Histoire de la révolution française, depuis l'année 1787, jusqu'en 1816: Ouvrage contenant des détails sur les événemens les plus curieux ... ; Avec 3 gravures. 3. - 541 S. : 1 IllLe Dentu, 1816 - 1427 pages |
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Page 7
... mouvement de flanc , qui , après tout , n'é- tait pas sans remède . Son dessein était d'atta- quer sérieusement Maubeuge , aussitôt qu'il aurait reçu un renfort de trente mille Prus- siens , qui venaient lentement du pays de 1794. Liége ...
... mouvement de flanc , qui , après tout , n'é- tait pas sans remède . Son dessein était d'atta- quer sérieusement Maubeuge , aussitôt qu'il aurait reçu un renfort de trente mille Prus- siens , qui venaient lentement du pays de 1794. Liége ...
Page 15
... mouvement contre le joug de fer qui pesait sur la France ? à l'occasion d'un article d'une loi de sang , qui paraissait livrer les députés au glaive commun ( note 1 re ) . Pourquoi ce mou- vement se compléta - t - il un peu plus tard ...
... mouvement contre le joug de fer qui pesait sur la France ? à l'occasion d'un article d'une loi de sang , qui paraissait livrer les députés au glaive commun ( note 1 re ) . Pourquoi ce mou- vement se compléta - t - il un peu plus tard ...
Page 24
... laissent passer tranquillement au milieu d'eux . Les députés qui ont excité ce mouvement populaire , maîtres à cet instant de l'assem- blée , nomment un président et rendent des décrets . Ces décrets sont des arrêts de pros- 1795 ( 24 )
... laissent passer tranquillement au milieu d'eux . Les députés qui ont excité ce mouvement populaire , maîtres à cet instant de l'assem- blée , nomment un président et rendent des décrets . Ces décrets sont des arrêts de pros- 1795 ( 24 )
Page 33
... mouvement dirigé par les sections de Paris contre la convention , le 5 octobre 1795 , ( 13 vendémiaire an IV , style de la révolu- tion ) fut un mouvement purement royaliste . Quelques - uns des chefs et des simples mem- bres de cette ...
... mouvement dirigé par les sections de Paris contre la convention , le 5 octobre 1795 , ( 13 vendémiaire an IV , style de la révolu- tion ) fut un mouvement purement royaliste . Quelques - uns des chefs et des simples mem- bres de cette ...
Page 69
... mouvement qu'avec l'intention seule- ment de se porter en Bretagne , où on leur avait promis que leur présence ferait soulever tout le pays . Ils avaient déjà quelques Bre- tons parmi eux . En 1792 , une conjuration terrible avait été ...
... mouvement qu'avec l'intention seule- ment de se porter en Bretagne , où on leur avait promis que leur présence ferait soulever tout le pays . Ils avaient déjà quelques Bre- tons parmi eux . En 1792 , une conjuration terrible avait été ...
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Common terms and phrases
alliés Anglais armée armes artillerie assignats attaque Autrichiens avaient ayant bataille bientôt Bonaparte Bretagne çaise cavalerie cent Charette chef Chouans combats commandement commissaires comte d'Artois comte de Puisaye conseil des cinq-cents constitution convention corps législatif côté d'Elbe décret députés devait différens directoire division donner drapeaux émigrés enfans ennemis entière eussent événemens forces forêt du Pertre fran fût garde nationale général Georges Cadoudal gouvernement guerre habitans jour Jourdan l'armée française l'empereur l'ennemi l'Europe l'île Madame majesté malheur marche maréchal mée ment militaire mille hommes Moreau mort n'avait naparte Napoléon Bonaparte nation officiers paix passer peuple Pichegru Pie VII pièces de canon politique porter position pouvait premier prince prisonniers proclamation Prussiens répu républicains république reste retraite révolution Rhin Robespierre royalistes Russie S. M. Louis XVIII s'était sauver secours sénat sentimens serait seul soldats souverain Stofflet succès suiv tête théophilantropie tion trône troupes françaises trouvait Vendéens victoire
Popular passages
Page 400 - Les puissances alliées ayant proclamé que l'empereur Napoléon était le seul obstacle au rétablissement de la paix en Europe, l'empereur Napoléon, fidèle à son serment, déclare qu'il renonce, pour lui et ses héritiers, aux trônes de France et d'Italie, et qu'il n'est aucun sacrifice personnel, même celui de la vie, qu'il ne soit prêt à faire à l'intérêt de la France.
