French lyrics, selected and edited with an introduction and notes |
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... cher ; Mais en un accident qui n'a point de remède , Il n'en faut point chercher . La mort a des rigueurs à nulle autre pareilles ; On a beau la prier , La cruelle qu'elle est se bouche les oreilles , Et nous laisse crier . Le pauvre en ...
... cher ; Mais en un accident qui n'a point de remède , Il n'en faut point chercher . La mort a des rigueurs à nulle autre pareilles ; On a beau la prier , La cruelle qu'elle est se bouche les oreilles , Et nous laisse crier . Le pauvre en ...
Page 29
... chers amis ils ont prêté leur rage : Tout trompe ta simplicité : Celui que tu nourris court vendre ton image Noire de sa méchanceté . Mais Dieu t'entend gémir ; Dieu , vers qui te ramène Un vrai remords né des douleurs ; Dieu qui ...
... chers amis ils ont prêté leur rage : Tout trompe ta simplicité : Celui que tu nourris court vendre ton image Noire de sa méchanceté . Mais Dieu t'entend gémir ; Dieu , vers qui te ramène Un vrai remords né des douleurs ; Dieu qui ...
Page 54
... cher à ses premiers ans . Bois que j'aime , adieu ! je succombe : Votre deuil me prédit mon sort , Et dans chaque feuille qui tombe Je lis un présage de mort ! Fatal oracle d'Épidaure , Tu m'as dit : Les feuilles des bois A tes yeux ...
... cher à ses premiers ans . Bois que j'aime , adieu ! je succombe : Votre deuil me prédit mon sort , Et dans chaque feuille qui tombe Je lis un présage de mort ! Fatal oracle d'Épidaure , Tu m'as dit : Les feuilles des bois A tes yeux ...
Page 120
... astre de mes yeux ! Nous jouions toute la journée . O jeux charmants ! chers entretiens ! Le soir , comme elle était l'aînée , Elle me disait : — Père , viens ! - Nous allons t'apporter ta chaise , Conte - nous une I 20 Victor Hugo.
... astre de mes yeux ! Nous jouions toute la journée . O jeux charmants ! chers entretiens ! Le soir , comme elle était l'aînée , Elle me disait : — Père , viens ! - Nous allons t'apporter ta chaise , Conte - nous une I 20 Victor Hugo.
Page 131
... chers que je fermai . Le mois de mai sans la France Ce n'est pas le mois de mai . Proscrit , regarde les branches , Les branches où sont les nids ; Mai les remplit d'ailes blanches Et de soupirs infinis . Je pense Aux nids charmants où ...
... chers que je fermai . Le mois de mai sans la France Ce n'est pas le mois de mai . Proscrit , regarde les branches , Les branches où sont les nids ; Mai les remplit d'ailes blanches Et de soupirs infinis . Je pense Aux nids charmants où ...
Contents
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Common terms and phrases
Adieu ailes ailes de l'espérance aimé âme amour anges astres Azur beau belle berce blanche bleu bonheur bras brise bruit CHANSON chante CHARLES FRÉMINE charmant chasseur noir cher ciel cieux cœur congnois couchant d'or Dieu divin Djinns dormir douce douleur doux Éden Elfes embaumé enfant éternelle étoiles vives feuilles des bois flamme fleurs flots forêt front gloire Hélas j'ai j'aime jour joyeux l'air l'âme l'amour l'ange des ténèbres l'aube l'aurore l'homme l'horizon l'oiseau l'ombre l'onde larmes lèvres loin lointain lyric main monde monte Montlignon morne mort mourir murmure nuit oiseaux ombre pâle parfums passé pensées père économe pieds plaine pleurs pressez vos chevaux qu'un rayon regard rêve rien Roncevaux rose sang saule noir seul sites nouveaux soir soleil sombre songe souffle sourire syllables tendre Bonheur terre thym tombe tombeau tremble triste vent vert verte Écosse veux victoire en chantant vieux vilain voile voix yeux
Popular passages
Page 286 - De la musique avant toute chose, Et pour cela préfère l'Impair Plus vague et plus soluble dans l'air, Sans rien en lui qui pèse ou qui pose. Il faut aussi que tu n'ailles point Choisir tes mots sans quelque méprise : Rien de plus cher que la chanson grise Où l'Indécis au Précis se joint.
Page 331 - I thought of Chatterton, the marvellous Boy, The sleepless Soul that perished in his pride; Of Him who walked in glory and in joy Following his plough, along the mountain-side : By our own spirits are we deified : We poets in our youth begin in gladness; But thereof come in the end despondency and madness.
Page 281 - O bruit doux de la pluie Par terre et sur les toits ! Pour un cœur qui s'ennuie, O le chant de la pluie ! Il pleure sans raison Dans ce cœur qui s'écœure.
Page 58 - O lac ! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle devait revoir, Regarde ! je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir...
Page 20 - Mais elle était du monde, où les plus belles choses Ont le pire destin : Et rose elle a vécu ce que vivent les roses, L'espace d'un matin.
Page 65 - Souvent sur la montagne, à l'ombre du vieux chêne, Au coucher du soleil, tristement je m'assieds; Je promène au hasard mes regards sur la plaine, Dont le tableau changeant se déroule à mes pieds.
Page 43 - LE ROI D'YVETOT. IL était un roi d'Yvetot, Peu connu dans l'histoire ; Se levant tard, se couchant tôt, Dormant fort bien sans gloire, Et couronné par Jeanneton D'un simple bonnet de coton, Dit-on.
Page 34 - J'ai passé les premiers à peine. Au banquet de la vie à peine commencé Un instant seulement mes lèvres ont pressé La coupe en mes mains encor pleine. Je ne suis qu'au printemps , je veux voir la moisson, Et , comme le soleil , de saison en saison , Je veux achever mon année. Brillante sur ma tige, et l'honneur du jardin, Je n'ai vu luire encor que les feux du matin ; Je veux achever ma journée.
Page 33 - L'ÉPI naissant mûrit, de la faux respecté ; Sans crainte du pressoir, le pampre tout l'été Boit les doux présents de l'aurore ; Et moi, comme lui belle, et jeune comme lui. Quoi que l'heure présente ait de trouble et d'ennui, Je ne veux point mourir encore.
Page 20 - L'augmenteront toujours? Le malheur de ta fille au tombeau descendue Par un commun trépas, Est-ce quelque dédale, où ta raison perdue Ne se retrouve pas ? Je sais de quels appas son enfance était pleine, Et n'ai pas entrepris : Injurieux ami, de soulager ta peine Avecque son mépris.