Histoire de Napoléon Buonaparte: offrant le tableau complet de ses opérations militaires, politiques et civiles, de son élévation et de sa chuteChez L. G. Michaud, 1823 |
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... » tère , par l'attachement que nous ont toujours » montré leurs ancêtres , et par les services qu'ils ( 1 ) Le roi de Bavière n'était pas encore arrivé à Paris . » ont rendus à la civilisation européenne ... » La VINGT - UNIÈME . 9.
... » tère , par l'attachement que nous ont toujours » montré leurs ancêtres , et par les services qu'ils ( 1 ) Le roi de Bavière n'était pas encore arrivé à Paris . » ont rendus à la civilisation européenne ... » La VINGT - UNIÈME . 9.
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... repos du genre humain , jamais il n'au- rait dû sortir ? Non , sans doute ce n'était pas comblé des faveurs de la fortune , que Buona- : parte devait abdiquer . Ce grand sacrifice qu'il allait faire VINGT - UNIÈME . rr.
... repos du genre humain , jamais il n'au- rait dû sortir ? Non , sans doute ce n'était pas comblé des faveurs de la fortune , que Buona- : parte devait abdiquer . Ce grand sacrifice qu'il allait faire VINGT - UNIÈME . rr.
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... d'une voix altérée et les yeux mouil- lés de larmes , un discours peu long , qui n'était qu'une répétition de celui de son ingrat et infi- affections les plus chères , furent ensuite pronon- cés par VINGT - UNIÈME . 13.
... d'une voix altérée et les yeux mouil- lés de larmes , un discours peu long , qui n'était qu'une répétition de celui de son ingrat et infi- affections les plus chères , furent ensuite pronon- cés par VINGT - UNIÈME . 13.
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... n'était pas en position de dicter des lois de ce genre . Le mariage de Napoléon et de Marie - Louise fut célébré à Vienne , le 11 mars 1810. Peu de jours après , cette princesse partit pour Braunau , ville que son auguste père venait d ...
... n'était pas en position de dicter des lois de ce genre . Le mariage de Napoléon et de Marie - Louise fut célébré à Vienne , le 11 mars 1810. Peu de jours après , cette princesse partit pour Braunau , ville que son auguste père venait d ...
Page 24
... n'était ni Luther ni Calvin , c'étaient les princes al- lemands qui ne voulaient pas se soumettre à votre joug fa- natique . Les anglais ont bien eu raison de se séparer de vous . Ce sont les papes qui , par leur hiérarchie , ont mis l ...
... n'était ni Luther ni Calvin , c'étaient les princes al- lemands qui ne voulaient pas se soumettre à votre joug fa- natique . Les anglais ont bien eu raison de se séparer de vous . Ce sont les papes qui , par leur hiérarchie , ont mis l ...
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Common terms and phrases
adressa alliés anglais annoncer armée armes arriva attaqua Augereau autrichiens avaient avril ayant bataille Bellerophon Bérézina Bertrand Blücher Buona Buonaparte çais capitale Caulaincourt cavalerie cent mille combat commandait comte confédération du Rhin cosaques déclara défection devait dix mille Dniépr Dresde ennemis forces fran garde nationale garnison gauche gouvernement gouverneur guerre habitans jour l'amiral l'Angleterre l'armée française l'Autriche l'em l'empereur Alexandre l'empire l'ennemi l'Europe l'île l'usurpateur Labédoyère lendemain lord Macdonald maison marche maréchal Marie-Louise Marmont mars mée ment mille hommes ministre Mont-Saint-Jean Moskou Murat n'avait n'était naparte Napo Napoléon nation négociations officiers paix passer peuple pièces de canon porter position pouvait prince prisonniers prit proclamation Prusse prussiens puissances rent reste retirer retraite réunir Rhin Russie s'était Sainte-Hélène Schwartzenberg sénat sénatus-consulte serait seul Silésie sir Hudson Lowe Smolensk soldats sort Soult Suède tems tête tion traité trône troupes trouvait vaisseaux Weissenfelds Wellington Wilna Witgenstein
Popular passages
Page 518 - En commençant la guerre pour soutenir l'indépendance nationale, je comptais sur la réunion de tous les efforts, de toutes les volontés, et le concours de toutes les autorités nationales : j'étais fondé à en espérer le succès, et j'avais bravé toutes les déclarations des puissances contre moi. « Les circonstances me paraissent changées.
