Mémoires et souvenirs d'un pair de france--, Volume 4 |
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... s'était instruit de ce qu'il me racontait ; ma question le fit sourire . « Je suis , me répondit - il , l'un des deux com = missaires chargés de rédiger le procès - verbal de chaque séance . Êtes - vous curieux de connaître ce qui s'est ...
... s'était instruit de ce qu'il me racontait ; ma question le fit sourire . « Je suis , me répondit - il , l'un des deux com = missaires chargés de rédiger le procès - verbal de chaque séance . Êtes - vous curieux de connaître ce qui s'est ...
Page 16
... s'était expliqué en termes ambigus : s'il désirait opérer une révolution , l'assistance de l'empereur lui paraissait dangereuse : il lui convenait de renverser le trône des Bourbons mais le relever pour y faire monter le souverain de l ...
... s'était expliqué en termes ambigus : s'il désirait opérer une révolution , l'assistance de l'empereur lui paraissait dangereuse : il lui convenait de renverser le trône des Bourbons mais le relever pour y faire monter le souverain de l ...
Page 34
... s'était adjugé une immense part dans la fortune publique : il avait pleuré en 1814 en présence de Louis XVIII ; mais plus tard il essaya de lui ravir , ou tout au moins de profaner sa couronne : il lui ouvrit les portes de Paris ; mais ...
... s'était adjugé une immense part dans la fortune publique : il avait pleuré en 1814 en présence de Louis XVIII ; mais plus tard il essaya de lui ravir , ou tout au moins de profaner sa couronne : il lui ouvrit les portes de Paris ; mais ...
Page 44
... beaucoup de prudence ; c'était Cambacérès , ex - archi- chancelier . Déjà , à diverses reprises , on s'était adressé à lui , et d'une manière détournée ; car il avait persisté à repousser des ouvertures di- rectes : 44 MÉMOIRES.
... beaucoup de prudence ; c'était Cambacérès , ex - archi- chancelier . Déjà , à diverses reprises , on s'était adressé à lui , et d'une manière détournée ; car il avait persisté à repousser des ouvertures di- rectes : 44 MÉMOIRES.
Page 48
... s'était tracé ; il ne demandait plus que de jouir en paix de sa belle fortune et des honneurs qu'on lui avait laissés . Je le vis le lendemain de cette confé- rence ; il désirait en causer avec un ami , et il m'avoua ce qu'on lui avait ...
... s'était tracé ; il ne demandait plus que de jouir en paix de sa belle fortune et des honneurs qu'on lui avait laissés . Je le vis le lendemain de cette confé- rence ; il désirait en causer avec un ami , et il m'avoua ce qu'on lui avait ...
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Common terms and phrases
abdication acte aurait avaient avez bacérès baron baron de Vitrolles Bonaparte Bourbons Bourienne c'était Cambacérès Carnot cause cent jours chambre chambre introuvable Charte chercher choses circonstance comte Regnault congrès de Vienne conspiration d'Elbe Decazes demande despotisme devant dit-il donner duc d'Angoulême duc d'Otrante duc de Rovigo ennemis esprit fallait fortune Fouché général gens gouvernement homme impériale intrigues j'ai Jacobins jamais l'armée l'em l'empe l'empereur l'empire l'Europe Labédoyère laisser Lormian Louis XVIII Lucien Majesté manière Marchangy maréchal Ney ment mesure Metternich mieux militaires ministre monarque monsieur n'avait n'était Napo Napoléon nation noblesse pairs palais de l'Élysée parler passé pereur personne peuple poléon police position pouvait préfet premier prendre présent prince Ramel refusa répliqua républicains république reste retour reur révolution rien royalistes royaume s'était serait servir seul soldats sorte souverain succès terreur tête Thibeaudeau tion titre Toulouse tromper trône troupes Tuileries ultrà venait Villèle voulait voyait
Popular passages
Page 280 - Les propriétés publiques, à l'exception de celles qui ont rapport à la guerre , soit qu'elles appartiennent au gouvernement, soit qu'elles dépendent de l'autorité municipale, seront respectées, et les puissances alliées n'interviendront en aucune manière dans leur administration ou dans leur gestion. i2. Seront pareillement respectées les personnes et les propriétés particulières ; les habitans , et en général tous les individus qui se...
Page 21 - Le sol qui fut rougi du sang des patriotes sera bouleversé ; tout ce que le vice et le crime avaient élevé sera anéanti, et sur les débris de cette ville superbe et rebelle, qui fut assez corrompue pour demander un maître, le voyageur verra avec satisfaction quelques monuments simples élevés à la mémoire des martyrs de la liberté, et des chaumières éparses que les amis de l'égalité s'empresseront de venir habiter pour y vivre heureux des bienfaits de la nature.
Page 246 - Puissent-ils être sincères dans leurs déclarations et n'en avoir jamais voulu qu'à ma personne ! Ma vie politique est terminée , et je proclame mon fils sous le titre de Napoléon II , empereur des Français. Les ministres actuels formeront provisoirement le conseil de gouvernement. L'intérêt que je porte à mon fils m'engage à inviter les chambres à organiser sans délai la régence par une loi. Unissez-vous tous pour le salut public et pour rester une nation indépendante.
Page 246 - J'étais fondé à en espérer le succès, et j'avais bravé toutes les déclarations des puissances contre moi. Les circonstances paraissent changées. Je m'offre en sacrifice à la haine des ennemis de la France. Puissent-ils être sincères dans leurs déclarations et n'en avoir jamais voulu qu'à ma personne ! Ma vie politique est terminée , et je proclame mon fils sous le titre de Napoléon II , empereur des Français.
Page 133 - Ah ! dit l'empereur, je retrouve ici les sentimensqui, il y a vingt ans, me firent saluer la France du nom de la grande nation ! Oui , vous êtes encore la grande nation , et vous le serez toujours ! » Cependant le comte d'Artois, le duc d'Orléans et plusieurs maréchaux étaient arrivés à Lyon.
Page 266 - Des hommes indignes d'apprécier vos travaux , ont vu , dans les marques d'attachement que vous m'avez données, un zèle dont j'étais le seul objet; que vos succès futurs leur apprennent que c'était la patrie par-dessus tout que vous serviez en m'obéissant; et que si j'ai quelque part à votre affection , je la dois à mon ardent amour pour la France, notre mère commune.
Page 279 - me suis éloigné de Paris qu'avec la douleur » la plus vive et une égale émotion. Les té" » moignages de fidélité de ma bonne ville soûl.
Page 253 - L'empereur a abdiqué en faveur de son fils : nous avons accepté son sacrifice. Faut-il aujourd'hui lui en faire perdre le fruit? Nous ne demandons pas l'avis des étrangers. En reconnaissant Napoléon II , nous faisons...
Page 21 - Nous le jurons : le peuple sera vengé; notre courage sévère répondra à sa juste impatience; le sol qui fut rougi du sang des patriotes sera bouleversé; tout ce que le vice et le crime...