| Saint Albin Berville, François Barrière - France - 1828 - 580 pages
...bien qu'ils auraient fait à la patrie. C'est à vous de peser cette idée dans votre sagesse. Dans une république, il n'ya point de considération qui...ennemis du peuple , plus riches que lui , achetèrent au-dessus du maximum. » Les marchés cessèrent d'être fournis par l'avaricejde ceux qui vendaient... | |
| Saint-Just - France - 1834 - 502 pages
...bien qu'ils auraient fait à la patrie : c'est à vous de peser cette idée dans votre sagesse. Dans une République , il n'ya point de considération...mauvais. Lorsque vous portâtes la loi du maximum, les ennrinis du peuple, plus riches que lui, achetèrent audessus du maximum. 9 Les marchés cessèrent... | |
| Saint-Just - France - 1834 - 452 pages
...bien qu'ils auraient fait à la patrie : c'est à vous de peser cette idée dans votre sagesse. Dans une République, il n'ya point de considération qui...bonnes , si les hommes n'avaient pas été mauvais.! ... : • : . : . ., .• i76 Lorsque vous portâtes la loi du maximum, les en,nemis du peuple, plus... | |
| Philippe-Joseph-Benjamin Buchez, Roux-Lavergne - France - 1836 - 504 pages
...bien qu'ils auraient fait à la patrie ; c'est à vous de peser cette idée dans votre sagesse. Dans une République il n'ya point de considération qui...l'orgueil de leur front. » Les différentes lois que vous portiez autrefois sur les subsistances auraient été bonnes si les hommes n'avaient été mauvais.... | |
| Philippe-Joseph-Benjamin Buchez, Roux-Lavergne - France - 1836 - 504 pages
...lois que vous portiez autrefois sur les subsistances auraient été bonnes si les hommes n'avaient été mauvais. » Lorsque vous portâtes la loi du...ennemis du peuple , plus riches que lui , achetèrent au-dessus du maximum. » Les marchés cessèrent d'être soumis par l'avarice de ceux qui vendaient;... | |
| Auguste Amic - France - 1841 - 728 pages
...bien qu'ils auraient fait à la patrie. C'est à vous de peser cette idée dans votre sagesse. Dans une république , il n'ya point de considération...ennemis du peuple, plus riches que lui , achetèrent au-dessus du maximum. Les marchés cessèrent d'être fournis par l'avarice de ceux qui vendaient :... | |
| Bertrand Barère - France - 1842 - 398 pages
...monnaie. Il faut diminuer l'excès des fortunes, imposer les riches, et examiner les comptables. Dans une république , il n'ya point de considération...et que la sueur baignât l'orgueil de leur front. Votre Comité avait eu l'idée d'employer les hommes juste1 Le Comité, loin d'avoir eu cette pensée,... | |
| Bertrand Barère de Vieujac - 1842 - 900 pages
...fortunes, , imposer les riches, et examiner les comptables. — Pans une République , il n'ya point do considération qui doive prévaloir sur l'utilité...et que la sueur baignât l'orgueil de leur front. — Votre Comité (i) avait eu l'idée d'em(1) Le Comité , loin d'avoir eu cette pensée, digne de... | |
| Amable-Guillaume-Prosper Brugière baron de Barante - France - 1851 - 554 pages
...le seul bien qu'ils auraient fait à la patrie. Dans une république, aucune considération ne doit prévaloir sur l'utilité commune. Il serait juste...et que la sueur baignât l'orgueil de leur front. » Après tant de considérations générales , SaintJust arrivait à la conclusion. « Dans les circonstances... | |
| Amable Guillaume P. baron Brugière de Barante - 1851 - 572 pages
...la patrie. Dans une république, aucune considération ne doit prévaloir sur l'utilité commune. ll serait juste que le peuple régnât à son tour sur...et que la sueur baignât l'orgueil de leur front. » Après tant de considérations générales, SaintJust arrivait à la Conclusion. « Dans les circonstances... | |
| |