L'Ami de la religion et du roi, Volumes 7-8Le Clere, 1816 - Paris (France) |
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adresse anglois articles assez auroit avoient avoit avril Bossuet Buonaparte bureau du Journal cardinal catholique cérémonie chambre des députés chambre des pairs charité choses chrétiens clergé commission comte concile Concordat condamné congrégation connoître conseil curé d'Angoulême dernier devoirs Dieu diocèse discours discussion divorce doctrine duc d'Angoulême duc de Berry duchesse duchesse de Berry ecclésias écrit églises enfans établissemens étoient étoit évêques fidèles François garde nationale général gouvernement hommes jour juillet l'abbé Vinson L'Ami l'auteur l'Eglise l'Etat l'évêque lettre long-temps Louis Louis XVI maison mariage ment messe ministre n'avoit n'étoit nommé NOUVELLES ECCLÉSIASTIQUES NOUVELLES POLITIQUES ordonnance ouvrage Pape parlé paroisse paroît passé personnes peuple Pie VII piété Pleignier port pouvoit Pradt préfet prélat premier présenté prêtres prières prince princesse principes projet propose rapport religieux religion révolution Rome royale s'est sacré saint Père saint Siége séminaire sentimens sera seront seul sion Sourdon systême teur tion vicaires zèle
Popular passages
Page 41 - ... leur amitié et leur confiance mutuelle en feront le bonheur; que ma fille sente qu'à l'âge qu'elle a, elle doit toujours aider son frère par les conseils que l'expérience qu'elle aura de plus que lui et son amitié pourront lui inspirer. Que mon fils, à son tour, rende à sa sœur tous les soins, les services que l'amitié peut inspirer.
Page 41 - J'ai appris par le plaidoyer même du procès que ma fille était séparée de vous. Hélas! la pauvre enfant, je n'ose pas lui écrire, elle ne recevrait pas ma lettre. Je ne sais même pas si celle-ci vous parviendra.
Page 40 - C'est à vous, ma sœur, que j'écris pour la dernière fois. Je viens d'être condamnée, non pas à une mort honteuse, elle ne l'est que pour les criminels, mais à aller rejoindre votre frère; comme lui innocente, j'espère montrer la même fermeté que lui dans ces derniers moments.
Page 42 - Dieu de toutes les fautes que j'ai pu commettre depuis que j'existe; j'espère que dans sa bonté il voudra bien recevoir mes derniers vœux, ainsi que ceux que je fais depuis longtemps pour qu'il veuille bien recevoir mon âme dans sa miséricorde et sa bonté. Je demande pardon à tous ceux que je...
Page 42 - Je meurs dans la religion catholique , apostolique et romaine, dans celle de mes pères, dans celle où j'ai été élevée et que j'ai toujours professée, n'ayant aucune consolation spirituelle à attendre...
Page 41 - J'ai à vous parler d'une chose bien pénible à mon cœur. Je sais combien cet enfant doit vous avoir fait de la peine, pardonnez-lui, ma chère sœur, pensez à l'âge qu'il a, et combien il est facile de faire dire à un enfant ce qu'on veut, et même ce qu'il ne comprend pas.
Page 42 - ... que j'emporte en mourant ; qu'ils sachent du moins que, jusqu'à mon dernier moment, j'ai pensé à eux. Adieu, ma bonne et tendre sœur! Puisse cette lettre vous arriver!
Page 34 - Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est pour le peuple et pour chaque portion du peuple le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs.
Page 41 - ... conseils que l'expérience qu'elle aura de plus que lui et son amitié pourront lui inspirer, que mon fils à son tour, rende à sa sœur tous les soins, les services, que l'amitié peut inspirer ; qu'ils sentent enfin tous deux que, dans quelque position où ils pourront se trouver, ils ne seront vraiment heureux que par leur union qu'ils prennent exemple de nous.