Page images
PDF
EPUB

3 jours. I1 n'est pas moins vrai, cependant, que ce pacha cherche par toute voie à faire sa paix, et il est possible même qu'il réussisse, puisqu'il paraît très disposé d'accéder à toutes les demandes que ses ennemis lui ont faites. Quoi qu'il en soit, le fils de Hassan Zaparri vient d'arriver, me portant tout ce qu'il faut pour me rassurer des dispositions et du concours des Epirotes. Si les hostilités continuent, il ne tardera pas de partir pour Constantinople où je lui donnerai une direction telle à pouvoir mettre en état Mr d'Italinsky de représenter à la Porte toute l'inconduite d'Ali-pacha et lui prouver par des faits les moins douteux, combien elle doit se méfier de ses intentions. J'en préviens Votre altesse pour qu'elle puisse donner à ce ministre les ordres qu'elle jugera convenables. Je dois de plus informer Votre altesse qu'indépendamment des secours que je me suis mis en mesure de pouvoir tirer de l'Albanie, toutes les fois que le besoin pourra l'exiger, sans constituer la cour pour le moment à des dépenses inutiles, je viens d'arrêter aussi une convention secrète avec les Cimariotes, moyennant laquelle je puis dès ce moment disposer de 2 mille hommes. C'est tout ce que cette province peut offrir en fait d'hommes capables de porter les armes. S. m. i. sera informée par extensum de toutes mes opérations aussitôt que je me verrai en mesure de pouvoir dépêcher un des feldjägers dont l'expédition m'occupe tout entier.

46

Monseigneur, de Votre altesse le très humble et très obéissant serviteur Clo m t el G. Mocenigo

Получено 29 июля 1804 г.

Печат. по подлиннику.

Перевод

Милостивый государь, намерения е. и. в-ва относительно плана установления согласия между народами Эпира 45, с тем чтобы они были в состоянии действовать против Али-паши, в значительной части выполнены. В самом деле, я с удовлетворением могу сообщить Вашей светлости, что, несмотря на все усилия Али-паши помириться с другими пашами, своими врагами, военные действия между ними уже начались три дня назад. Однако не менее верно и то, что этот паша всячески добивается заключения мира, и возможно даже, что это ему удастся, так как похоже, что он весьма склонен согласиться на все требования, предъявляемые его врагами. Как бы то ни было, только что прибывший сын Гассана Запарри доставил мне все нужное для того, чтобы уверить меня в расположении и содействии эпиротов. Если военные действия будут продолжаться, он незамедлительно отправится в Константинополь, и я дам ему такие указания, которые позволили бы г-ну Италинскому показать Порте всю недостойность действий Али-паши и доказать ей с помощью неоспоримых фактов, что его намерения должны внушать ей тревогу. Я предупреждаю об этом Вашу светлость, чтобы Вы могли дать этому посланнику распоряжения, какие Вы сочтете нужным. Кроме того, я должен сообщить Вашей светлости, что независимо от подкреплений, которые я могу получать из Албании всякий раз, как это будет необходимо, не вводя пока двор в излишние расходы, я заключил также секретное соглашение 46 с химариотами, благодаря которому с этого момента буду иметь в своем распоряжении 2 тыс. человек. Большего количества людей, способных носить оружие, данная провинция выставить не может. Е. и. в-во будет осведомлен раг extensum обо всех моих действиях тотчас же, как только я смогу послать одного из фельдъегерей, отправкой которого я целиком занят.

Г-н граф, Вашей светлости нижайший и покорный слуга

Граф Г. Моцениго

Министр иностранных дел Англии Гарроуби
послу России в Лондоне С. Р. Воронцову

26 июня 1804 г.

Соображения английского правительства по вопросу о подготовке коалиции против Франции. Условия предоставления английских субсидий участникам коалиции.

Rose, Select dispatches, p. 14—19.

34. Посланник в Константинополе А. Я. Италинский товарищу министра иностранных дел А. А. Чарторыйскому

17(29) июня 1804 г. Monseigneur, en transmettant à v. ex., par ma dépêche de 3(15) de ce mois*, la lettre38 qui m'a été écrite par les Serviens, j'ai eu l'honneur de lui observer qu'il me paraissait important de s'assurer jusqu'à quel point s'étendaient leurs liaisons avec l'Autriche, et auxquelles le voisinage devait avoir donné lieu.

Il sera aisé à v. ex. d'en juger la nature par les ccmmunications 47 que l'internonce impléria ll et roy [all a faites à la suite d'une estafette qu'il avait reçue de Vienne, et dont le reis-effendi m'a donné connaissance.

Elles portent en substance, que les Serviens avaient fait savoir à sa cour qu'ils étaient déjà maîtres de Sabatz, de Passarovitz et des autres places de la Servie, qu'il ne leur restait plus à prendre que Belgrade, dont ils espéraient être aussi bientôt maîtres, qu'ils offraient de mettre tout le pays et toute la nation sous la protection de la cour de Vienne, et que si elle refusait leurs offres, sous prétexte qu'elle est en paix avec la Porte, ils s'adresseraient alors à une autre puissance.

