Mémoires du maréchal de Grouchy, Volume 5E. Dentu, 1874 - France |
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armée assertions attaques avaient bataille de Fleurus bataille de Ligny bataille de Waterloo campagne de 1815 canonnade cavalerie chal champ de bataille chef d'état-major colonel de Grouchy commandement comte de Grouchy comte Gérard conseil de guerre corps d'armée corps du général corps prussiens d'Harfleur devant devoir direction dispositions dix heures documents Dyle écrit envoyé eût flanc forêt de Soignes Gembloux général Bulow général Exelmans général Gérard général Gourgaud Général Jomini général Pajol général Vandamme Harfleur heures du matin j'ai j'avais jour juin l'aile l'armée française l'armée prussienne l'Empereur l'ennemi l'ouvrage du général lettre lieu major général marche maréchal Blücher maréchal de Grouchy maréchal Gérard maréchal Grouchy maréchal Ney maréchal Soult marquis de Grouchy ment midi militaire mille hommes ministre monsieur le maréchal mouvement Napoléon néral officiers ordres patrie porter position pouvait prus Quatre-Bras réchal réclamation réfutation retraite route de Namur Saint-Lambert Sarth-à-Valin serait seul tion troupes Wavres Wellington
Popular passages
Page 141 - C'est à vous à voir le point où nous sommes pour vous régler en conséquence et pour lier nos communications, ainsi que pour être toujours en mesure de tomber sur quelques troupes ennemies qui chercheraient à inquiéter notre droite et les écraser.
Page 20 - Il n'ya point encore de liberté si la puissance de juger n'est pas séparée de la puissance législative et de l'exécutrice. Si elle était jointe à la puissance législative, le pouvoir sur la vie et la liberté des citoyens serait arbitraire : car le juge serait législateur. Si elle était jointe à la puissance exécutrice, le juge pourrait avoir la force d'un oppresseur.
Page 370 - Et que si l'injuste emploi d'une force majeure parvenait (ce qu'à Dieu ne plaise) à placer de fait, et jamais de droit, sur le trône de France, tout autre que notre Roi légitime, nous suivrions avec autant de confiance que de fidélité la voix de l'honneur, qui nous prescrit d'en appeler jusqu'à notre dernier soupir à Dieu, aux Français et à notre épée.
Page 311 - PS Une lettre qui vient d'être interceptée porte que le général Bulow doit attaquer notre flanc. Nous croyons apercevoir ce corps sur les hauteurs de Saint-Lambert ; ainsi , ne perdez pas un instant pour vous rapprocher de nous et nous joindre , et pour écraser Bulow que vous prendrez en flagrant délit.
Page 372 - ... silence que je m'étais imposé, et, puisqu'on ose mêler mon nom à des vœux coupables et à de perfides insinuations, mon honneur me dicte, à la face de l'Europe entière, une protestation solennelle que me prescrivent mes devoirs. « Français! on vous trompe, on vous égare; mais qu'ils se trompent 'surtout ceux d'entre vous qui s'arrogent le droit de se choisir un maître, et qui, dans leur pensée, outragent par de séditieuses espérances un prince, le plus fidèle sujet du roi -de France.
Page 260 - Haye ; qu'il lui ordonnait de détacher avant le jour de son camp de "Wavres une division de sept mille hommes de toutes armes et seize pièces de canon sur Saint-Lambert, pour se joindre à la droite de la grande armée et opérer avec elle; qu'aussitôt qu'il serait assuré que le maréchal...
Page 375 - Mais une nouvelle carrière de gloire^s'ouvre devant l'armée ; l'histoire consacrera le souvenir des faits militaires qui auront illustré les défenseurs de la patrie et de l'honneur national. Les ennemis sont nombreux , dit-on ; que nous importe ! Il sera plus glorieux de les vaincre, et leur défaite aura d'autant plus d'éclat. La lutte qui va s'engager n'est pas au-dessus du génie de Napoléon, ni au-dessus de nos forces. Ne voit-on pas tous les...
Page 335 - Soignes; ainsi sa majesté désire que vous dirigiez vos mouvements sur Wavres, afin de vous rapprocher de nous, vous mettre en rapport d'opérations, et lier les communications, poussant devant vous les corps de l'armée prussienne qui ont pris cette direction, et qui auraient pu s'arrêter à Wavres, où vous devez arriver le plutôt possible.
Page 289 - J'ajoutai que j'augurais mal de ces retards; que, d'après ma manière de voir, ce n'était que par des mouvements rapides qui nous amèneraient au milieu des cantonnements ennemis, presque à leur insu, que nous pouvions espérer de grands résultats.
Page 372 - Le principe irrévocable de la légitimité est aujourd'hui la seule garantie de la paix en France et en Europe; les révolutions n'en ont fait que mieux sentir la force et l'importance : consacré par une ligue guerrière et par un congrès pacifique de tous les souverains, ce principe deviendra la régle invariable des régnes et des successions.