Histoire de France: divisée par époques depuis les origines gauloises, jusqu'aux temps présents, Volume 2Lagny Frères, 1839 - France |
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Common terms and phrases
armée armes assiégés avaient barbares batailles Baudoin bientôt Bourgogne Bretagne C'était captif Carloman Charlemagne Charles le Chauve château chevaliers chrétienne chroniqueur comte de Flandres comte de Toulouse concile courage couronne crime Croisade d'Angleterre d'Aquitaine Daniel désordre Dieu domination duc de Normandie duché églises envoya Eudes évêques fatale féodale fidèles fille fils formidable frère Gaules Germanie gloire guerre Guillaume le Breton Henri Héribert hommes Hugues intrigues Jean Jérusalem justice L'abbé Suger l'anarchie l'archevêque l'Église l'empereur l'évêque l'histoire l'historien laissa Laon légat Lorraine Lothaire Louis le Gros Louis le Jeune mariage mêlée menace monarchie monarque monastère Montfort mort mourut n'avait nommé Othon paix pape paroles pensée Pepin père périls peuple Philippe Philippe-Auguste politique prince puissance race Raoul Glaber ravages rébellions reine reste révoltes Rheims Richard Rigord Robert Robert le Fort Rodolphe rois Rollon Rome royaume s'était saint seigneurs semblait seul siége sorte Suger terre tion trève vassaux victoire
Popular passages
Page 24 - Pro Deo amur et pro Christian poblo et nostro commun salvament, d'ist di in avant, in quant Deus savir et podir me dunat, si salvarai eo cist meon fradre Karlo et in...
Page 24 - Christian poblo et nostro commun salvament, d'ist di in avant, in quant Deus savir et podir me dunat, si salvarai eo cist meon fradre Karlo et in adjudha et in cadhuna cosa, si cum om per dreit son fradra salvar dift, in o quid il mi altresi fazet; et ab Ludher nul plaid nunquam prindrai qui, meon vol, cist meon fradre Karle in damno sit.
Page 252 - On vit bientôt aussi les peuples d'Aquitaine et toutes les provinces des Gaules, à leur exemple, cédant à la crainte ou à l'amour du Seigneur, adopter successivement une mesure qui leur était inspirée par la grâce divine. On ordonna que , depuis le mercredi soir jusqu'au matin du...
Page 324 - C'est le devoir des rois de réprimer de leur main puissante , et par le droit originaire de leur office, l'audace des tyrans qui déchirent l'État par des guerres sans fin, mettent leur plaisir à piller, désolent les pauvres, détruisent les églises...
Page 193 - Il n'ya plus d'assemblée du peuple, plus de loi ; « c'est en vain qu'une ambassade arriverait là où il n'ya point « de cour. Que vont devenir les peuples voisins du Danube, du « Rhin, du Rhône , de la Loire et du Pô? Tous, anciennement « unis par les liens de la concorde, maintenant que l'alliance «est rompue, seront tourmentés par de tristes dissensions. « De quelle fin la colère de Dieu fera-t-elle suivre tous ces « maux? A peine est-il quelqu'un qui y songe avec effroi, qui « médite...
Page 336 - ... d'y consentir. En outre, et pour que ton Altesse daigne ne conserver à cet égard aucun doute , je suis prêt à lui donner tous les otages qu'elle croira nécessaires. Si les grands du royaume jugent qu'il en doit être ainsi , que cela soit fait; s'ils pensent autrement, que cela soit fait comme ils diront.
Page 192 - Ua bel empire florissait sous un brillant diadème; il n'y avait qu'un prince et qu'un peuple; « toutes les villes avaient des juges et des lois. Le « zèle des prêtres était entretenu par des conciles « frêquents ; les jeunes gens relisaient sans cesse « les livres saints, et l'esprit des enfants se for
Page 225 - ... connaissance parfaite de toutes les sciences. Il avait la taille élevée, la chevelure lisse et bien arrangée, les yeux modestes, la bouche agréable et douce pour donner le saint baiser de paix; la barbe assez fournie, et les épaules hautes.
Page 341 - Philippe, enfant dans la fleur de l'âge , et d'une grande douceur , l'espoir des hons et la terreur des médians, se promenait un jour à cheval dans un faubourg de la cité de Paris ; un détestable porc se jette dans le chemin du coursier, celui-ci tombe rudement, jette et écrase contre une roche le noble enfant qui le montait , et l'étouffé sous le poids de son corps. Ce...
Page 107 - Tu frappes en effet les regards par un port plus beau qu'aucun autre. Quiconque porte un œil d'envie sur les richesses des Francs te redoute; une île charmante te possède; le fleuve entoure tes murailles , il t'enveloppe de ses deux bras, et ses douces ondes coulent sous les ponts qui te terminent à droite et à gauche ; des deux côtés de ces ponts, et au-delà du fleuve, des tours protectrices te gardent.