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neutres, stationnées au Nord de la ligne de démarcation, quitteront le Slesvic en même temps que les troupes Prussiennes.

Sa Majesté Prussienne S'oblige à ne mettre aucun obstacle aux mesures militaires qui, après l'évacuation du Duché de Slesvic, seraient prises dans ce Duché par le Gouvernement Danois.

Avant que les troupes Prussiennes n'aient effectué leur retraite du Duché de Slesvic le Danemark ne fera entrer aucune force militaire sur le Continent de ce Duché à moins que les troupes Holsteinoises n'y entrent. Toutefois les troupes Danoises ne pourront pas dépasser la ligne de démarcation avant que les troupes Prussiennes n'aient entièrement évacué le Slesvic conformément à l'article suivant.

Art. II. Onze jours après l'échange des ratifications Prussienne et Danoise du présent Protocole les troupes Prussiennes devront avoir passé la frontière, qui sépare le Slésvic du Holstein.

Onze jours après ce dernier terme elles devront avoir évacué les Duchés de Holstein et de Lauenbourg.

Art. II. Les Hautes Parties contractantes S'engagent à ratifier le présent Protocole et à en faire échanger les ratifications à Berlin dans l'espace de huit jours, ou plus tôt, si faire se peut.

Fait à Berlin, ce 2 Juillet 1850.

Article séparé du Protocole entre la Prusse et le Danemark.

Sa Majesté le Roi de Prusse par rapport à ce qui avait été stipulé dans l'art. IV des Préliminaires du 10 Juillet 1849 Se déclare disposé à prendre part aux négociations, donc Sa Majesté le Roi de Danemark prendra l'initiative à l'effet de régler l'ordre de succession dans les Etats réunis sous le sceptre de Sa Majesté Danoise.

Déclaration du Plenipotentiaire Prussien comme annexe au Protocole de la Conférence finale du 2 Juillet 1850.

Le Soussigné, Plénipotentiaire Prussien, après avoir signé le Traité de paix et le Protocole de ce jour, a l'honneur de remettre, comme annexe au Protocole de la Conférence d'aujourd'hui la déclaration suivante: 1. Il répète, quant à l'art. III du Traité de paix la même réservation, qu'il avait consigné dans sa proposition additionnelle du 12 Juin sous No. I, savoir: que la réservation générale des droits, qui ont appartenu réciproquement aux Hautes Parties contractantes avant la guerre, doive comprendre dans l'acceptation de la Confédération, aussi les droits, qu'elle s'est reconnus par l'arrêté de la Diète du 17 Septembre 1846. 2. Le Plénipotentiaire Prussien prend acte de ce qu'il a été reconnu dans la Conférence du 1 Juillet de la part de M. M. les Plénipotentiaires Danois et de celle de Mr. le Comte de Westmorland: que les mots de l'art. IV du Traité: pourra..... réclamer, lesquels furent substitués à celui de réclamera, ne doivent pas être interprêtés au préjudice du droit fédéral allemand, comme s'il était abandonné au libre arbitre de Sa Majesté Danoise, Duc de Holstein, comme membre de la Confédération de réclamer ou de ne pas réclamer l'intervention de la Confédération dans le Holstein, avant que d'en venir à des moyens plus violens et d'employer contre le Holstein ses forces armées, mais que l'incertitude, indiquée par le mot pourra, ne se rapporte qu'à la circonstance, incertaine à l'heure qu'il est, que Sa Majesté réussirait peutêtre de rétablir l'exercice de Son autorité légitime dans le Holstein par des moyens pacifiques. 3. Enfin le Soussigné prend acte de la déclaration verbale, émise par Mr. le Comte de Westmorland dans la Conférence du 1 Juillet par

rapport à la suppression des mots: et autres droits territoriaux, que le Soussigné avait proposés pour être insérés dans l'article V du Traité après les mots: la limite. Son Excellence le Représentant de la puissance médiatrice déclara sur la demande du Soussigné: que la suppression de ces mots ne devait en aucune façon affecter les droits territoriaux que les deux Duchés de Slesvic et de Holstein pouvaient posséder réciproquement, l'un sur le territoire de l'autre.

