Dictionnaire universel des sciences morale, économique, politique et diplomatique; ou Bibliotheque de l'homme-d'état et du citoyen;

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Chez les libraires associés, 1780 - France - 683 pages
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Page 674 - CAUSES & autres à ce nous mouvant, de l'avis de notre Confeil , & de notre certaine fcience , pleine puiflance & autorité royale , nous...
Page 678 - Si DONNONS EN MANDEMENT à nos âmes & féaux Confeillers les Gens tenant notre Cour de Parlement à Paris , que ces Préfentes ils ayent à.
Page 352 - Il faut que les affaires aillent, et qu'elles aillent un certain mouvement qui ne soit ni trop lent ni trop vite. Mais le peuple a toujours trop d'action, ou trop peu. Quelquefois avec cent mille bras il renverse tout; quelquefois avec cent mille pieds [il ne va que comme les insectes.
Page 186 - Paix, c'est vouloir des choses impossibles; et, pour règle générale, toutes les fois qu'on verra tout le monde tranquille dans un Etat qui se donne le nom de république, on peut être assuré que la liberté n'y est pas.
Page 650 - A ces caufes , & autres à ce nous mouvant, de l'avis de notre confeil & de notre •certaine fcience, pleine puiffance & autorité royale, nous...
Page 678 - Expofant & fes ay ans-caufes , pleinement & paifiblement , fans fouffrir qu'il leur foit fait aucun trouble ou empêchement. Voulons que la copie des Préfentes , qui fera imprimée tout au long, au commencement ou à la fin dudit Ouvrage , foit tenue pour duement (îgnifiée , & qu'aux copies collationnées par l'un de nos âmes & féaux Confeillers , Secrétaires , foi foit ajoutée comme à l'original.
Page 435 - Si les lois des nations pouvaient avoir, comme celles de la nature, une inflexibilité que jamais aucune force humaine ne pût vaincre , la dépendance des hommes redeviendrait alo'rs celle des choses ; on réunirait dans la république tous les avantages de l'état naturel à ceux de l'état civil; on joindrait à la liberté qui maintient l'homme exempt de vices , la moralité qui l'élève à la vertu.
Page 465 - Ce mot de finance est un mot d'esclave; il est inconnu dans la cité. Dans un Etat vraiment libre, les citoyens font tout avec leurs bra>,s, et rien avec de l'argent; loin de payer pour s'exempter de leurs devoirs, ils paieraient pour les remplir euxmêmes.
Page 6 - Phiftoire de la nature ; ils affeâoient fur-tout un mépris fouverain pour cette élégance particulière aux Athéniens , qui fe faifoit remarquer & fentir dans leurs mœurs , leurs écrits...
Page 29 - Artabaze d'aller trouver Arafpe de fa part. Cet Officier lui parla avec la dernière dureté, & lui reprocha fa faute d'une manière propreàlejetterdansle défefpoir.

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