conséquence , que les rois et les souverains ne sont soumis à aucune puissance ecclésiastique par l'ordre de Dieu dans les choses temporelles , qu'ils ne peuvent être déposés...
Page 91 - Jouissez, prince, de cette victoire; jouissez-en éternellement par l'immortelle vertu de ce sacrifice. Agréez ces derniers efforts d'une voix qui vous fut connue. Vous mettrez fin à tous ces discours. Au lieu de déplorer la mort des autres, grand prince, dorénavant, je veux apprendre de vous à rendre la mienne sainte ; heureux si , averti par ces cheveux blancs du compte que je dois rendre de mon administration , je réserve au troupeau que je dois nourrir de la parole de vie les restes d'une...
Page 378 - Je fais un loyal appel au peuple et à l'armée, et je leur dis : Ou donnez-moi les moyens d'assurer votre prospérité, ou choisissez un autre à ma place. En 1830, comme en 1848, on vous a traités en vaincus. Après avoir flétri votre désintéressement héroïque, on a dédaigné de consulter vos sympathies et vos vœux, et cependant vous êtes l'élite de la nation.
Page 245 - Je me suis présenté de bonne foi, pour venir me mettre sous la protection des lois d'Angleterre. Aussitôt assis à bord du Bellérophon, je fus sur le foyer du peuple britannique. Si le gouvernement, en donnant des ordres au capitaine du Bellérophon de me recevoir ainsi que ma suite, n'a voulu que tendre une embûche, il a forfait à l'honneur et flétri son pavillon.
Page 245 - J'y suis venu à l'instigation même du capitaine , qui a dit avoir des ordres du gouvernement de me recevoir et de me conduire en Angleterre avec ma suite si cela m'était agréable.