Berlin, le 2 Juillet 1850.

Monsieur le Baron!

(signé) Usedom.

Berlin, le 4 Juillet 1850.

Je viens de recevoir du Baron de Pechlin, en son nom et au nom de ses Collègues, l'assurance qu'il n'a considéré les mots: pourra réclamer, substitués pour le mot: réclamera dans l'article VI du Traité de Paix entre la Confédération Germanique et le Danemark, signé le 2 du courant, que comme autorisant le Roi de Danemark à essayer, par des moyens de conciliation, de rétablir les relations pacifiques avec le Duché de Holstein, sans l'intervention de la Confédération. Si ses efforts restaient inefficaces, le Baron de Pechlin reconnaît l'obligation du Roi, contractée par le Traité, de s'adresser à la Confédération, avant d'avoir recours à des mesures militaires, afin de rétablir l'exercice de son autorité dans ce Duché. Ce n'est que dans le cas que cette intervention, ainsi demandée, ne fût pas accordee ou restat inefficace, que le Roi serait autorisé à employer Ses forces militaires à cet effet. Je profite de cette occasion pour renouveler etc. (signé) Westmorland.

3. Frankreich.

1. Friedens- und Freundschafts- Tractat. 30. Mai 1814. Im Namen der allerheiligsten und untheilbaren Dreieinigkeit!

Da Seine Majestät der König von Preußen und Seine Alliirten an einem, und Seine Majestät der König von Frankreich und Navarra am andern Theile, ein gleiches Verlangen hegen, den langwierigen Erschütterungen von Europa und dem Unglücke der Völker durch einen festen, auf eine richtige Vertheilung der Kräfte unter die Mächte, gegründeten, und in feinen Bestimmungen die Gewährleistung für seine Dauer enthaltenden Frieden, ein Ende zu machen, und Seine Majestät der König von Preußen und Seine Alliirten jezt, wo Frankreich durch seine erfolgte Rückkehr unter die väterliche Regierung seiner Könige Europa ein Pfand der Sicherheit und der Beständigkeit giebt, von demselben diejenigen Bedingungen und Gewährleistungen nicht mehr erheischen wollen, welche Sie ungern unter seiner vorigen Regierung von ihm gefordert hatten: so haben Ihre gedachten Majestäten Bevollmächtigte ernannt, um einen Friedens- und FreundschaftsVertrag zu unterhandeln, zu schließen und zu unterzeichnen; dieselben sind nach geschehener Auswechselung, ihrer in guter und gehöriger Form befundenen Vollmachten, über folgende Artikel übereingekommen.

Art. 1. Von dem heutigen Tage an wird zwischen Seiner Majestät dem Könige von Preußen und Seinen Alliirten an einem, und Seiner Majestät dem Könige von Frankreich und Navarra am andern Theile, Ihren Erben und Nachfolgern, Ihren jederseitigen Staaten und Unterthanen, auf immerwährende Zeiten Friede und Freundschaft sein.

Die hohen contrahirenden Theile werden alle Sorgfalt anwenden, um nicht nur unter sich, sondern auch, so weit es von ihnen abhängt, unter allen europäischen Staaten, die Eintracht und das gute Einverständniß aufrecht zu erhalten, welche zu der Ruhe von Europa so nothwendig sind.

Art. 2. Das Königreich Frankreich behält die Integrität seiner Grenzen, so wie selbige in dem Zeitpunkte am 1. Januar 1792 bestanden. Es wird überdem eine, in der Demarcationslinic, welche der folgende Artikel bestimmt, begriffene Gebietsvermehrung erhalten.

