Revue nouvelle [ed. by E. Forcade]., Volume 9Eugène Forcade 1846 |
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... travail a connu personnellement , est un homme d'un àge mùr . Il a gardé une re- marquable vigueur de corps et d'esprit , malgré quelques habi- tudes qui s'éloignent de la sobriété espagnole . Feinte ou réelle , il montre une affection ...
... travail a connu personnellement , est un homme d'un àge mùr . Il a gardé une re- marquable vigueur de corps et d'esprit , malgré quelques habi- tudes qui s'éloignent de la sobriété espagnole . Feinte ou réelle , il montre une affection ...
Page 51
... travail que , bien qu'elles puissent peut- ètre sembler empreintes de quelque sévérité , nos appréciations sur le Mexique ne sont que justes ; car , toutes politiques et spéculatives , elles ne touchent ni aux mérites personnels ni aux ...
... travail que , bien qu'elles puissent peut- ètre sembler empreintes de quelque sévérité , nos appréciations sur le Mexique ne sont que justes ; car , toutes politiques et spéculatives , elles ne touchent ni aux mérites personnels ni aux ...
Page 54
... 'autre défaut que celui d'accu- muler sans méthode des masses de faits épisodiques ramenés un peu trop violemment au centre d'observation où s'est placé l'auteur . Mais un pareil travail m'aurait soumis à suivre pas à 54 REVUE NOUVELLE .
... 'autre défaut que celui d'accu- muler sans méthode des masses de faits épisodiques ramenés un peu trop violemment au centre d'observation où s'est placé l'auteur . Mais un pareil travail m'aurait soumis à suivre pas à 54 REVUE NOUVELLE .
Page 55
... travail m'ont été fournis , je dois le dire , par M. Wal- kenaër . Une fois mis en goût par quelques mots épars dans son ouvrage , j'ai recueilli çà et là , un peu partout , dans la bonne com- pagnie et dans la mauvaise ( avec un grand ...
... travail m'ont été fournis , je dois le dire , par M. Wal- kenaër . Une fois mis en goût par quelques mots épars dans son ouvrage , j'ai recueilli çà et là , un peu partout , dans la bonne com- pagnie et dans la mauvaise ( avec un grand ...
Page 58
... travail subtil , on réduisait les belles passions à doubler successivement toutes les étapes de la carte du Tendre , à subir mille épreuves savamment graduées par les scolastiques de l'amour , on refroidissait l'audace des plus entre ...
... travail subtil , on réduisait les belles passions à doubler successivement toutes les étapes de la carte du Tendre , à subir mille épreuves savamment graduées par les scolastiques de l'amour , on refroidissait l'audace des plus entre ...
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Common terms and phrases
affaires amis anglais Angleterre assez avaient BARONNE Bedford Bordeaux c'était cabinet cause Chambre des communes charme chemins de fer CHEVALIER chose classes ouvrières cœur compagnie comte conseil conservateur Cromwell Cuvier devant dire Dodington's Diary donner duc de Newcastle espagnole esprit eût femme fille force général gouvernement guerre homme Horace Walpole industriel intérêts j'ai jamais James Mackintosh Jean Chouan jeune jour JUSTINE l'administration l'Angleterre l'État l'Opposition laissé liberté long-temps lord John Russell lord Mahon Lord Orford's Memoirs Lord Waldegrave's Memoirs Mackintosh madame de Maintenon madame de Miramion madame de Montespan madame de Sévigné mademoiselle MARQUISE Mazarin ment Mexique ministre monde moyen musique n'avait n'était Nelson parlement passé passion pays pensée personne Pitt politique pouvait premier PRÉSIDENT prince de Condé princesse qu'un raison reste révolution rien Rochet d'Héricourt s'est s'était scène sentiment serait seul siècle sir Robert Peel situation sorte talent tarif Teverino Thiers tion trouver voyageurs whigs
Popular passages
Page 421 - C'est un feu que Dieu nous a confié, nous devons le nourrir de ce que nous trouvons de plus précieux. Il faut faire entrer dans notre être tous les modes imaginables, ouvrir toutes les portes de son âme à toutes les sciences et à tous les sentiments ; pourvu que tout cela n'entre pas pêle-mêle, il ya place pour tout le monde.
Page 287 - Scarron déclara qu'il reconnaissait à l'accordée quatre louis de rente , deux grands yeux fort mutins , un très-beau corsage , une paire de belles mains et beaucoup d'esprit.
Page 57 - Ces deux personnages n'ont pas réussi : qui prouve trop ne prouve rien, dit je ne sais qui. Enfin, la douleur est universelle. Le roi a paru touché et a fait son panégyrique, en disant qu'elle était plus considérable par sa vertu que par la grandeur de sa fortune.
Page 286 - Châtre1, il n'auroit pas senti que la première fois devoit être la dernière. Assurez ceux qui attribuent mon refus à un engagement, que mon cœur est parfaitement libre, veut toujours l'être, et le sera toujours. Je l'ai trop éprouvé, que le mariage ne sauroit être délicieux; et je trouve que laliberté l'est.
Page 58 - chose sur le cœur contre vous. » — Et quoi , madame ? — « Vous n'êtes point dévot à la vierge ; ah ! vous « n'êtes point dévot à la vierge : cela me fait une peine
Page 83 - Madame , il faut que je vous dise que je ne pense pas qu'il y ait au monde une personne si généralement estimée que vous ; vous êtes les délices du genre humain : l'antiquité vous aurait dressé des autels , et vous auriez assurément été déesse de quelque chose. Dans notre siècle, où l'on n'est pas si prodigue d'encens, et surtout pour le mérite vivant , on se contente de dire qu'il n'ya point de femme à votre âge plus vertueuse ni plus aimable que vous.
Page 259 - Compagnie, les mesures nécessaires pour assurer provisoirement le service. Si, dans les trois mois de l'organisation du service provisoire, la Compagnie n'a pas valablement justifié qu'elle est en état de reprendre et de continuer l'exploitation, et si elle ne l'a pas effectivement reprise, la déchéance pourra être prononcée par le Ministre.
Page 410 - Un jour un garçon qui avoit été son valet de pied, à qui elle avoit accoutumé de faire quelques largesses , entra dans sa chambre pour lui demander de l'argent ; sa demande fut accompagnée de manières qui firent croire qu'il avoit envie d'en prendre, ou de s'en faire donner. Un gentilhomme qui sortoit d'être page de M. le duc se querella avec l'autre, soit qu'il le regardât comme un voleur, ou qu'il fût fâché qu'il manquât de respect à madame la princesse : l'on n'en sut pas la raison....
Page 85 - N'en parlons plus; vous réparez trop bien le passé, et d'une manière si noble et si naturelle que je veux bien présentement vous en devoir le reste. Adieu, comte; c'est grand dommage que nos étoiles nous aient séparés. Nous étions bien propres à vivre dans une même ville : nous nous entendons, ce me semble, à demi-mot. Je ne me réjouis pas bien sans vous ; et si je ris, cela ne passe pas le nœud de la gorge. M. de Pomponne me paroît passionné pour vous.
Page 83 - ... qui fileraient pour vous si vous les laissiez faire. En pouvez-vous demander davantage' A moins que d'en vouloir à la liberté des cloîtres , vous ne sauriez aller plus loin...