Le ministère de m. de Martignac: sa vie politique et les dernières années de la restauration (d'après des publications récentes et des documents inédits) |
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accusés actes affaires étrangères Alfred Nettement amis avaient avons Benjamin Constant Bourdonnaye C'était cabinet Casimir Périer cause centre gauche Chabrol Chambre des députés Chambre des pairs Chantelauze Charles Charles X Charte Chateaubriand chose chute circonstances cœur collègues commission confiance conseil couronne débats déclaration défendre devait devoir dévouement discussion donner duc de Broglie duc de Richelieu efforts élections éloquence ennemis espérances esprit eût événements Ferronnays Feutrier force funestes gnac gouvernement Guizot hommes Hyde de Neuville influence j'ai jour juges justice l'avait l'esprit l'état l'influence l'opinion laisser libéral liberté lois Louis XVIII majorité malheur Martignac ment messieurs ministère modération monarchie n'avait nistère ordonnances parlementaire parole Pasquier passé passions pays pensée périls Peyronnet politique Portalis pouvait pouvoir président presse prince de Polignac projet publique refus Restauration reste révolution royale Royer-Collard s'était sentiments serait session seul sincère sion succès système talent tignac tion tribune trône trouver Villèle violence vote voulait
Popular passages
Page 327 - France, députés des départements, je ne doute pas de votre concours pour opérer le bien que je veux faire. Vous repousserez avec mépris les perfides insinuations que la malveillance cherche à propager. Si de coupables manœuvres suscitaient à mon gouvernement des obstacles, que je ne peux...
Page 201 - Religion, a fait répondre que les évêques doivent se confier en la haute piété et la sagesse du Roi pour l'exécution des ordonnances , et marcher d'accord avec le trône.
Page 144 - Nous arrivions extrêmement laids, et nous nous asseyions en rond autour d'un salon éclairé d'une lampe qui filait. Dans ce brouillard législatif, nous parlions de la loi présentée, de la motion à faire, du camarade à porter au secrétariat, à la questure, aux diverses commissions.
Page 327 - Charte a placé les libertés publiques sous la sauve-garde des droits de ma couronne ; ces droits sont sacrés ; mon devoir envers mon peuple est de les transmettre intacts à mes successeurs. « Pairs de France , députés des départements , je ne doute pas de votre concours pour opérer le bien que je veux faire ; vous repousserez avec mépris les perfides insinuations que la malveillance cherche à propager ; si de coupables manœuvres suscitaient à mon gouvernement des obstacles que je ne...
Page 45 - A bas les ministres ! A bas les jésuites! A bas Villèle ! » Un garde national osa même sortir des rangs, arrêter le cheval du roi qui marchait en tête d'un brillant cortège, et les répéter avec vivacité. « Je suis venu ici pour recevoir des hommages et non des leçons ! » dit le roi avec autant d'à-propos que de dignité.
Page 158 - Ses yeux ne demandent aux. dépositaires de votre pouvoir que la vérité de vos bienfaits. Ses plaintes n'accusent que le système déplorable qui les rendit trop souvent illusoires.
Page 49 - Ministres du roi, ajoutait un orateur de la droite, il vous reste un grand service à rendre au trône et au pays, un service immense, le seul qui puisse réparer le mal que vous avez fait, c'est de vous retirer ! Vous êtes destitués par le pays ! Toutes les supériorités vous effrayent, le cri même de — Vive le roi ! — vous accuse : vous l'avez étouffé sur les lèvres de la garde nationale de Paris ! » Et le général Sébastiani résumait ces sentiments par ce mot :
Page 345 - Voilà de grandes mesures ! Il faudra beaucoup de courage et de fermeté pour les faire réussir. Je compte sur vous, vous pouvez compter sur moi. Notre cause est commune. Entre nous c'est à la vie et à la mort.
Page 74 - Villèle formula son refus dans la forme familière que venait d'employer ce prince, et avec beaucoup d'énergie. « Vous voulez donc vous imposer à moi comme ministre! » écrivit de nouveau le roi. M. de Villèle parut ému, et, traçant à la hâte quelques lignes, il les fit passer à Charles X. Elles étaient ainsi conçues : «Le roi sait bien le contraire; mais puisqu'il a pu l'écrire, qu'il fasse de moi ce qu'il voudra, et Dieu veuille qu'il n'ait pas à s'en repentir ! » Le lendemain,...
Page 225 - ... nous nous sentions entraînés vers un mal que vainement, à force de gravité, de tranquillité, de réserve, nous essayions de détourner. Aujourd'hui nous arrivons tous , vous comme moi , avec confiance et espérance, le cœur en paix et la pensée libre. Nous n'avons qu'une manière, Messieurs, d'en...