Vie de Napoléon, par A.V. Arnault [and others].1825 |
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... comte de Stadion , contre le baron de Stein , contre la reine de Prusse , etc. On se sou- . vint de tout , au premier et au second traité de Paris , où la vengeance était entre les mains des offenses . Le roi de Prusse avait ...
... comte de Stadion , contre le baron de Stein , contre la reine de Prusse , etc. On se sou- . vint de tout , au premier et au second traité de Paris , où la vengeance était entre les mains des offenses . Le roi de Prusse avait ...
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... comte de Saint - Marsan , ambassadeur de France . Cette note avait pour ob- jet la proposition de l'entremise de la Prusse pour une négociation entre les deux empereurs , et celle d'une trève , en vertu de laquelle les places fortes de ...
... comte de Saint - Marsan , ambassadeur de France . Cette note avait pour ob- jet la proposition de l'entremise de la Prusse pour une négociation entre les deux empereurs , et celle d'une trève , en vertu de laquelle les places fortes de ...
Page 7
... comte de Nesselrode , et le comte de Stakelberg agissait à Vienne d'accord avec le baron de Humboldt , ministre prussien . Il n'y avait donc que la force des armes qui , après son dernier refus , pouvait protéger Napoléon contre une ...
... comte de Nesselrode , et le comte de Stakelberg agissait à Vienne d'accord avec le baron de Humboldt , ministre prussien . Il n'y avait donc que la force des armes qui , après son dernier refus , pouvait protéger Napoléon contre une ...
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... comte de Narbonne , plénipotentiaires de France au congrès , le langage qu'il avait tenu à Dresde à Napoléon lui - même . En effet , et la vérité nous commande de le déclarer , le comte de Metternich avait dit à Dresde , à l'em- pereur ...
... comte de Narbonne , plénipotentiaires de France au congrès , le langage qu'il avait tenu à Dresde à Napoléon lui - même . En effet , et la vérité nous commande de le déclarer , le comte de Metternich avait dit à Dresde , à l'em- pereur ...
Page 27
... comte de Metternich , ministre du médiateur , une négociation secrète pour connaître les cons de paix que l'Autriche serait prête à soute le son influence , et qui assureraient ainsi à la France le maintien de l'alliance . Le comte de ...
... comte de Metternich , ministre du médiateur , une négociation secrète pour connaître les cons de paix que l'Autriche serait prête à soute le son influence , et qui assureraient ainsi à la France le maintien de l'alliance . Le comte de ...
Common terms and phrases
abdication anglais armée arriva Augereau Autrichiens avaient Bautzen Bernadotte Bertrand Blücher Bourbon braves Bulow C'était çais capitale cavalerie chambre champ de bataille Châtillon Chevilly coalition commandement comte congrès corps corps-législatif d'armée décidé déclaration défection députés devait dit-il Dresde duc de Vicence ennemis Essonne eût Fontainebleau force fran garde nationale général généralissime gloire gouvernement provisoire Grouchy guerre habitans heures hommes impériale intérêts Joachim jour l'Angleterre l'armée française l'Autriche l'em l'empereur Alexandre l'empereur Napoléon l'empire l'ennemi l'Europe l'ile d'Elbe Laon lendemain léon lui-même Lutzen Lyon marche maréchal Grouchy maréchal Macdonald maréchal Marmont maréchal Mortier maréchal Ney mars ment Metternich militaire ministre Moskou n'avait Naples Napo nation négociation ordres paix passé patrie pereur peuple plénipotentiaires poléon politique pouvait Prague prince de Schwarzenberg proclamation Prusse Prussiens puissances quartier-général reste retraite Rhin route Russie s'était Sainte-Hélène sénat serait seul soir soldats Soult souverains alliés tion tout-à-coup traité trône troupes Troyes venait victoire Wavre Wellington
Popular passages
Page 257 - En commençant la guerre pour soutenir l'indépendance nationale, je comptais sur la réunion de tous les efforts, de toutes les volontés, et le concours de toutes les autorités nationales : j'étais fondé à en espérer le succès, et j'avais bravé toutes les déclarations des puissances contre moi. « Les circonstances me paraissent changées.
Page 160 - Les puissances alliées ayant proclamé que l'empereur Napoléon était le seul obstacle au rétablissement de la paix en Europe, l'empereur Napoléon, fidèle à son serment, déclare qu'il renonce, pour lui et ses héritiers, aux trônes de France et d'Italie, et qu'il n'est aucun sacrifice personnel, même celui de la vie, qu'il ne soit prêt à faire à l'intérêt de la France.
Page 233 - N'imitons pas l'exemple du Bas-empire, qui, pressé de tous côtés par les barbares, se rendit la risée de la postérité en s'occupant de discussions abstraites, au moment où le bélier brisait les portes de la ville.
Page 218 - L'attente qui m'avait décidé au plus grand des sacrifices avait été trompée. Je suis venu, et du point où j'ai touché le rivage, l'amour de mes peuples m'a porté jusqu'au sein de ma capitale. « Le premier besoin de mon cœur est de payer tant d'affection par le maintien d'une honorable tranquillité. Le rétablissement du trône impérial était nécessaire au bonheur des Français, ma plus douce pensée est de le rendre en même temps utile à l'affermissement du repos de l'Europe.
Page 189 - Français ne furent jamais sur le point d'être plus puissants, et l'élite de l'armée ennemie était perdue sans ressource ; elle eût trouvé son tombeau dans ces vastes contrées qu'elle avait si impitoyablement saccagées, lorsque la trahison du duc de Raguse livra la capitale et désorganisa l'armée. La conduite inattendue de ces deux généraux, qui trahirent à la fois leur patrie, leur prince et leur bienfaiteur, changea le destin de la guerre. La situation...
Page 189 - Franche-Comté et de la Bourgogne, et la position que j'avais prise sur les derrières de l'armée ennemie en la séparant de ses magasins, de ses parcs de réserve, de ses convois et de tous ses équipages, l'avaient placée dans une situation désespérée. , Les Français ne furent jamais sur le point d'être plus puissants, et l'élite de l'armée ennemie était...
Page 306 - J'y suis venu à l'instigation même du capitaine , qui a dit avoir des ordres du gouvernement de me recevoir et de me conduire en Angleterre avec ma suite si cela m'était agréable. Je me suis présenté de bonne foi pour venir me mettre sous la protection des lois de l'Angleterre. Aussitôt assis à bord du Bellérophon , je fus sur le foyer du peuple britannique.
Page 306 - Je proteste solennellement ici, à la face du ciel et des hommes , contre la violence qui m'est faite , contre la violation de mes droits les plus sacrés, en disposant, par la force, de ma personne et de ma liberté.
Page 218 - Une plus belle arène est aujourd'hui ouverte aux souverains, et je suis le premier à y descendre. Après avoir présenté au monde le spectacle de grands combats, il sera plus doux de ne connaître désormais d'autre rivalité que celle des avantages de la paix, d'autre lutte que la lutte sainte de la félicité des peuples.
Page 257 - Puissent-ils être sincères dans leurs déclarations et n'en avoir jamais voulu qu'à ma personne ! Ma vie politique est terminée , et je proclame mon fils sous le titre de Napoléon II , empereur des Français. Les ministres actuels formeront provisoirement le conseil de gouvernement. L'intérêt que je porte à mon fils m'engage à inviter les chambres à organiser sans délai la régence par une loi. Unissez-vous tous pour le salut public et pour rester une nation indépendante.