Histoire de Napoléon Buonaparte: offrant le tableau complet de ses opérations militaires, politiques et civiles, de son élévation et de sa chuteChez L. G. Michaud, 1823 |
From inside the book
Results 1-5 of 76
Page 10
... tion , de l'ordre , de la morale , sur la guerre » civile , l'anarchie et les passions malfaisan- >> >> tes .... >> Si les recueils les plus authentiques ne renfer maient pas ce discours , la postérité pourrait le considérer comme une ...
... tion , de l'ordre , de la morale , sur la guerre » civile , l'anarchie et les passions malfaisan- >> >> tes .... >> Si les recueils les plus authentiques ne renfer maient pas ce discours , la postérité pourrait le considérer comme une ...
Page 12
... tion que moi et l'impératrice , ma très - chère épouse , avons prise . La politique de ma mo- » narchie , l'intérêt et le besoin de mes peuples , qui ont constamment guidé toutes mes actions , » veulent qu'après moi je laisse à des ...
... tion que moi et l'impératrice , ma très - chère épouse , avons prise . La politique de ma mo- » narchie , l'intérêt et le besoin de mes peuples , qui ont constamment guidé toutes mes actions , » veulent qu'après moi je laisse à des ...
Page 18
... tion . La couronne fut placée sur la tête de son oncle , le duc de Sudermanie , qui prit le nom de Gustave IV ; et un prince de la maison de Holstein fut désigné pour être son successeur . Par le traité de paix , qui fut conclu à ...
... tion . La couronne fut placée sur la tête de son oncle , le duc de Sudermanie , qui prit le nom de Gustave IV ; et un prince de la maison de Holstein fut désigné pour être son successeur . Par le traité de paix , qui fut conclu à ...
Page 19
... l'empereur Napoléon . Lors de leur exalta- tion , les papes prêteront serment de ne rien faire contre les quatre propositions de l'église galli- cane , arrêtées dans l'assemblée du clergé en 1582 . VINGT - UNIÈME . 19.
... l'empereur Napoléon . Lors de leur exalta- tion , les papes prêteront serment de ne rien faire contre les quatre propositions de l'église galli- cane , arrêtées dans l'assemblée du clergé en 1582 . VINGT - UNIÈME . 19.
Page 36
... tion formelle que ses ministres eurent ordre de présenter aux diverses cours , près desquelles ils étaient accrédités . On y déclarait , toutefois , que le grand intérêt politique , qui avait produit l'al- liance entre les deux empires ...
... tion formelle que ses ministres eurent ordre de présenter aux diverses cours , près desquelles ils étaient accrédités . On y déclarait , toutefois , que le grand intérêt politique , qui avait produit l'al- liance entre les deux empires ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
adressa alliés anglais annoncer armée armes arriva attaqua Augereau autrichiens avaient avril ayant bataille Bellerophon Bérézina Bertrand Blücher Buona Buonaparte çais capitale Caulaincourt cavalerie cent mille combat commandait comte confédération du Rhin cosaques déclara défection devait dix mille Dniépr Dresde ennemis forces fran garde nationale garnison gauche gouvernement gouverneur guerre habitans jour l'amiral l'Angleterre l'armée française l'Autriche l'em l'empereur Alexandre l'empire l'ennemi l'Europe l'île l'usurpateur Labédoyère lendemain lord Macdonald maison marche maréchal Marie-Louise Marmont mars mée ment mille hommes ministre Mont-Saint-Jean Moskou Murat n'avait n'était naparte Napo Napoléon nation négociations officiers paix passer peuple pièces de canon porter position pouvait prince prisonniers prit proclamation Prusse prussiens puissances rent reste retirer retraite réunir Rhin Russie s'était Sainte-Hélène Schwartzenberg sénat sénatus-consulte serait seul Silésie sir Hudson Lowe Smolensk soldats sort Soult Suède tems tête tion traité trône troupes trouvait vaisseaux Weissenfelds Wellington Wilna Witgenstein
Popular passages
Page 518 - En commençant la guerre pour soutenir l'indépendance nationale, je comptais sur la réunion de tous les efforts, de toutes les volontés, et le concours de toutes les autorités nationales : j'étais fondé à en espérer le succès, et j'avais bravé toutes les déclarations des puissances contre moi. « Les circonstances me paraissent changées.