Art. 3. Von der Seite Belgiens, Deutschlands und Italiens wird die ehemalige Grenze, so wie sie den 1. Januar des Jahres 1792 bestand, von der Nordsee zwischen Dünkirchen und Nieuwpoort an, bis zu dem mittelländischen Meer zwischen Cagnes und Nizza, mit folgenden Rectificirungen wiederhergestellt werden:

1. Im Departement von Jemappes werden die Cantone Dour, Merbes le Chateau, Beaumont und Chimay Frankreich verbleiben; die Demarcationslinie wird da, wo sie den Canton Dour berührt, zwischen diesen und den Cantonen Boussu und Paturage, so wie fürder zwischen dem Canton Merbes le Chateau und den Cantonen Binch und Thuin hinlaufen.

2. In dem Departement der Sambre und Maas werden die Cantone Walcourt, Florennes, Beauraing und Gedinne Frankreich gehören; die Grenze wird, wann sie an dieses Departement gelangt, der Linie folgen, welche die vorgedachten Cantone von dem Departement Jemappes und von dem übrigen Theile des Sambre- und Maas-Departements scheidet.

3. In dem Mosel-Departement wird die neue Grenze, wo sie von der alten abweicht, durch eine von Perle bis Fremersdorf zu ziehende, und durch diejenige Linie gebildet werden, welche den Canton Tholey von dem übrigen Theile des Maas-Departements trennt.

4. In dem Saar-Departement werden die Cantone Saarbrück und Arneval Frankreich verbleiben, imgleichen derjenige Theil des Cantons Lebach, welcher im Süden einer Linie liegt, die längs der Markungen der Dörfer Herchenbach, Ueberhofen, Hilsbach und Hall (diese verschiedenen Orte außerhalb der französischen Grenze belassend) bis zu dem Punkte hinläuft, wo bei Querselle (welches Frankreich gehört) die Linie, welche die Cantone Arneval und Ottweiler von einander scheidet, an diejenige trifft, welche die Cantone Arneval und Lebach von einander trennt; die Grenze in diesem Landstriche besteht in der oben beschriebenen und in einer Linie, welche den Canton Arneval von dem Canton Bliescastel trennt.

5. Da die Festung Landau vor dem Jahre 1792 einen isolirten Punkt in Deutschland ausgemacht hat, so behält Frankreich jenseits seiner Grenzen, um diese Festung und ihren Umkreis mit dem übrigen Theile des Königreichs in Verbindung zu sehen, einen Theil der Departements des Donnersberges und des Nieder-Rheins. Die neue Begrenzung geht von dem Punkte aus, wo bei Obersteinbach (welches außerhalb des französischen Gebietes bleibt) die Grenze zwischen dem Mosel-Departement und dem Departement des Donnersberges an das Departement des Nieder-Rheins trifft, und folgt der Linie, welche die Cantone Weissenburg und Bergzabern (auf Seiten Frankreichs) die Cantone Pirmasens, Dahn und Annweiler (auf Seiten Deutschlands) von einander scheidet, bis zu dem Punkte, wo diese Grenzscheiden, bei dem Dorfe Wolmersheim, den ehemaligen Umkreis der Festung Landau berühren. Von diesem Umkreise ab, welcher bleibt, wie er im Jahre 1792 gewesen, folgt die neue Grenze demjenigen Arme des Queichflusses, welcher jenen Umkreis bei Queichheim (zu Frankreich gehörig) verläßt, und bei den Dörfern Merlenheim, Knittelheim und Belheim vorbei (die

gleichfalls französisch bleiben) nach dem Rhein hinfließt, welcher hierauf die weitere Grenze zwischen Frankreich und Deutschland bildet.

Was den Rhein betrifft, so wird der Thalweg, jedoch mit der Maaßgabe die Grenzscheidung ausmachen, daß die in der Folge mit dem Laufe dieses Stromes sich ereignenden Veränderungen künftighin keinen Einfluß auf das Eigenthum der darin befindlichen Inseln haben werden; der Besizstand dieser Inseln wird, so wie er zur Zeit der Unterzeichnung des Tractates von Luneville war, wiederhergestellt werden.

