THÉOLOGIQUE, OU SÉRIE DE DICTIONNAIRES SUR TOUTES LES PARTIES DE LA SCIENCE RELIGIEUSE, OFFRANT EN FRANÇAIS, ET PAR ORDRE ALPHABÉTIQUE, LA PLUS CLAIRE, LA PLUS FACILE, LA PLUS COMMODE, LA PLUS VARIÉE DES HÉRÉSIES, Des schismes, deS LIVRES JANSÉNISTES, DES PROPOSITIONS ET DES LIVRES CONDAMNÉS, DE CAS DE CONSCIENCE, DES ORDRES RELIGIEUX (HOMMES ET FEMMES), DES DIVERSES RELIGIONS, DES PASSIONS, DES VERTUS ET DES VICES, D'ICONOGRAPHIE CHRÉTIENNE, DE CHIMIE ET DE MINERALOGIE religieuSES, - DE DIPLOMATIQUE CHÉTIENNE, PRIJ PUBLIÉE PAR M. L'ABBÉ MIGNE, ÉDITEUR DE LA BIBLIOTHÈQUE UNIVERSELLE DU CLERGÉ, DES COURS COMPLETS SUR CHAQUE BRANCHE DE LA SCIENCE ECCLÉSIASTIQUE. 6 FR. LE VOL. POUR LE SOUSCRIPTEUR A LA COLLECTION ENTIÈRe, 7 fr., 8 fr., ET MÊME 10 FR. POUR LE SOUSCRIPTEUR A TEL OU TEL DICTIONNAIRE PARTICULIER. S'IMPRIME ET SE VEND CHEZ J.-P. MIGNE, ÉDITEUR, BARRIÈRE D'ENFER DE PARIS. THÉOLOGIE MORALE LE PREMIER QUI AIT ÉTÉ FAIT SUR CETTE PARTIE DE LA SCIENCE SACRÉE, ET NÉANMOINS CELUI QU'UN PRÊTRE PRÉSENTANT UN EXPOSÉ COMPLET DE LA MORALE CHRÉTIENNE, CONTENANT UNE RÊGLE DE CONDUITE POUR LES PRINCIPALES CIRCONSTANCES DE LA VIE ; OFFRANT UN COMPLÉMENT NÉCESSAIRE A TOUTES LES ÉDITIONS DU DICTIONNAIRE PAR M. L'ABBÉ PIERROT, Curé de Sampigny, diocèse de Verdun, et ancien professeur de théologie au grand séminaire de cette ville; SUIVI D'UN PLAN MÉTHODIQUE DE LA THÉOLOGIE LAISSÉ INÉDIT PAR BERGIER, D'APRÈS LEQUEL ON PEUT LIRE AVEC SUITE SON DICTIONNAIRE; AT D UNE HISTOIRE ABRÉGÉE DE LA THÉOLOGIE DEPUIS L'ORIGINE Du Monde jusqu'à nos jours. Publié par M. l'abbé Migne, ÉDITEUR DE LA BIBLIOTHÈQUE UNIVERSELLE DU CLERGÉ. OU DES COURS COMPLETS SUR CHAQUE BRANCHE DE LA SCIENCE ECCLÉSIASTIQUE. S'IMPRIME ET SE VEND CHEZ J.-P. MIGNE, ÉDITEur, THÉOLOGIE M LE PREMIER QUI AIT ËTË BAIT SH DETE: B DEVRAIT ANGE. LI BLE- 201 IT DUNE HISTOIRE OU DES COM S'IMPRIME ET SET TOMI PRENE premiers peuples du lé, elle niet sous nos monarchies, soutenues soldats, succombant sous elques milliers d'hommes vient donc une telle difféat surtout de la différence des ,rands empires s'étant laissé es plaisirs et la corruption, ont forces et ont dû succomber. Au es peuples qui avaient conservé ergie de la vertu, ont sans cesse parce qu'ils ont puisé sans cesse vertu une force et un courage touenaissant. Tyr et Babylone élevèrent ine puissance colossale. Cette puissance posait pas sur la vertu; elle brilla un int, comme l'éclair qui éblouit pour rer dans des ténèbres plus profondes. La rruption fut leur ruine; le sol même qui ait porté ces villes célèbres sembla rougir e leur crime, il déroba pendant des siècles Le lieu de leur existence. Rome et Lacédémone furent deux grandes cités pendant que ces deux villes eurent des mœurs; toute leur puissance s'est évanouie avec la corruption. Si du sommet des empires nous descendons dans les familles, nous y recueillons les mêmes enseignements ésors immenses s'épuisent, les p' flétrissent, la honte pé ms se Fles |