Внешняя политика России XIX и начала XX века: serii︠a︡:1815-1830 gg, Volume 1, Issue 2; Volume 2

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Popular passages

Page 365 - En foi de quoi les plénipotentiaires respectifs l'ont signé et y ont apposé le cachet de leurs armes. Fait à Paris, le 30 mai de l'an de grâce 1814, (LS) Signé le prince de Bénévent.
Page 142 - ... semblables principes que l'on pourrait procéder à la pacification générale, et donner naissance à une ligue dont les stipulations formeraient^ pour ainsi dire, un nouveau code du droit des gens, qui, sanctionné par la plus grande partie des Etats de l'Europe, deviendrait sans peine la règle immuable des cabinets, d'autant que ceux qui prétendraient l'enfreindre risqueraient d'attirer sur eux les forces de la nouvelle union.
Page 61 - III , etc., etc. La guerre qui s'est rallumée entre l'Angleterre et la France ayant exposé le nord de l'Allemagne à une invasion étrangère, les suites qui dès à présent en sont résultées pour notre monarchie et pour nos voisins ont excité toutes nos sollicitudes ; mais celles surtout qui pourraient en résulter encore ont exigé de nous de peser et de préparer à temps les moyens d'y porter remède. Quelque pénible que soit l'occupation du Hanovre et son résultat indirect, la clôture...
Page 360 - Sa Majesté l'empereur des Français, Sa Majesté l'empereur d'Autriche, Sa Majesté la reine du royaume - uni de la GrandeBretagne et d'Irlande, Sa Majesté le roi de Prusse, Sa Majesté l'empereur de toutes les Russies et Sa Majesté le roi de Sardaigne déclarent la Sublime - Porte admise à participer aux avantages du droit public et du concert européens.
Page 142 - Il faudrait alors surtout s'attacher à suivre celles que la nature elle-même a indiquées, soit par des chaînes de montagnes, soit par des mers, soit enfin par des débouchés qui doivent être assurés à chacun pour les productions de son sol et son industrie. Il serait nécessaire en même temps de composer chaque État de peuples homogènes, qui puissent se convenir entre eux, et s'harmoniser avec le gouvernement qui les régit.
Page 139 - Français, et avec laquelle ils menacent encore tous les pays, est l'opinion universelle qu'ils ont su répandre, que leur cause est celle de la liberté et de la prospérité des peuples. Il serait honteux pour l'humanité qu'une cause aussi belle dût être considérée comme le propre d'un gouvernement qui ne mérite sous aucun rapport d'en être le défenseur; il serait dangereux pour tous les Etats de laisser plus longtemps aux Français l'avantage marquant d'en conserver l'apparence.
Page 141 - Pourquoi ne pourrait-on pas y soumettre le droit positif des nations, assurer le privilège de la neutralité, insérer l'obligation de ne jamais commencer la guerre qu'après avoir épuisé les moyens qu'une médiation tierce peut offrir, avoir de cette façon mis au jour les griefs respectifs et tâché de les aplanir? C'est sur de semblables principes que l'on pourrait procéder à la pacification générale, et donner naissance...
Page 176 - II. prennent un intérêt tout particulier, il est entendu que les stipulations du présent concert auront leur effet dans le cas que les Français voulussent s'étendre dans le royaume de Naples, au delà de leurs bornes actuelles, pour s'emparer de la capitale, des places fortes de ce pays, pénétrer dans la Calabre; en un mot, s'ils forçaient SM le roi de Naples de risquer le tout pour le tout, et de s'opposer par la force à cette nouvelle violation de sa neutralité , et que SMI de toutes...
Page 267 - En foi de .quoi Nous soussignés, en vertu de nos pleins pouvoirs, avons signé le prése'nt Article séparé et secret et y avons apposé le Cachet de Nos Armes.
Page 141 - Des méditations approfondies sur ces matières et l'expérience des siècles prouvent suffisamment que ces deux résultats ne sauraient être assurés qu'autant que l'ordre social intérieur sera fondé sur une liberté sage qui semble consolider les gouvernements, les entoure d'une certaine barrière contre les passions, l'ambition effrénée ou la démence qui égare souvent les hommes qui se trouvent à leur tête, et qu'en même temps le droit des gens, qui règle les rapports de la fédération...