Mercure de France au dix-neuvième siècle, Volume 261806 |
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... penser désormais de la définition que Cicéron nous a donnée de l'orateur ( 1 ) . - - Si M. de Mirabeau fut éloquent , qu'on me dise donc pourquoi on ne lit plus aucun de ses discours . M. de Mirabeau un grand homme ! Non , je ne ferai ...
... penser désormais de la définition que Cicéron nous a donnée de l'orateur ( 1 ) . - - Si M. de Mirabeau fut éloquent , qu'on me dise donc pourquoi on ne lit plus aucun de ses discours . M. de Mirabeau un grand homme ! Non , je ne ferai ...
Page 21
... penser qu'il n'avoit jamais admiré les ouvrages de l'ami des hommes , ni adoré la fameuse idole . qu'on appeloit le docteur Quesnay . On étoit dans l'erreur . Je trouve dans ces lettres que M. de Mirabeau eut une fois la fantaisie d ...
... penser qu'il n'avoit jamais admiré les ouvrages de l'ami des hommes , ni adoré la fameuse idole . qu'on appeloit le docteur Quesnay . On étoit dans l'erreur . Je trouve dans ces lettres que M. de Mirabeau eut une fois la fantaisie d ...
Page 24
... Mirabeau écrivoit ses lettres et ses mémoires , et de celle dont on fait maintenant les livres . C'est une grande erreur de penser que des hommes tels que M. de Mirabeau , se peignent dans leurs discours familiers 24 MERCURE DE FRANCE ,
... Mirabeau écrivoit ses lettres et ses mémoires , et de celle dont on fait maintenant les livres . C'est une grande erreur de penser que des hommes tels que M. de Mirabeau , se peignent dans leurs discours familiers 24 MERCURE DE FRANCE ,
Page 58
... penser que le plaisir qu'on éprouve en lisant Homère et Virgile , et celui que procurent Tibulle et Pro- perce , sont d'une nature différente ? Il se mêle dans le sentiment qu'on a pour les premiers une admiration , un respect et une ...
... penser que le plaisir qu'on éprouve en lisant Homère et Virgile , et celui que procurent Tibulle et Pro- perce , sont d'une nature différente ? Il se mêle dans le sentiment qu'on a pour les premiers une admiration , un respect et une ...
Page 115
... penser à se faire admirer . Il est un autre trait qui distingue encore le psalmiste de tous les poètes de l'antiquité . Ce que nous admirons le plus dans ceux - ci , c'est la magnificence de leurs expressions , vivacité des peintures ...
... penser à se faire admirer . Il est un autre trait qui distingue encore le psalmiste de tous les poètes de l'antiquité . Ce que nous admirons le plus dans ceux - ci , c'est la magnificence de leurs expressions , vivacité des peintures ...
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Common terms and phrases
22 mars 22 sept ABEL Alceste anglais Anquetil armée armes auroit auteur avoient avoit Banque bataille d'Austerlitz Berlin Caïn CAINO capitulation cavalerie CHARADE cœur connoître cristaux dernier desirer devoit Dieu dire écrivains enfans ennemis Etats étoient étoit garnison génie genre gloire grace grand-duc de Berg GRANDE-ARMÉE guerre hommes Idem j'ai Jean Second Jouiss jour l'Angleterre l'auteur l'ennemi l'Europe l'histoire l'homme laves lettre leucite littérature livre LOGOGRIPHE long-temps Magdebourg maréchal Soult ment ministre mort n'avoit n'étoit Naigeon nation novembre octobre officiers ooc Act ooc ooc ooc oooof ouvrage paix parler paroît passé Patrin pense Père Bouhours peuple philosophes place poëme poésie poète politique Pologne porte pourroit pouvoit premier Prentzlow présent prince prince de Ponte-Corvo prisonniers Prusse prussienne public qu'un raison religion rien Ruffiberg Russie S. M. l'EMPEREUR s'est Salgues sentimens sera seront seul société soldats sorte Stettin sujet sur-tout tion tragédie troupes trouve Velly Virgile Vistule volcans Voltaire
Popular passages
Page 265 - Non, je ne puis souffrir un bonheur qui m'outrage, Œnone. Prends pitié de ma jalouse rage. Il faut perdre Aricie. Il faut de mon époux Contre un sang odieux réveiller le courroux. Qu'il ne se borne pas à des peines légères: Le crime de la sœur passe celui des frères. Dans mes jaloux transports je le veux implorer. Que fais-je? Où ma raison se va-t-elle égarer?
Page 524 - Aucun bâtiment venant directement de l'Angleterre ou des colonies anglaises, ou y ayant été depuis la publication du présent décret, ne sera reçu dans aucun port.
Page 284 - Austerlitz au milieu de la Prusse. Une nation qui a aussitôt oublié la générosité dont nous avons usé envers elle après cette bataille où son Empereur, sa cour, les débris de son armée n'ont dû leur salut qu'à la capitulation que nous leur avons accordée, est une nation qui ne saurait lutter avec succès contre nous. Cependant, tandis que nous marchons au-devant des Russes, de nouvelles armées, formées dans l'intérieur de l'Empire, viennent prendre notre place pour garder nos conquêtes.
Page 523 - ... que tel étant le but évident de l'Angleterre, quiconque fait sur le continent le commerce des marchandises anglaises, favorise par là ses desseins et s'en rend le complice ; 7°...
Page 523 - Les dispositions du présent décret seront constamment considérées comme principe fondamental de l'Empire, jusqu'à ce que l'Angleterre ait reconnu que le droit de la guerre est un, et le même sur terre que sur mer ; qu'il ne peut s'étendre ni aux propriétés privées, quelles qu'elles soient, ni à la personne des individus étrangers à la profession des armes, et que le droit de blocus doit être restreint aux places fortes réellement investies par des forces suffisantes ; Nous avons en...
Page 523 - ... les équipages des vaisseaux armés en guerre , mais encore les équipages des vaisseaux de commerce et des navires marchands, et même les facteurs du commerce et les négociants qui voyagent pour les affaires de leur négoce ; 3...
Page 523 - ... principe fondamental de l'Empire jusqu'à ce que l'Angleterre ait reconnu que le droit de la guerre est un , et le même sur terre que sur mer '; qu'il ne peut s'étendre ni aux propriétés privées, quelles qu'elles soient, ni à la personne des individus étrangers à la profession des armes , et que le droit de blocus doit être restreint aux places- fortes réellement investies par des forces suffisantes; Nous AVONS, en conséquence, DÉCRÉTÉ et DÉCRÉTONS ce qui suit : • ..•(.' -...
Page 619 - Conseil d'état, qui, d'après le renvoi à lui fait par Sa Majesté, a entendu le rapport de la section de législation sur celui du grand-juge ministre de la justice, tendant à...
Page 230 - Napoléon ayant, avant de quitter Paris, rassemblé ses ministres, leur dit : « Je suis innocent de cette guerre ; je ne l'ai provoquée en rien ; elle n'est point entrée dans mes calculs. Que je sois battu si elle est de mon fait. Un des principaux motifs de la confiance dans laquelle je suis que mes ennemis seront détruits, c'est que je vois dans leur conduite le doigt de la Providence, qui, voulant que les traîtres soient punis, a tellement éloigné toute sagesse de leurs conseils que, lorsqu'ils...
Page 520 - D'après la maxime que la guerre n'est point une relation d'homme à homme, mais une relation d'État à État, dans laquelle les particuliers ne sont ennemis...