Histoire de la révolution française, depuis l'année 1787, jusqu'en 1816: Ouvrage contenant des détails sur les événemens les plus curieux ... ; Avec 3 gravures. 3. - 541 S. : 1 IllLe Dentu, 1816 - 1427 pages |
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Page 9
... chef Jourdan ordonnait la retraite , et qu'elle commençait à s'exécuter ; que le général Le- fevre , entré en ligne , refusait seul d'obtem- pérer à cet ordre , jurant , avant d'y obéir de brûler jusqu'à sa dernière charge ; et que ce ...
... chef Jourdan ordonnait la retraite , et qu'elle commençait à s'exécuter ; que le général Le- fevre , entré en ligne , refusait seul d'obtem- pérer à cet ordre , jurant , avant d'y obéir de brûler jusqu'à sa dernière charge ; et que ce ...
Page 14
... chef d'hommes féroces , qui ne peut pas oublier un seul instant , que le glaive homicide est entre les mains de ceux qu'il préside . Mais la fondation de ce culte religieux , qui avait été proposée par lui , et qui , consé- quemment ...
... chef d'hommes féroces , qui ne peut pas oublier un seul instant , que le glaive homicide est entre les mains de ceux qu'il préside . Mais la fondation de ce culte religieux , qui avait été proposée par lui , et qui , consé- quemment ...
Page 33
... chefs et des simples mem- bres de cette insurrection eurent bien une arrière - pensée qui était le rétablissement de la monarchie ; mais la masse des insurgés , qui marchèrent tous sous des drapeaux ré- publicains , ne fut mue que par ...
... chefs et des simples mem- bres de cette insurrection eurent bien une arrière - pensée qui était le rétablissement de la monarchie ; mais la masse des insurgés , qui marchèrent tous sous des drapeaux ré- publicains , ne fut mue que par ...
Page 38
... licencier le bataillon inquiétant des patriotes de 89. Il fut enfin convenu entre les chefs qu'on se retirerait de part et d'au- tre . La convention , mécontente de ce ' arran- gement , qui avait peut - être sauvé la capi- ( 38 )
... licencier le bataillon inquiétant des patriotes de 89. Il fut enfin convenu entre les chefs qu'on se retirerait de part et d'au- tre . La convention , mécontente de ce ' arran- gement , qui avait peut - être sauvé la capi- ( 38 )
Page 56
... chefs véritables , et plusieurs de ces chefs , qui savaient leur communiquer leurs sentimens , et les plier , jusqu'à un certain point , sous les règles de la discipline , furent des héros . Ces prétendus brigands ne se croyaient 1793 ...
... chefs véritables , et plusieurs de ces chefs , qui savaient leur communiquer leurs sentimens , et les plier , jusqu'à un certain point , sous les règles de la discipline , furent des héros . Ces prétendus brigands ne se croyaient 1793 ...
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Common terms and phrases
alliés Anglais armée armes artillerie assignats attaque Autrichiens avaient ayant bataille bientôt Bonaparte Bretagne çaise cavalerie cent Charette chef Chouans combats commandement commissaires comte d'Artois comte de Puisaye conseil des cinq-cents constitution convention corps législatif côté d'Elbe décret députés devait différens directoire division donner drapeaux émigrés enfans ennemis entière eussent événemens forces forêt du Pertre fran fût garde nationale général Georges Cadoudal gouvernement guerre habitans jour Jourdan l'armée française l'empereur l'ennemi l'Europe l'île Madame majesté malheur marche maréchal mée ment militaire mille hommes Moreau mort n'avait naparte Napoléon Bonaparte nation officiers paix passer peuple Pichegru Pie VII pièces de canon politique porter position pouvait premier prince prisonniers proclamation Prussiens répu républicains république reste retraite révolution Rhin Robespierre royalistes Russie S. M. Louis XVIII s'était sauver secours sénat sentimens serait seul soldats souverain Stofflet succès suiv tête théophilantropie tion trône troupes françaises trouvait Vendéens victoire
Popular passages
Page 400 - Les puissances alliées ayant proclamé que l'empereur Napoléon était le seul obstacle au rétablissement de la paix en Europe, l'empereur Napoléon, fidèle à son serment, déclare qu'il renonce, pour lui et ses héritiers, aux trônes de France et d'Italie, et qu'il n'est aucun sacrifice personnel, même celui de la vie, qu'il ne soit prêt à faire à l'intérêt de la France.
