Histoire du clergé de France, Volumes 3-4 |
From inside the book
Results 1-5 of 65
Page 24
... dernier ne l'était que de- puis trente ans et qu'il n'y avait d'autres pairs , de nouvelle création , que ces mêmes ducs de Bretagne et les comtes d'Artois et d'Évreux . On trouve dans les lettres d'érection , ces termes dignes de ...
... dernier ne l'était que de- puis trente ans et qu'il n'y avait d'autres pairs , de nouvelle création , que ces mêmes ducs de Bretagne et les comtes d'Artois et d'Évreux . On trouve dans les lettres d'érection , ces termes dignes de ...
Page 33
... dernier , dit qu'on pouvait appeler comme d'abus de la juridiction ec- clésiastique à la temporelle , et qu'en cas d'abus le roi y mettait la main . » Il y a plus ; on voit dans un ancien cartulaire de l'Église de Paris , un acte d ...
... dernier , dit qu'on pouvait appeler comme d'abus de la juridiction ec- clésiastique à la temporelle , et qu'en cas d'abus le roi y mettait la main . » Il y a plus ; on voit dans un ancien cartulaire de l'Église de Paris , un acte d ...
Page 35
... c'est - à - dire de la vue de l'essence divine , avant le jour du dernier jugement . Jean XXII , sans partager cette opinion , avait reproduit les passages de ( 1 ) En 1332 . quelques Pères qui paraissaient l'appuyer ; il en avait parlé 35.
... c'est - à - dire de la vue de l'essence divine , avant le jour du dernier jugement . Jean XXII , sans partager cette opinion , avait reproduit les passages de ( 1 ) En 1332 . quelques Pères qui paraissaient l'appuyer ; il en avait parlé 35.
Page 37
... dernier moment ; ayant assemblé la veille de sa mort les prélats du sacré - collége , il fit lire une bulle qu'il avait rédigée pour montrer sa croyance et la sincérité de sa foi sur la vision béatifique . Le lendemain il entendit la ...
... dernier moment ; ayant assemblé la veille de sa mort les prélats du sacré - collége , il fit lire une bulle qu'il avait rédigée pour montrer sa croyance et la sincérité de sa foi sur la vision béatifique . Le lendemain il entendit la ...
Page 47
... dernier frère de celui - ci , y prétendait également . Pendant que Charles de Blois sollicitait à Paris l'investiture du duché , Montfort se fait des partisans , se rend maître de Nantes , de Rennes , de Brest , d'Hennebon , passe en ...
... dernier frère de celui - ci , y prétendait également . Pendant que Charles de Blois sollicitait à Paris l'investiture du duché , Montfort se fait des partisans , se rend maître de Nantes , de Rennes , de Brest , d'Hennebon , passe en ...
Common terms and phrases
affaires Anglais armée armes arrêt assemblée avaient ayant bataille Benoît Benoît XIII bientôt Bonaparte Bretagne bulle c'était cardinal catholique cause célèbre cent chap Charles IX Charles VII choses Clément VII clergé comte concile concile de Bâle concile de Pise condamné Condé connétable conseil cour couronne d'Angleterre d'Espagne dauphin déclara décret députés devait Dieu donner duc d'Orléans duc de Bourgogne ecclésiastiques Edouard élections ennemis envoya évêques fils française François Ier général gouvernement Grégoire XII guerre Henri Henri III Hist Jean Jean XXII Jeanne jours l'armée l'Assemblée l'Église l'empereur l'Etat Louis XI Louis XII maréchal mariage ment mille hommes ministre mois mort mourut n'avait Napoléon Navarre ordonna paix pape Parlement passer père peuple Philippe pontife porte prélats prince princesse prisonnier protestants puissance règne reine religion révolution Rome royaume s'était sacré saint Saint-Siége schisme seigneurs serait session suivant tion traité trève trône troupes trouvait venait victoire
Popular passages
Page 261 - La mort a des rigueurs à nulle autre pareilles ; On a beau la prier, La cruelle qu'elle est se bouche les oreilles, Et nous laisse crier. Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre, Est sujet à ses lois ; Et la garde qui veille aux barrières du Louvre N'en défend point nos Rois. De murmurer contre elle et perdre patience II est mal à propos ; Vouloir ce que Dieu veut est la seule science Qui nous met en repos.
Page 195 - Je jure et promets à Dieu, sur les saints évangiles, de garder obéissance et fidélité au gouvernement établi par la constitution de la République française. Je promets aussi de n'avoir aucune intelligence, de n'assister à aucun conseil, de n'entretenir aucune ligue, soit au dedans, soit au dehors, qui soit contraire à la tranquillité publique; et si, dans mou diocèse ou ailleurs, j'apprends qu'il se trame quelque chose au préjudice de l'État, je le ferai savoir au gouvernement, i ART.
Page 95 - Paul ne peut en rien être altéré ou ébranlé : it que toute personne soit soumise aux puissances supérieures ; car il n'ya point de puissance qui ne vienne de Dieu, et c'est lui qui ordonne celles qui sont sur la terre...
Page 195 - La religion catholique, apostolique et romaine sera librement exercée en France. Son culte sera public, en se conformant aux règlements de police que le gouvernement jugera nécessaires pour la tranquillité publique.
Page 378 - C'est à moi, responsable de mes actions devant le peuple et devant la postérité, de prendre les mesures qui me semblent indispensables pour le bien public. Quant à vous, restez inébranlables dans les règles de la discipline et de l'honneur. Aidez, par votre attitude imposante, le pays à manifester sa volonté dans le calme et la réflexion. Soyez prêts à réprimer toute tentative contre le libre exercice de la souveraineté du peuple.
Page 95 - Nous déclarons , en conséquence , que les rois et les souverains ne sont soumis à aucune puissance ecclésiastique par l'ordre de Dieu dans les choses temporelles , qu'ils ne peuvent être déposés...
Page 91 - Jouissez, prince, de cette victoire; jouissez-en éternellement par l'immortelle vertu de ce sacrifice. Agréez ces derniers efforts d'une voix qui vous fut connue. Vous mettrez fin à tous ces discours. Au lieu de déplorer la mort des autres, grand prince, dorénavant, je veux apprendre de vous à rendre la mienne sainte ; heureux si , averti par ces cheveux blancs du compte que je dois rendre de mon administration , je réserve au troupeau que je dois nourrir de la parole de vie les restes d'une...
Page 378 - Je fais un loyal appel au peuple et à l'armée, et je leur dis : Ou donnez-moi les moyens d'assurer votre prospérité, ou choisissez un autre à ma place. En 1830, comme en 1848, on vous a traités en vaincus. Après avoir flétri votre désintéressement héroïque, on a dédaigné de consulter vos sympathies et vos vœux, et cependant vous êtes l'élite de la nation.
Page 245 - Je me suis présenté de bonne foi, pour venir me mettre sous la protection des lois d'Angleterre. Aussitôt assis à bord du Bellérophon, je fus sur le foyer du peuple britannique. Si le gouvernement, en donnant des ordres au capitaine du Bellérophon de me recevoir ainsi que ma suite, n'a voulu que tendre une embûche, il a forfait à l'honneur et flétri son pavillon.
Page 245 - J'y suis venu à l'instigation même du capitaine , qui a dit avoir des ordres du gouvernement de me recevoir et de me conduire en Angleterre avec ma suite si cela m'était agréable.