Histoire parlementaire de la révolution française: ou, Journal des assemblées nationales, depuis 1789 jusqu'en 1815, Volumes 1-2Paulin, 1834 - France |
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... rendre l'unité de croyance et de volonté à cette grande société qui tombait en ruine depuis trois siècles , et qui en était arrivée à ce point de dissolution , qu'elle ne pouvait plus fournir un soldat pour la dé- fendre , ni un ...
... rendre l'unité de croyance et de volonté à cette grande société qui tombait en ruine depuis trois siècles , et qui en était arrivée à ce point de dissolution , qu'elle ne pouvait plus fournir un soldat pour la dé- fendre , ni un ...
Page 31
... rendre à leurs devoirs . Ainsi le citoyen était attaché au sol comme le soldat , et il ne pouvait pas même chan- ger le lieu de son habitation . d'un Franc . Les nobles de cette classe sont appelés convives du Roi ; or , cela ne peut ...
... rendre à leurs devoirs . Ainsi le citoyen était attaché au sol comme le soldat , et il ne pouvait pas même chan- ger le lieu de son habitation . d'un Franc . Les nobles de cette classe sont appelés convives du Roi ; or , cela ne peut ...
Page 60
... rendre leur titre héréditaire ; chacun se laissait aller à son ambition particu- lière , et s'habituait à sacrifier l'intérêt social au șien propre . Les guerres entre les maires du palais , au milieu desquelles expira la descendance de ...
... rendre leur titre héréditaire ; chacun se laissait aller à son ambition particu- lière , et s'habituait à sacrifier l'intérêt social au șien propre . Les guerres entre les maires du palais , au milieu desquelles expira la descendance de ...
Page 69
... rendre tout armés aux plaids généraux du comté , qui avaient lieu trois fois par an . C'était le moment des admonitions , des plaintes , et des actes de justice militaire . Dans les cités , les juges sié- geaient au moins une fois par ...
... rendre tout armés aux plaids généraux du comté , qui avaient lieu trois fois par an . C'était le moment des admonitions , des plaintes , et des actes de justice militaire . Dans les cités , les juges sié- geaient au moins une fois par ...
Page 71
... rendre tous les grands officiers , les rois , les ducs , les comtes , les principaux évêques , et ses missi do- minici ; en langue ecclésiastique , c'était un vrai Concile . Dans toutes les divisions du territoire , et sur tous les ...
... rendre tous les grands officiers , les rois , les ducs , les comtes , les principaux évêques , et ses missi do- minici ; en langue ecclésiastique , c'était un vrai Concile . Dans toutes les divisions du territoire , et sur tous les ...
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Common terms and phrases
Ægidius arrêté assemblée assemblée nationale avaient avons Bagaudes bailliages bailliages et sénéchaussées bourgeoisie bureau cahiers chargés citoyens civile clergé comité commettans commissaires communes comte de Mirabeau constitution convocation déclaration décrets délibération demande dépenses députés despotisme devoir différens discussion districts doit donner effet électeurs enfin établi États États-Généraux Fayette Fermes générales finances force forme gardes-françaises général gouvernement guerre habitans hommes impôts intérêts jour juges justice l'assemblée nationale l'État l'Hôtel-de-Ville l'ordre lettres liberté lois long-temps Louis Louis XIV majesté membres ment Messieurs militaire ministres monarchie monarque motion moyens municipalité nation nécessaire Necker Neustrie noblesse nombre nommé officiers ordonne ordres Palais-Royal parlemens pays d'États personne peuple pouvoir exécutif pouvoir judiciaire pouvoir législatif premier présent président prévôt prince principes projet propose propriété provinces public publique question représentans réunir rois royaume sanction royale séance sénéchaussées sentimens sera seront seul Sieyès soldats tiers-état tion toyens tribunaux trône troupes vérification Versailles veto voix
Popular passages
Page 165 - Dieu, en donnant à l'homme des besoins, en lui rendant nécessaire la ressource du travail, a fait du droit de travailler la propriété de tout homme, et cette propriété est la première, la plus sacrée et la plus imprescriptible de toutes.
Page 338 - Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la loi.
Page 347 - La propriété étant un droit inviolable et sacré, nul ne peut en être privé, si ce n'est lorsque la nécessité publique, légalement constatée, l'exige évidemment, et sous la condition d'une juste et préalable indemnité.
Page 371 - La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme ; tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi.
Page 345 - Tous les Citoyens ont le droit de constater, par eux-mêmes ou par leurs représentants, la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d'en suivre l'emploi, et d'en déterminer la quotité, l'assiette, le recouvrement et la durée.
Page 164 - Tout ce que je vois jette les semences d'une révolution qui arrivera immanquablement, et dont je n'aurai pas le plaisir d'être témoin. Les Français arrivent tard à tout, mais enfin ils arrivent; la lumière s'est tellement répandue de proche en proche, qu'on éclatera à la première occasion et alors ce sera un beau tapage; les jeunes gens sont bien heureux, ils verront de belles choses.
Page 164 - J'ai de mon opinion des raisons plus particulières que cette maxime, mais il n'est pas à propos de les dire, et chacun ne les voit que trop.
Page 354 - Messieurs, ce jour que mon cœur attendait depuis longtemps est enfin arrivé, et je me vois entouré des représentants de la nation à laquelle je me fais gloire de commander. » Un long intervalle s'était écoulé depuis la dernière tenue des états généraux, et quoique la convocation de ces assemblées parût être tombée en désuétude, je n'ai pas balancé à rétablir un usage dont le royaume peut tirer une nouvelle force, et qui peut ouvrir à la nation une nouvelle source de bonheur.
Page 56 - Les députés de la nation sont appelés à consacrer avec vous les droits éminens de la royauté sur la base immuable de la liberté du peuple ; mais lorsqu'ils remplissent leur devoir, lorsqu'ils cèdent à leur raison, h leurs sentimens, les exposeriez-vous au soupçon de n'avoir cédé qu'à la crainte?
Page 55 - Le danger, sire, est pressant, est universel est au-delà de tous les calculs de la prudence humaine. » Le danger est pour le peuple des provinces. Une fois alarmé sur notre liberté, nous ne connaissons plus de frein qui puisse le retenir.