6. Im Doubs Departement wird die Grenze dergestalt rectificirt werden, daß sie oberhalb la Ranconniere bei Locle beginnt und dem Kamme des Jura zwischen le Cerneur-Pequignot und dem Dorfe Fontenelles bis zu einem, ohngefähr 7 bis 8000 Fuß nordwestlich von dem Dorfe la Brevine belegenen Gipfel des Jura folgt, wo sie wieder in die ehemalige französische Grenze fällt.

7. In dem Leman - Departement bleiben die Grenzen zwischen dem französischen Gebiete, dem Waadtlande und den verschiedenen Gebietstheilen der Republik Genf (welche einen Theil der Schweiz ausmachen wird) eben so, wie sie waren, ehe Genf dem französischen Gebiete einverleibt worden; aber der Canton Frangy, der Canton St. Julien (mit Ausnahme desjenigen Theiles, welcher im Norden einer Linie liegt, die von dem Punkte, wo der Fluß Laire bei Chancy in das Genfer Gebiet tritt, längs der Markungen von Seseguin, Laconer und Seseneuve, die außerhalb der französischen Grenze bleiben, gezogen wird), der Canton Reignier (mit Ausnahme desjenigen Stückes, welches sich im Osten einer Linie befindet, die den Markungen von Muraz, Bussy, Pers und Cornier folgt, welche außerhalb der französischen Grenze liegen), und der Canton de la Roche (mit Ausnahme der Crtschaften la Roche und Armanoy und ihrer Bezirke) werden Frankreich verbleiben. Der Grenzzug wird den Grenzen dieser verschiedenen Cantone und den Linien folgen, welche die zu Frankreich verbleibenden Stücke und diejenigen, welche es nicht behält, von einander trennen.

8. In dem Montblanc - Departement erwirbt Frankreich die UnterPräfectur Chambery, mit Ausnahme der Cantone de l'Hopital, St. Pierre d'Albigny, de la Rocette und Montmeillant, und die Unter-Präfectur Annecy, mit Ausnahme desjenigen Theiles des Cantons Faverges, welcher östlich einer Linie liegt, die zwischen Ourechaise und Marlens auf französischer, und Marthod und Ugine auf der entgegengesezten Seite läuft, und hiernächst dem Kamme der Berge bis zur Grenze des Cantons Thones folgt; diese Linie wird, mit den Grenzen der erwähnten Cantone, in der dortigen Gegend den neuen Grenzzug bilden.

Auf der Seite der Pyrenäen bleiben die Grenzen zwischen den beiden Königreichen Frankreich und Spanien, so wie sie in dem Zeitpunkte am 1. Januar 1792 waren, und es wird von Seiten beider Kronen sofort eine Commission mirte ernannt werden, um die Final - Demarcation festzustellen.

Frankreich entsagt allen Souverainetäts-, Lehnsherrlichkeits- und Besißrechten auf alle und jede außerhalb der obenbezeichneten Grenze belegenen Länder und Districte, Städte und Ortschaften; doch wird das Fürstenthum Monaco in die Verhältnisse, worin es sich vor dem 1. Januar 1792 befunden, zurückgestellt.

Die verbündeten Höfe sichern Frankreich den Besiz des Fürstenthums Avignon, der Grafschaft Venaissin, der Grafschaft Mümpelgard und aller der Enclaven zu, welche ehehin zu Deutschland gehört haben und in der obenbezeichneten Grenze begriffen sind, sie mögen vor oder nach dem 1. Januar 1792 Frankreich einverleibt worden sein. Die Mächte behalten sich

gegenseitig die völlige Befugniß vor, diesen oder jenen Punkt ihrer Staaten, welchen, sie ihrer Sicherheit zuträglich erachten werden, zu befestigen.