Page 480 - Français! en commençant la guerre pour soutenir l'indépendance nationale, je comptais sur la réunion de tous les efforts, de toutes les volontés et le concours de toutes les autorités nationales. J'étais fondé à en espérer le succès , et j'avais bravé toutes les déclarations des puissances contre moi; les circonstances paraissent changées, je m'offre en sacrifice à la haine des ennemis de la France.
Page 432 - Heureux de nous retrouver au sein de la grande famille, nous n'avons su répondre à l'amour, dont nous recevons tant de témoignages , qu'en prononçant des paroles de paix et de consolation! le vœu le plus cher à notre cœur, c'est que...
Page 418 - Bonaparte avec ceux qui l'ont précédé; j'estime sa valeur, ses talents militaires; je lui sais gré de plusieurs actes d'administration, car le bien qu'il fera à mon peuple me sera toujours cher. Mais il se trompe s'il croit m'engager à transiger sur mes droits; loin de là, il les établirait lui-même, s'ils pouvaient être litigieux, par la démarche qu'il fait en ce moment. J'ignore quels sont les desseins de Dieu sur ma race et sur moi ; mais je connais les obligations qu'il m'a imposées...
Page 419 - ... et dont les trônes sont tous ébranlés par les principes dangereux que le sénat de Paris a osé mettre en avant ; comptable à la France , à ma famille , à mon propre honneur, je croirais trahir la cause commune en gardant le silence en cette occasion.
Page 431 - Charte constitutionnelle dans le caractère français et dans les monuments vénérables des siècles passés. Ainsi nous avons vu dans le renouvellement de la pairie une institution vraiment nationale, et qui doit lier tous les souvenirs à toutes les espérances, en réunissant les temps anciens et les temps modernes.
Page 397 - Sénat ne rougit pas de parler de libelles publiés contre les gouvernements étrangers ; il oublie qu'ils furent rédigés dans son sein ! Si longtemps que la fortune s'est montrée fidèle à leur souverain, ces hommes sont restés fidèles, et nulle plainte n'a été entendue sur les abus du Pouvoir. Si l'Empereur avait méprisé les hommes, comme on le lui a reproché, alors le monde reconnaîtrait aujourd'hui qu'il a eu des raisons qui motivaient son mépris.
Page 501 - La preuve nécessaire pour condamner les ennemis du peuple est toute espèce de document, soit matérielle, soit morale, soit verbale, soit écrite, qui peut naturellement obtenir l'assentiment de tout esprit juste et raisonnable. La règle des jugements est la conscience des jurés éclairés par l'amour de la patrie ; leur but, le triomphe de la république et la ruine de ses ennemis ; la procédure, les moyens simples que le bon sens indique pour parvenir à la connaissance de la vérité dans...
Page 500 - Ceux qui, étant chargés de fonctions publiques, en abusent pour servir les ennemis de la révolution, pour vexer les patriotes, pour opprimer le peuple; Enfin tous ceux qui sont désignés dans les lois précédentes relatives à la punition des conspirateurs...
Page 532 - En rompant ainsi la convention qui l'avait établi à l'île d'Elbe, « Bonaparte détruit le seul titre légal auquel son existence se trouvait « attachée. En reparaissant en France avec des projets de troubles et « de bouleversemens , il s'est privé lui-même de la protection des lois , « et a manifesté , à la face de l'univers , qu'il ne saurait y avoir ni paix « ni trêve avec lui« Les puissances déclarent , en conséquence , que Napoléon Bona...