Oeuvres, Volume 2Chez Marc Michel Rey., 1750 |
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... , pourvu qu'il plaife à Dieu & aux Jésuites de lui laiffer encore un an de vie . Il n'y a point de nouvelles de Hongrie , que celles qui font dans la Gazette . M. de Lorrai L ne , ne , en paffant la Drave , a fait , go LETTRES DE BOILEAU.
... , pourvu qu'il plaife à Dieu & aux Jésuites de lui laiffer encore un an de vie . Il n'y a point de nouvelles de Hongrie , que celles qui font dans la Gazette . M. de Lorrai L ne , ne , en paffant la Drave , a fait , go LETTRES DE BOILEAU.
Page 318
... Jésuites , mais même quelques Profeffeurs de Théologie , & quelques autres vieux Docteurs de la Faculté qui étoient ... Jésuite , & qui étoit alors ( en 1649 ) Syndic de la Faculté , s'avifa pour cela d'un moyen tout particulier . Il ...
... Jésuites , mais même quelques Profeffeurs de Théologie , & quelques autres vieux Docteurs de la Faculté qui étoient ... Jésuite , & qui étoit alors ( en 1649 ) Syndic de la Faculté , s'avifa pour cela d'un moyen tout particulier . Il ...
Page 325
... Jésuites ne fe bornoient pas à décrier leurs adverfaires fur la feule doctrine de la Grace . Il n'y avoit d'héréfie ni forte d'impiété dont ils ne s'efforçaffent de les faire croire coupables . C'é toit tous les jours de nouvelles ...
... Jésuites ne fe bornoient pas à décrier leurs adverfaires fur la feule doctrine de la Grace . Il n'y avoit d'héréfie ni forte d'impiété dont ils ne s'efforçaffent de les faire croire coupables . C'é toit tous les jours de nouvelles ...
Page 359
... de troubles dans l'Eglife , & dont les Jésuites ont tiré un fi grand ufage pour fe venger de tou . tes les perfonnes qu'ils haïffoient . Tout le mon- de de convient que ce fut M. de Marca qui dreffa DE PORT.ROYA L. 359.
... de troubles dans l'Eglife , & dont les Jésuites ont tiré un fi grand ufage pour fe venger de tou . tes les perfonnes qu'ils haïffoient . Tout le mon- de de convient que ce fut M. de Marca qui dreffa DE PORT.ROYA L. 359.
Common terms and phrases
Adieu affez affuré aife ainfi Arnauld auffi auroit Auteuil avez avoient avoit befoin Boileau Bonnac Bourbon c'eft c'eſt c'étoit Cardinal caufe Cenfure cher fils cher Monfieur chofe confeille confidérable confolation connoiffance deffein Defpréaux Dieu difant dire doctrine écrire efprit eſt êtes étoient étoit Evêques faffe Fagon faifoit fainte falloit falut fans fanté faurois favez favoir femble fens fent fentimens fera feroit fervir feulement fille fimple fœur foin foit fonger font fouhaite fous fouvent fuffent fuis fuivante fujet fur-tout gens Grace homme j'ai j'avois J'efpere Janfenius Jéfuites jours jufqu'à l'Abbé l'Affemblée l'Ambaffadeur l'efprit l'Eglife laiffer Lettre Livre longtems m'en Madame Madame de Maintenon mander maniere ment Monaftere monde n'avoit n'eft occafion paffer parler paroît Pere perfonne perfuadé piété plaifir plufieurs Poëtes Port-Royal pouvoit préfent prefque premiere Prince propofitions puiffe puifque raifon réfolu refte Religieufes réponſe rien s'eft Saint tems Torcy trouvé Vitart vouloit
Popular passages
Page 218 - ... être accusé si on en accuse un homme aussi dévoué au roi que je le suis , un homme qui passe sa vie à penser au roi, à s'informer des grandes actions du roi, et à inspirer aux autres les sentiments d'amour et d'admiration qu'il a pour le roi? J'ose dire que les grands seigneurs m'ont bien plus recherché, que je ne les recherchois moi-même; mais dans quelque compagnie que je me sois trouvé, Dieu m'a fait la grace de ne rougir jamais ni du.
Page 231 - ... l'obstination avec laquelle cette pauvre malheureuse refuse de renoncer à la comédie, ayant déclaré, à ce qu'on m'a dit, qu'elle trouvoit très - glorieux pour elle de mourir comédienne. Il faut espérer que quand elle verra la mort de plus près elle changera de langage, comme font d'ordinaire la plupart de ces gens qui font tant les fiers quand ils se portent bien.
Page 240 - ... assurer que plus je Vais en avant, plus je trouve qu'il n'ya rien de si doux au monde que le repos de la conscience, et de regarder Dieu comme un père qui ne nous manquera pas dans tous nos besoins.
Page 66 - ... grand cas ; mais M. Bourdier prétend qu'elle ne peut rendre la voix qu'à des gens qui ont le gosier attaqué, et non pas à un homme comme moi, qui a tous les muscles de la poitrine embarrassés. Peut-être que si j'avois le gosier malade, prétendroit-il que Yerysimum ne sauroit guérir que ceux qui ont la poitrine attaquée.
Page 270 - ... autre chose, parce qu'en tout cela rien ne satisfait entièrement. On n'est en repos que lorsqu'on s'est donné à Dieu, mais avec cette volonté déterminée dont je vous parle quelquefois; alors on sent qu'il n'ya plus rien à chercher, qu'on est arrivé à ce qui, seul est bon sur la terre; on a des chagrins, mais on a une solide consolation et une paix au fond du cœur au milieu des plus grandes peines.
Page 146 - Pour moi, que Phébus anime De ses transports les plus doux, Rempli de ce dieu sublime, Je vais, plus hardi que vous, Montrer que sur le Parnasse Des...
Page 24 - Cependant c'est une belle chose de voir le compère Cardeur et le menuisier Gaillard avec la robe rouge, comme un président, donner des arrêts et aller les premiers à l'offrande. Vous ne voyez pas cela à Paris.
Page 48 - ... un petit vent frais qui a la charité de souffler de temps en temps ; et pour m'achever, je suis tout le jour étourdi d'une infinité de cigales qui ne font que chanter de tous côtés, mais d'un chant le plus perçant et le plus importun du monde. Si...
Page 61 - C'est demain que se doit commencer le grand chef-d'œuvre , je veux dire que demain je dois commencer à prendre des eaux. M. Bourdier, mon médecin , me remplit toujours de grandes espérances; il n'est pas de l'avis de M. Fagon pour le bain , et cite même des exemples de gens...
Page 169 - Tout ce traité de Denys d'Halicarnasse dont je viens de vous parler, et que je relus hier tout entier avec un grand plaisir, me fit souvenir de. l'extrême impertinence de M. Perrault, qui avance que le tour des paroles ne fait rien pour l'éloquence, et qu'on ne doit regarder qu'au sens; et c'est pourquoi il prétend qu'on peut mieux juger d'un auteur par son traducteur, quelque mauvais qu'il soit, que par la lecture de l'auteur même.