Histoire de la révolution française, depuis l'année 1787, jusqu'en 1816: Ouvrage contenant des détails sur les événemens les plus curieux ... ; Avec 3 gravures. 3. - 541 S. : 1 IllLe Dentu, 1816 - 1427 pages |
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Page 4
... Lauterbourg et de Weissembourg , qu'ils n'avaient eux - mêmes conquises quelque temps auparavant , qu'à la faveur de l'in- trépidité des émigrés français , ayant à leur tête le prince de Condé , son fils et son ( 4 )
... Lauterbourg et de Weissembourg , qu'ils n'avaient eux - mêmes conquises quelque temps auparavant , qu'à la faveur de l'in- trépidité des émigrés français , ayant à leur tête le prince de Condé , son fils et son ( 4 )
Page 5
... prince de Condé , son fils et son petit- 1794 . fils , allaient , maîtres de Spire , de Neustad , de Keizerslautern , de Frankenstad et de Worms , former des magasins jusqu'à la vue de Mayence . Ces succès se soutinrent et s ...
... prince de Condé , son fils et son petit- 1794 . fils , allaient , maîtres de Spire , de Neustad , de Keizerslautern , de Frankenstad et de Worms , former des magasins jusqu'à la vue de Mayence . Ces succès se soutinrent et s ...
Page 7
... prince de Saxe Cobourg , général de l'armée autrichienne , augmen tait la force de sa position dans les bois , loin de songer à la quitter , par suite de ce mouvement de flanc , qui , après tout , n'é- tait pas sans remède . Son dessein ...
... prince de Saxe Cobourg , général de l'armée autrichienne , augmen tait la force de sa position dans les bois , loin de songer à la quitter , par suite de ce mouvement de flanc , qui , après tout , n'é- tait pas sans remède . Son dessein ...
Page 8
... prince de Saxe Cobourg ayant rassemblé toutes les troupes qui n'é- taient pas absolument nécessaires à la garde de son camp et des places de guerre dont il était le maître , fortifié d'ailleurs par dix mille Anglais qui venaient de lui ...
... prince de Saxe Cobourg ayant rassemblé toutes les troupes qui n'é- taient pas absolument nécessaires à la garde de son camp et des places de guerre dont il était le maître , fortifié d'ailleurs par dix mille Anglais qui venaient de lui ...
Page 9
... prince d'Orange ; la gauche , par le lieu- tenant général comte de Beaulieu ; le prince de Cobourg conduisait le centre , et la cavale- rie obéissait aux ordres du prince de Lambesc . Jourdan était au centre de l'armée française , le ...
... prince d'Orange ; la gauche , par le lieu- tenant général comte de Beaulieu ; le prince de Cobourg conduisait le centre , et la cavale- rie obéissait aux ordres du prince de Lambesc . Jourdan était au centre de l'armée française , le ...
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Common terms and phrases
alliés Anglais armée armes artillerie assignats attaque Autrichiens avaient ayant bataille bientôt Bonaparte Bretagne çaise cavalerie cent Charette chef Chouans combats commandement commissaires comte d'Artois comte de Puisaye conseil des cinq-cents constitution convention corps législatif côté d'Elbe décret députés devait différens directoire division donner drapeaux émigrés enfans ennemis entière eussent événemens forces forêt du Pertre fran fût garde nationale général Georges Cadoudal gouvernement guerre habitans jour Jourdan l'armée française l'empereur l'ennemi l'Europe l'île Madame majesté malheur marche maréchal mée ment militaire mille hommes Moreau mort n'avait naparte Napoléon Bonaparte nation officiers paix passer peuple Pichegru Pie VII pièces de canon politique porter position pouvait premier prince prisonniers proclamation Prussiens répu républicains république reste retraite révolution Rhin Robespierre royalistes Russie S. M. Louis XVIII s'était sauver secours sénat sentimens serait seul soldats souverain Stofflet succès suiv tête théophilantropie tion trône troupes françaises trouvait Vendéens victoire
Popular passages
Page 400 - Les puissances alliées ayant proclamé que l'empereur Napoléon était le seul obstacle au rétablissement de la paix en Europe, l'empereur Napoléon, fidèle à son serment, déclare qu'il renonce, pour lui et ses héritiers, aux trônes de France et d'Italie, et qu'il n'est aucun sacrifice personnel, même celui de la vie, qu'il ne soit prêt à faire à l'intérêt de la France.