Page 364 - LES Puissances alliées ayant proclamé que l'Empereur NAPOLÉON était le seul obstacle au rétablissement de la Paix en Europe , l'Empereur NAPOLÉON, fidèle à son serment, déclare qu'il renonce, pour lui et ses héritiers , aux Trônes de France et d'Italie , et qu'il n'est aucun sacrifice personnel, même celui de la vie, qu'il ne soit prêt à faire à l'intérêt de la France.
Page 541 - J'en appelle à l'histoire; elle dira qu'un ennemi qui fit vingt ans la guerre au peuple anglais, vint librement, dans son infortune, chercher un asile sous ses lois. Quelle plus éclatante preuve pouvait-il lui donner de son estime et de sa confiance?
Page 354 - Par différentes mesures dont les suites étaient la ruine des villes, la dépopulation des campagnes, la famine et les maladies contagieuses ; » Considérant que, par toutes ces causes, le gouvernement impérial établi par le sénatus-consulte du 28 floréal an xii a cessé d'exister, et que le vœu manifeste de tous les Français appelle un ordre de choses dont le premier résultat soit le rétablissement de la paix générale, et qui soit aussi l'époque d'une réconciliation solennelle entre...
Page 349 - Le Sénat conservateur, considérant que dans une monarchie constitutionnelle le monarque n'existe qu'en vertu de la constitution, ou du pacte social ; « Que Napoléon Bonaparte, pendant quelque temps d'un gouvernement ferme et prudent, avait donné à la nation des sujets de compter, pour l'avenir, sur des actes de sagesse et de justice ; mais qu'ensuite il a déchiré le pacte qui l'unissait...
Page 76 - Russie est entraînée par la fatalité ; ses destins doivent s'accomplir. Nous croirait-elle donc dégénérés ? Ne serions-nous donc plus les soldats d'Austerlitz ? Elle nous place entre le déshonneur et la guerre : le choix ne saurait être douteux. Marchons donc en avant : passons le Niémen, portons la guerre sur son territoire.
Page 162 - C'est à l'idéologie , à cette ténébreuse métaphysique, qui, en recherchant avec subtilité les causes premières , veut sur ses bases fonder la législation des peuples, au lieu d'approprier les lois à la connaissance du cœur humain et aux leçons de l'histoire, qu'il faut attribuer tous les malheurs qu'a éprouvés notre belle France. Ces erreurs devaient et ont effectivement amené le régime des hommes de sang.
Page 458 - En rompant ainsi la convention qui l'avait établi à l'île d'Elbe, Bonaparte détruit le seul titre légal auquel son existence se trouvait attachée ; en reparaissant en France avec des projets de trouble et de bouleversement, il s'est privé lui-même de la protection des lois, et a manifesté à la face de l'univers, qu'il ne saurait y avoir ni paix ni trêve avec lui.
Page 459 - ... les souverains de l'Europe, animés des mêmes sentimens et guidés par les mêmes principes, déclarent, que si, contre tout calcul, il pouvait résulter de cet événement un danger réel quelconque, ils seraient prêts à donner au Roi de France et à la nation française, ou à tout autre gouvernement attaqué, dès que la demande en serait formée, les secours nécessaires pour rétablir la tranquillité publique, et à faire cause commune contre tous ceux qui entreprendraient de la compromettre.
Page 486 - Les Saxons, les Belges, les Hanovriens, les soldats de la confédération du Rhin gémissent d'être obligés de prêter leurs bras à la cause de princes ennemis de la justice et des droits de tous les peuples. Ils savent que cette coalition est insatiable. Après avoir dévoré douze millions de Polonais , douze millions d'Italiens, un million de Saxons , six millions de Belges, elle devra dévorer les États du second ordre de l'Allemagne.