Page 480 - Français! en commençant la guerre pour soutenir l'indépendance nationale, je comptais sur la réunion de tous les efforts, de toutes les volontés et le concours de toutes les autorités nationales. J'étais fondé à en espérer le succès , et j'avais bravé toutes les déclarations des puissances contre moi; les circonstances paraissent changées, je m'offre en sacrifice à la haine des ennemis de la France.
Page 432 - Heureux de nous retrouver au sein de la grande famille, nous n'avons su répondre à l'amour, dont nous recevons tant de témoignages , qu'en prononçant des paroles de paix et de consolation! le vœu le plus cher à notre cœur, c'est que...
Page 418 - Bonaparte avec ceux qui l'ont précédé; j'estime sa valeur, ses talents militaires; je lui sais gré de plusieurs actes d'administration, car le bien qu'il fera à mon peuple me sera toujours cher. Mais il se trompe s'il croit m'engager à transiger sur mes droits; loin de là, il les établirait lui-même, s'ils pouvaient être litigieux, par la démarche qu'il fait en ce moment. J'ignore quels sont les desseins de Dieu sur ma race et sur moi ; mais je connais les obligations qu'il m'a imposées...
Page 419 - ... et dont les trônes sont tous ébranlés par les principes dangereux que le sénat de Paris a osé mettre en avant ; comptable à la France , à ma famille , à mon propre honneur, je croirais trahir la cause commune en gardant le silence en cette occasion.
Page 431 - Charte constitutionnelle dans le caractère français et dans les monuments vénérables des siècles passés. Ainsi nous avons vu dans le renouvellement de la pairie une institution vraiment nationale, et qui doit lier tous les souvenirs à toutes les espérances, en réunissant les temps anciens et les temps modernes.
Page 397 - Sénat ne rougit pas de parler de libelles publiés contre les gouvernements étrangers ; il oublie qu'ils furent rédigés dans son sein ! Si longtemps que la fortune s'est montrée fidèle à leur souverain, ces hommes sont restés fidèles, et nulle plainte n'a été entendue sur les abus du Pouvoir. Si l'Empereur avait méprisé les hommes, comme on le lui a reproché, alors le monde reconnaîtrait aujourd'hui qu'il a eu des raisons qui motivaient son mépris.
Page 501 - La preuve nécessaire pour condamner les ennemis du peuple est toute espèce de document, soit matérielle, soit morale, soit verbale, soit écrite, qui peut naturellement obtenir l'assentiment de tout esprit juste et raisonnable. La règle des jugements est la conscience des jurés éclairés par l'amour de la patrie ; leur but, le triomphe de la république et la ruine de ses ennemis ; la procédure, les moyens simples que le bon sens indique pour parvenir à la connaissance de la vérité dans...
Page 500 - Ceux qui, étant chargés de fonctions publiques, en abusent pour servir les ennemis de la révolution, pour vexer les patriotes, pour opprimer le peuple; Enfin tous ceux qui sont désignés dans les lois précédentes relatives à la punition des conspirateurs...
Page 532 - En rompant ainsi la convention qui l'avait établi à l'île d'Elbe, « Bonaparte détruit le seul titre légal auquel son existence se trouvait « attachée. En reparaissant en France avec des projets de troubles et « de bouleversemens , il s'est privé lui-même de la protection des lois , « et a manifesté , à la face de l'univers , qu'il ne saurait y avoir ni paix « ni trêve avec lui« Les puissances déclarent , en conséquence , que Napoléon Bona...