Page 480 - Français! en commençant la guerre pour soutenir l'indépendance nationale, je comptais sur la réunion de tous les efforts, de toutes les volontés et le concours de toutes les autorités nationales. J'étais fondé à en espérer le succès , et j'avais bravé toutes les déclarations des puissances contre moi; les circonstances paraissent changées, je m'offre en sacrifice à la haine des ennemis de la France.
Page 432 - Heureux de nous retrouver au sein de la grande famille, nous n'avons su répondre à l'amour, dont nous recevons tant de témoignages , qu'en prononçant des paroles de paix et de consolation! le vœu le plus cher à notre cœur, c'est que...
Page 418 - Bonaparte avec ceux qui l'ont précédé; j'estime sa valeur, ses talents militaires; je lui sais gré de plusieurs actes d'administration, car le bien qu'il fera à mon peuple me sera toujours cher. Mais il se trompe s'il croit m'engager à transiger sur mes droits; loin de là, il les établirait lui-même, s'ils pouvaient être litigieux, par la démarche qu'il fait en ce moment. J'ignore quels sont les desseins de Dieu sur ma race et sur moi ; mais je connais les obligations qu'il m'a imposées...
Page 419 - ... et dont les trônes sont tous ébranlés par les principes dangereux que le sénat de Paris a osé mettre en avant ; comptable à la France , à ma famille , à mon propre honneur, je croirais trahir la cause commune en gardant le silence en cette occasion.
Page 431 - Charte constitutionnelle dans le caractère français et dans les monuments vénérables des siècles passés. Ainsi nous avons vu dans le renouvellement de la pairie une institution vraiment nationale, et qui doit lier tous les souvenirs à toutes les espérances, en réunissant les temps anciens et les temps modernes.
Page 397 - Sénat ne rougit pas de parler de libelles publiés contre les gouvernements étrangers ; il oublie qu'ils furent rédigés dans son sein ! Si longtemps que la fortune s'est montrée fidèle à leur souverain, ces hommes sont restés fidèles, et nulle plainte n'a été entendue sur les abus du Pouvoir. Si l'Empereur avait méprisé les hommes, comme on le lui a reproché, alors le monde reconnaîtrait aujourd'hui qu'il a eu des raisons qui motivaient son mépris.
Page 501 - La preuve nécessaire pour condamner les ennemis du peuple est toute espèce de document, soit matérielle, soit morale, soit verbale, soit écrite, qui peut naturellement obtenir l'assentiment de tout esprit juste et raisonnable. La règle des jugements est la conscience des jurés éclairés par l'amour de la patrie ; leur but, le triomphe de la république et la ruine de ses ennemis ; la procédure, les moyens simples que le bon sens indique pour parvenir à la connaissance de la vérité dans...
Page 500 - Ceux qui, étant chargés de fonctions publiques, en abusent pour servir les ennemis de la révolution, pour vexer les patriotes, pour opprimer le peuple; Enfin tous ceux qui sont désignés dans les lois précédentes relatives à la punition des conspirateurs...
Page 532 - En rompant ainsi la convention qui l'avait établi à l'île d'Elbe, « Bonaparte détruit le seul titre légal auquel son existence se trouvait « attachée. En reparaissant en France avec des projets de troubles et « de bouleversemens , il s'est privé lui-même de la protection des lois , « et a manifesté , à la face de l'univers , qu'il ne saurait y avoir ni paix « ni trêve avec lui« Les puissances déclarent , en conséquence , que Napoléon Bona...