Page 364 - LES Puissances alliées ayant proclamé que l'Empereur NAPOLÉON était le seul obstacle au rétablissement de la Paix en Europe , l'Empereur NAPOLÉON, fidèle à son serment, déclare qu'il renonce, pour lui et ses héritiers , aux Trônes de France et d'Italie , et qu'il n'est aucun sacrifice personnel, même celui de la vie, qu'il ne soit prêt à faire à l'intérêt de la France.
Page 541 - J'en appelle à l'histoire; elle dira qu'un ennemi qui fit vingt ans la guerre au peuple anglais, vint librement, dans son infortune, chercher un asile sous ses lois. Quelle plus éclatante preuve pouvait-il lui donner de son estime et de sa confiance?
Page 354 - Par différentes mesures dont les suites étaient la ruine des villes, la dépopulation des campagnes, la famine et les maladies contagieuses ; » Considérant que, par toutes ces causes, le gouvernement impérial établi par le sénatus-consulte du 28 floréal an xii a cessé d'exister, et que le vœu manifeste de tous les Français appelle un ordre de choses dont le premier résultat soit le rétablissement de la paix générale, et qui soit aussi l'époque d'une réconciliation solennelle entre...
Page 349 - Le Sénat conservateur, considérant que dans une monarchie constitutionnelle le monarque n'existe qu'en vertu de la constitution, ou du pacte social ; « Que Napoléon Bonaparte, pendant quelque temps d'un gouvernement ferme et prudent, avait donné à la nation des sujets de compter, pour l'avenir, sur des actes de sagesse et de justice ; mais qu'ensuite il a déchiré le pacte qui l'unissait...
Page 76 - Russie est entraînée par la fatalité ; ses destins doivent s'accomplir. Nous croirait-elle donc dégénérés ? Ne serions-nous donc plus les soldats d'Austerlitz ? Elle nous place entre le déshonneur et la guerre : le choix ne saurait être douteux. Marchons donc en avant : passons le Niémen, portons la guerre sur son territoire.
Page 162 - C'est à l'idéologie , à cette ténébreuse métaphysique, qui, en recherchant avec subtilité les causes premières , veut sur ses bases fonder la législation des peuples, au lieu d'approprier les lois à la connaissance du cœur humain et aux leçons de l'histoire, qu'il faut attribuer tous les malheurs qu'a éprouvés notre belle France. Ces erreurs devaient et ont effectivement amené le régime des hommes de sang.
Page 458 - En rompant ainsi la convention qui l'avait établi à l'île d'Elbe, Bonaparte détruit le seul titre légal auquel son existence se trouvait attachée ; en reparaissant en France avec des projets de trouble et de bouleversement, il s'est privé lui-même de la protection des lois, et a manifesté à la face de l'univers, qu'il ne saurait y avoir ni paix ni trêve avec lui.
Page 459 - ... les souverains de l'Europe, animés des mêmes sentimens et guidés par les mêmes principes, déclarent, que si, contre tout calcul, il pouvait résulter de cet événement un danger réel quelconque, ils seraient prêts à donner au Roi de France et à la nation française, ou à tout autre gouvernement attaqué, dès que la demande en serait formée, les secours nécessaires pour rétablir la tranquillité publique, et à faire cause commune contre tous ceux qui entreprendraient de la compromettre.
Page 486 - Les Saxons, les Belges, les Hanovriens, les soldats de la confédération du Rhin gémissent d'être obligés de prêter leurs bras à la cause de princes ennemis de la justice et des droits de tous les peuples. Ils savent que cette coalition est insatiable. Après avoir dévoré douze millions de Polonais , douze millions d'Italiens, un million de Saxons , six millions de Belges, elle devra dévorer les États du second ordre de l'Allemagne.