Madam Guyon, sa vie, sa doctrine et son influence, Issue 353 |
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actes allait âmes amis août Barnabite Bastille Bausset Beauvillier Bibl Bossuet c'était cardinal censure Chantérac chap choses cœur Combe condamner contemplation couvent d'Issy demanda dévote diocèse dire disait dit-elle doctrine douleur duc de Chevreuse duchesse écrit écrivit États d'oraison eût évêque faisait fallait femme Fénelon fille François de Sales fût Innocent XI j'ai jamais Jeanne Jésuites jours l'abbé Bossuet l'âme l'amour de Dieu l'archevêque de Cambrai l'Église l'évêque de Chartres l'oraison laisser Leibniz Lettre de Bossuet Lettre de Mme livre des Maximes Loiret madame Madame Guyon Mae Guyon Maisonfort Meaux Mém Mémoires ment Mme de Maintenon Mme de Miramion Mme Guyon Molinos Monseigneur Montargis Motte Moyen court mystique n'avait n'était Noailles Notre-Dame-des-Ardilliers Pape parler passé pensée personne Phelippeaux piété Pirot pouvait prélat pur amour quiétisme raison Relation religieuses répondit reste rien Rome saint Saint-Cyr Saint-Office Saint-Simon sentiments spirituelle théologiens tion Tronson trouve vêque vertu Visitandines voie voulait
Popular passages
Page 400 - Monsieur, dit le Père en fureur, il faut distinguer. Distinguer, dit Despréaux, distinguer, morbleu ! distinguer, distinguer si nous sommes obligés d'aimer Dieu ! » et, prenant Corbinelli par le bras, s'enfuit au bout de la chambre ; puis revenant, et courant comme un forcené, il ne voulut jamais se rapprocher du Père et s'en alla rejoindre la compagnie, qui était demeurée dans la salle où l'on mange. Ici finit l'histoire ; le rideau tombe.
Page 399 - Osez-vous dire que cela est faux ? — Monsieur, dit le père en fureur, il faut distinguer.» « Distinguer, dit Despréaux, distinguer, morbleu ! distinguer, distinguer si nous sommes obligés d'aimer Dieu...
Page 197 - La vocation ne se manifeste pas moins par la décision d'autrui, que par notre propre attrait. Quand Dieu ne donne rien au' dedans pour attirer, il donne au dehors une autorité qui décide.
Page 370 - Cet abbé qu'on croyait pétri de sainteté, Vieilli dans la retraite et dans l'humilité, Orgueilleux de ses croix, bouffi de sa souffrance, Rompt ses sacrés statuts en rompant le silence ; Et, contre un saint prélat s'animant aujourd'hui , Du fond de ses déserts déclame contre lui ; Et moins humble de cœur que fier de sa doctrine, II ose décider ce que Rome examine.
Page 191 - ... quelque jour, sans percer dans un profond avenir, être celui de la débauche et de l'impiété. Car de songer que trois cents jeunes filles, qui y demeurent jusqu'à vingt ans, et qui ont à leur porte une cour remplie de gens éveillés, surtout quand l'autorité du roi n'y sera plus mêlée; de croire, dis-je, que de jeunes filles et de jeunes hommes soient si près les uns des autres sans sauter les murailles, cela n'est presque pas raisonnable.
Page 399 - Bourdaloue, son compagnon. Despréaux et Corbinelli. On parla des ouvrages des anciens et des modernes ; Despréaux soutint les anciens, à la réserve d'un seul moderne, qui surpassait, à son goût, et -les vieux et les nouveaux. Le compagnon...
Page 384 - , a échangé des belles lettres avec un théologien habile, nommé M. Norris, au sujet de l'amour de Dieu désintéressé, dont on parle tant maintenant en France. Rien n'est plus de la juridiction des dames que les notions de l'amour; et comme l'amour divin et l'amour humain ont une notion commune, les dames pourront fort bien approfondir cette pensée de la théologie.
Page 276 - Dieu aidant, jusqu'au dernier » soupir de ma vie : ce que je ne dis pas pour me « chercher une excuse , mais dans l'obligation où je ° crois être de déclarer...
Page 399 - Monsieur, je vous conjure de me le dire, afin que je le lise toute la nuit. » Despréaux lui répondit en riant : « Ah ! monsieur, vous l'avez lu plus d'une fois, j'en suis assuré.
Page 309 - Mais je conjure ceux qui me parlent ainsi, de peser devant Dieu les raisons que je vais leur représenter. Les erreurs qu'on impute à madame Guyon ne sont point excusables par l'ignorance de son sexe.