La Minerve française, Volume 7Bureau de la Minerve Française, 1819 - France |
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... enfin , nous devons obtenir Le gage indépendant d'un tranquille avenir . Honneur à tes autels ! ... Le monstre qui t'outrage A pris ton nom sacré , mais non pas ton langage . C'est contre la politique bavarde des cafés et des tavernes ...
... enfin , nous devons obtenir Le gage indépendant d'un tranquille avenir . Honneur à tes autels ! ... Le monstre qui t'outrage A pris ton nom sacré , mais non pas ton langage . C'est contre la politique bavarde des cafés et des tavernes ...
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... enfin qu'ils y croient . Mais la manière dont ces deux hommes célèbres considé- raient la constitution anglaise , n'était point la même . M. Fox y voyait un noble espoir de perfectionnement pour toutes les classes de l'espèce humaine ...
... enfin qu'ils y croient . Mais la manière dont ces deux hommes célèbres considé- raient la constitution anglaise , n'était point la même . M. Fox y voyait un noble espoir de perfectionnement pour toutes les classes de l'espèce humaine ...
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... enfin pour entretenir la splen- » deur et le respect dus au gouvernement par l'entretien » des grands officiers de la couronne , proportionnelle- » ment à l'opulence du peuple . » Ainsi parlait M. Pitt , dans sa vingt - deuxième année ...
... enfin pour entretenir la splen- » deur et le respect dus au gouvernement par l'entretien » des grands officiers de la couronne , proportionnelle- » ment à l'opulence du peuple . » Ainsi parlait M. Pitt , dans sa vingt - deuxième année ...
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... Enfin le roi nomma par lui - même ou par ses délégués ( missi dominici ) tous les magistrats du peuple , qui ces- sèrent des lors d'être des magistrats populaires ; et aussitôt les leudes , qui avaient organisé le despotisme , isolé le ...
... Enfin le roi nomma par lui - même ou par ses délégués ( missi dominici ) tous les magistrats du peuple , qui ces- sèrent des lors d'être des magistrats populaires ; et aussitôt les leudes , qui avaient organisé le despotisme , isolé le ...
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... Enfin en 1717 on abolit tous les emplois municipaux , et le peuple reprit ses antiques immunités tant de fois ravies et tant de fois payées . Mais à peine pût - on faire argent de ces offices , qu'on s'empressa de les créer et de les ...
... Enfin en 1717 on abolit tous les emplois municipaux , et le peuple reprit ses antiques immunités tant de fois ravies et tant de fois payées . Mais à peine pût - on faire argent de ces offices , qu'on s'empressa de les créer et de les ...
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Common terms and phrases
50 cent accuse administration agens amis anglaise Anglès assez aujourd'hui avaient Benjamin Constant Bonaparte Carlsbad cause cent cesse chambre charte Châteaubriant chef chose citoyens conseil conspiration constitution constitutionnelle contre-révolution crime Decazes Députés sortans despotisme Dessolles doctrinaires doctrines doit donner doute écrivains Égypte électeurs élections ennemis eût événemens faction force garanties garde nationale général gloire gouvernemens gouvernement Grenoble Haute-Marne hommes Horace Vernet institutions intérêts j'ai jamais jésuites jour journaux juges jury justice l'aristocratie l'autorité l'état l'Europe l'opinion Laîné législation lettre libéraux liberté lois long-temps Louis XIV Louis XVIII maire malheur Marseille ment mesures MINERVE FRANÇAISE ministériels ministres monarchie monarque municipal nation parler passé patrie peintre pensée peuple peut-être Pitt politique pouvait pouvoir préfet premier prince principes Prusse public publique puissance qu'un raison réclame révolution rien rois royauté Royer-Collard s'est s'il saint Sénégal sentiment serait session seul système tableau tion toyens triomphe trône trouve ultras vérité Villemain voté
Popular passages
Page 602 - Nulle association de plus de vingt personnes, dont le but sera de se réunir tous les jours ou à certains jours marqués pour s'occuper d'objets religieux , littéraires , politiques ou autres , ne pourra se former qu'avec l'agrément du gouvernement, et sous les conditions qu'il plaira à l'autorité publique d'imposer à la société.
Page 98 - ... te voir libre, et libre pour toujours. Que tes plaisirs ne soient plus une entrave : La liberté doit sourire aux amours. Prends son flambeau, laisse dormir sa lance , Instruis le monde, et cent peuples divers Chanteront, en brisant leurs fers :
Page 340 - ... de le voir soutenu par cette brave armée , si digne de le défendre. Soldats, c'est votre amour que j'invoque, c'est votre fidélité que je réclame : vos aïeux se rallièrent jadis au panache du grand Henri ; c'est son petit-fils que j'ai...
Page 71 - Projet de changemens à opérer dans le système des places fortes , pour les rendre véritablement utiles à la défense de la France; par le lieutenant général Sainte-Suzanne , pair de France (i).
Page 217 - lui disoit-il, voyez, mon maître, tout ce peuple « est à vous : il n'ya rien là qui ne vous appartienne, « vous êtes le maître de tout ce que vous voyez ;
Page 97 - Reine du monde, ô France ! ô ma patrie ! Soulève enfin ton front cicatrisé. Sans qu'à tes yeux leur gloire en soit flétrie, De tes enfants l'étendard s'est brisé.
Page 309 - Roi avoit été occupé de ses amours, la cour avoit été galante : aussitôt que le confesseur s'en fut emparé, elle devint triste et hypocrite. On s'étoit empressé aux fêtes, aux spectacles; on courut à la chapelle : mais le Roi étoit toujours le dieu à qui s'adressoit un nouveau culte.
Page 220 - Augustin, dit le fougueux jésuite, étaient des têtes chaudes, qu'on mettrait aujourd'hui à la Bastille. A l'égard de saint Thomas, vous pouvez penser quel cas je fais d'un jacobin, quand je m'embarrasse peu d'un apôtre.
Page 218 - L'âge et la dévotion sembloient endurcir un cœur naturellement peu sensible. La révocation de l'édit de Nantes fut l'acte le plus terrible de cette dévotion fanatique. Louis prétendoit régner sur les consciences. La France, déjà ruinée par la guerre, le luxe et les fêtes, fut dépeuplée par les proscriptions, et les étrangers se sont enrichis de nos pertes. Louis ne fut que l'instrument aveugle de tant de barbarie : on lui...
Page 290 - ... Loin de mon berceau, jeune encore, L?inconstance emporta mes pas Jusqu'au sein des mers où l'aurore Sourit aux plus riches climats. France adorée ! Douce contrée ! Dieu te devait leurs fécondes chaleurs. * Toute l'année, Là, brille ornée De fleurs, de fruits, et de fruits et de fleurs. Mais là, ma jeunesse flétrie Rêvait à des climats plus chers ; Là, je regrettais nos hivers. Salut à ma patrie ! • J'ai pu me faire une famille, Et des trésors m'étaient promis.