Um jede Verlegung von Privat-Eigenthum zu vermeiden und nach den liberalsten Grundsäßen die Besizungen der an der Grenze wohnenden Individuen sicher zu stellen, werden von jedem der an Frankreich grenzenden Staaten Commissarien ernannt werden, um in Gemeinschaft mit französischen Commissarien zur Grenzbeziehung der jederseitigen Länder zu schreiten.

Sobald die Arbeit dieser Commissarien beendigt sein wird, werden Karten aufgenommen und von den respectiven Commissarien unterzeichnet, und Pfähle errichtet werden, welche die gegenseitigen Grenzen bekunden werden.

Art. 4. Um die Verbindung zwischen der Stadt Genf und anderen am See belegenen Theilen des Schweizergebietes zu sichern, willigt Frankreich ein, daß der Gebrauch der Straße durch Versoy beiden Ländern gemein sei. Die beiden Regierungen werden sich gütlich über die Mittel zur Verhütung des Schleichhandels, zur Regulirung des Postenlaufes und zur Instandhaltung der Straße einverstehen.

Art. 5. Die Schiffahrt auf dem Rheine, von dem Punkte an, wo er schiffbar wird, bis zur See, und umgekehrt, soll frei sein, in dem Maaße, daß sie Niemanden untersagt werden kann, und man wird sich bei dem künftigen Congresse mit den Grundsägen beschäftigen, nach welchen die von den Uferstaaten zu erhebenden Gefälle auf die gleichmäßigste und dem Handel aller Nationen am meisten günstige Weise regulirt werden können.

Gleichergestalt soll bei dem künftigen Congresse untersucht und entschieden werden, in welcher Art die obige Bestimmung, um den Verkehr zwischen den Völkern zu erleichtern und sie sich, eines dem andern, immer weniger fremd zu machen, auch auf alle andern in ihrem Laufe schiffbaren und verschiedene Staaten trennenden oder durchfließenden Ströme ausgedehnt werden könne.

Art. 6. Holland, unter die Souverainetät des Hauses Oranien gestellt, wird einen Gebietszuwachs erhalten. Der Titel und die Ausübung der Souverainetät können vort in keinem Falle einem Fürsten zukommen, der eine auswärtige Krone trägt oder sie zu tragen berufen ist.

Die Staaten Deutschlands werden unabhängig und durch ein föderatives Band vereiniget sein.

Die Schweiz wird, unabhängig, sich selbst zu_regieren fortfahren. Italien, außerhalb der Grenzen der an Oesterreich zurückgelangenden Länder, wird aus souverainen Staaten bestehen.

Art. 7. Die Insel Malta und ihre Dependenzen sollen zum völligen Eigenthume und mit aller Souverainetät Sr. britischen Majestät gehören.

Art. 8. Se. britische Majestät, indem Sie für Sich und Ihre Bundesgenossen stipuliren, verbinden Sich, Sr. Allerchristlichsten Majestät in den weiter unten festgesezten Zeiträumen die Colonien, Fischereien, Comptoirs und Niederlassungen aller Art herauszugeben, welche Frankreich am 1. Januar 1792 in den Meeren und auf dem festen Lande von Amerika, Afrika und Asien besaß, ausgenommen jedoch die Inseln Tabago und St. Lucia, Isle de France und dessen Zubehörungen, namentlich Rodrigue und die Sechellen, welche Se. Allerchristlichste Majestät mit vollem Eigenthume und aller Souverainetät Sr. britischen Majestät abtreten; imgleichen denjenigen Theil von St. Domingo, welchen Frankreich im baseler Frieden cedirt erhalten hat, und den Se. Allerchristlichste Majestät Sr. Katholischen Majestät zum vollen Eigenthume und mit aller Souverainetät wieder abtreten.

Art. 9. Se. Majestät der König von Schweden und Norwegen willigen im Gefolge der mit Ihren Alliirten und zur Vollziehung des vorhergehenden Artikels getroffenen Verabredungen ein, daß die Insel Guadeloupe Sr. Aller

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