Histoire du clergé de France, Volumes 3-4 |
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... acte de ces docteurs . ( 1 ) Année 1333 . ( 2 ) Cet acte fut signé le 2 janvier 1334 , par les docteurs de la confé- rence de Vincennes , et par six autres de leurs confrères . L'empereur Louis de Bavière , ennemi mortel du pape , 36.
... acte de ces docteurs . ( 1 ) Année 1333 . ( 2 ) Cet acte fut signé le 2 janvier 1334 , par les docteurs de la confé- rence de Vincennes , et par six autres de leurs confrères . L'empereur Louis de Bavière , ennemi mortel du pape , 36.
Page 37
Joseph Claude F. Bousquet. L'empereur Louis de Bavière , ennemi mortel du pape , fit répandre à ce sujet les plus étranges bruits en Allema- gne , et conçut le dessein d'assembler un conciliabule pour le faire déposer . Mais Dieu ne ...
Joseph Claude F. Bousquet. L'empereur Louis de Bavière , ennemi mortel du pape , fit répandre à ce sujet les plus étranges bruits en Allema- gne , et conçut le dessein d'assembler un conciliabule pour le faire déposer . Mais Dieu ne ...
Page 136
... empereur Venceslas et l'élection de Robert de Bavière , ne voulait plus admettre la voie de la cession . A la cour de France , le duc d'Orléans favorisait Benoît , tandis que le duc de Bourgogne et le duc de Berri étaient pour le ...
... empereur Venceslas et l'élection de Robert de Bavière , ne voulait plus admettre la voie de la cession . A la cour de France , le duc d'Orléans favorisait Benoît , tandis que le duc de Bourgogne et le duc de Berri étaient pour le ...
Page 147
... empereur Caracalla ( 2 ) , le défenseur du due eut l'impudeur et l'audace de soutenir que la mort de Louis d'Orléans avait été juste et nécessaire , à cause de sa tyran- nie , que Monseigneur de Bourgogne avait très - bien fait d'en ...
... empereur Caracalla ( 2 ) , le défenseur du due eut l'impudeur et l'audace de soutenir que la mort de Louis d'Orléans avait été juste et nécessaire , à cause de sa tyran- nie , que Monseigneur de Bourgogne avait très - bien fait d'en ...
Page 159
... empereur allât le trouver à Nice pour y traiter cette affaire . Les pères du concile ayant supplié Sigismond de ne pas refuser ce moyen de concilia- tion , ce prince y consentit , et l'époque de son départ fut fixée au mois de juin ...
... empereur allât le trouver à Nice pour y traiter cette affaire . Les pères du concile ayant supplié Sigismond de ne pas refuser ce moyen de concilia- tion , ce prince y consentit , et l'époque de son départ fut fixée au mois de juin ...
Common terms and phrases
affaires Anglais armée armes arrêt assemblée avaient ayant bataille Benoît Benoît XIII bientôt Bonaparte Bretagne bulle c'était cardinal catholique cause célèbre cent chap Charles IX Charles VII choses Clément VII clergé comte concile concile de Bâle concile de Pise condamné Condé connétable conseil cour couronne d'Angleterre d'Espagne dauphin déclara décret députés devait Dieu donner duc d'Orléans duc de Bourgogne ecclésiastiques Edouard élections ennemis envoya évêques fils française François Ier général gouvernement Grégoire XII guerre Henri Henri III Hist Jean Jean XXII Jeanne jours l'armée l'Assemblée l'Église l'empereur l'Etat Louis XI Louis XII maréchal mariage ment mille hommes ministre mois mort mourut n'avait Napoléon Navarre ordonna paix pape Parlement passer père peuple Philippe pontife porte prélats prince princesse prisonnier protestants puissance règne reine religion révolution Rome royaume s'était sacré saint Saint-Siége schisme seigneurs serait session suivant tion traité trève trône troupes trouvait venait victoire
Popular passages
Page 261 - La mort a des rigueurs à nulle autre pareilles ; On a beau la prier, La cruelle qu'elle est se bouche les oreilles, Et nous laisse crier. Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre, Est sujet à ses lois ; Et la garde qui veille aux barrières du Louvre N'en défend point nos Rois. De murmurer contre elle et perdre patience II est mal à propos ; Vouloir ce que Dieu veut est la seule science Qui nous met en repos.
Page 195 - Je jure et promets à Dieu, sur les saints évangiles, de garder obéissance et fidélité au gouvernement établi par la constitution de la République française. Je promets aussi de n'avoir aucune intelligence, de n'assister à aucun conseil, de n'entretenir aucune ligue, soit au dedans, soit au dehors, qui soit contraire à la tranquillité publique; et si, dans mou diocèse ou ailleurs, j'apprends qu'il se trame quelque chose au préjudice de l'État, je le ferai savoir au gouvernement, i ART.
Page 95 - Paul ne peut en rien être altéré ou ébranlé : it que toute personne soit soumise aux puissances supérieures ; car il n'ya point de puissance qui ne vienne de Dieu, et c'est lui qui ordonne celles qui sont sur la terre...
Page 195 - La religion catholique, apostolique et romaine sera librement exercée en France. Son culte sera public, en se conformant aux règlements de police que le gouvernement jugera nécessaires pour la tranquillité publique.
Page 378 - C'est à moi, responsable de mes actions devant le peuple et devant la postérité, de prendre les mesures qui me semblent indispensables pour le bien public. Quant à vous, restez inébranlables dans les règles de la discipline et de l'honneur. Aidez, par votre attitude imposante, le pays à manifester sa volonté dans le calme et la réflexion. Soyez prêts à réprimer toute tentative contre le libre exercice de la souveraineté du peuple.
Page 95 - Nous déclarons , en conséquence , que les rois et les souverains ne sont soumis à aucune puissance ecclésiastique par l'ordre de Dieu dans les choses temporelles , qu'ils ne peuvent être déposés...
Page 91 - Jouissez, prince, de cette victoire; jouissez-en éternellement par l'immortelle vertu de ce sacrifice. Agréez ces derniers efforts d'une voix qui vous fut connue. Vous mettrez fin à tous ces discours. Au lieu de déplorer la mort des autres, grand prince, dorénavant, je veux apprendre de vous à rendre la mienne sainte ; heureux si , averti par ces cheveux blancs du compte que je dois rendre de mon administration , je réserve au troupeau que je dois nourrir de la parole de vie les restes d'une...
Page 378 - Je fais un loyal appel au peuple et à l'armée, et je leur dis : Ou donnez-moi les moyens d'assurer votre prospérité, ou choisissez un autre à ma place. En 1830, comme en 1848, on vous a traités en vaincus. Après avoir flétri votre désintéressement héroïque, on a dédaigné de consulter vos sympathies et vos vœux, et cependant vous êtes l'élite de la nation.
Page 245 - Je me suis présenté de bonne foi, pour venir me mettre sous la protection des lois d'Angleterre. Aussitôt assis à bord du Bellérophon, je fus sur le foyer du peuple britannique. Si le gouvernement, en donnant des ordres au capitaine du Bellérophon de me recevoir ainsi que ma suite, n'a voulu que tendre une embûche, il a forfait à l'honneur et flétri son pavillon.
Page 245 - J'y suis venu à l'instigation même du capitaine , qui a dit avoir des ordres du gouvernement de me recevoir et de me conduire en Angleterre avec ma suite si cela m'était agréable.