L'internonce ajouta à cette communication que sa cour, par une suite de son amitié, n'avait pas accepté leurs offres, mais qu'il ne pourrait, cependant, lui convenir que cet état de trouble et de désordre se prolongeât plus longtemps si près de sa frontière, et qu'elle demandait à la Porte d'y remédier le plus tôt possible et de lui donner une réponse sur ce sujet.

Le reis-effendi témoigna à l'internonce la surprise et le mécontentement que lui causait une communication aussi sèche. Il lui observa que sa cour, au lieu d'écouter purement et simplement le langage des Serviens et de le prendre ad referendum, aurait dû, puisqu'elle est amie de la Porte, leur exprimer son refus d'une manière péremptoire et leur remontrer méme l'inconvenance de leurs offres; qu'il lui paraissait fort étrange que les sujets de la Porte offrissent une de ses provinces à des étrangers et que ceux-ci ne trouvassent point l'offre extraordinaire; que ce n'était pas ainsi que la Porte en avait agi, lorsque, pendant la dernière guerre 48 même, les Hongrois et les Transilvains s'étaient adressés à elle et voulaient secouer le joug des Autrichiens pour se mettre sous sa protection; qu'elle leur avait répondu qu'elle ne faisait pas la guerre pour soustraire des sujets à l'obéissance de leur souverain, mais pour avoir la paix et pour obtenir des avantages que le sort des armes et les voies loyales peuvent comporter; que les Serviens avaient sans doute raison d'étre irrités contre les dais de Belgrade, leurs oppresseurs, mais qu'ils avaient étendu leur vengeance sur des innocents; qu'ils avaient partout fait main basse sur les mahométans, violé leurs femmes, détruit leurs mosquées et brûlé leurs villages, que la Porte, cependant, ne s'en était pas plainte et qu'elle continuait à les favoriser comme elle l'avait fait dès le commencement.

Le drogman de l'internonce chercha à justifier le langage de son ministre en disant qu'il ne faisait qu'exécuter les ordres de sa cour, et il pria le reis-effendi de lui donner une réponse officielle pour qu'il pût la transmettre par le retour de l'estafette.

Le reis-effendi, après lui avoir observé qu'il appartenait à un ministre sage et qui connaît les convenances locales à corriger les expressions de sa cour, lorsqu'elles n'y étaient point adaptées, lui dit qu'il donnerait à l'internonce une réponse officielle, mais qu'elle ne différerait point de celle qu'il lui faisait aujourd'hui en son particulier.

Il la donna en effet deux ou trois jours après, mais elle fut un peu différente quant à la forme. Le reis-effendi y mit beaucoup d'aménité. Il répondit que la

* См. док. 29

Porte voyait, dans le refus qu'avait fait la cour de Vienne des offres des Serviens, le témoignage des sentiments d'un bon ami et voisin, qu'elle n'ignorait point, combien la cause des Serviens était juste, qu'elle l'avait favorisée depuis le commencement; que le gouverneur de Bosnie Bekir-pacha, qui était en marche pour se rendre en Servie et méme à Belgrade pour mettre fin à ces troubles, avait ordre de la favoriser aussi, d'expulser de Belgrade les dais qui tyrannisaient ce peuple et de lui procurer toutes les sûretés et les avantages qu'il pouvait raisonnablement désirer.

A la suite de cette information si peu agréable pour la Porte, le ministère ottoman a reçu la nouvelle qu'un des chefs des Serviens nommé Georges, et dont j'ai remarqué que la signature se trouve au bas de la lettre qui m'a été adressée, abandonnant le système de fidélité envers la Porte, auquel dans l'insurrection contre les dais de Belgrade, les Serviens avaient déclaré vouloir se tenir, agit hostilement contre elle-même avec un corps nombreux sous ses ordres. La Porte a dû me taire naturellement cette circonstance fâcheuse pour elle, et j'en ai été prévenu par l'agent du prince Ipsilanty.

Je ne chercherai pas, en ce moment où je rends compte à v. ex. de la démarche de la cour de Vienne, à découvrir les motifs qui ont pu la déterminer, je peux encore moins faire des conjectures sur la marche qu'elle tiendra avec les Serviens après avoir dénoncé leurs intentions, et je me bornerai à informer v. ex., que cette communication de la cour de Vienne, suivie de l'avis de la levée de boucliers contre la Porte méme d'un des chefs de ces populations, a produit dans le ministère ottoman une impression défavorable pour les Serviens en général et déterminé l'expédition au pacha de Bosnie et à d'autres commandants et officiers de la Porte, des ordres pour surveiller leur conduite, pour menacer ces habitants de la colère du sultan, enfin pour faire en sorte de les retenir dans la soumission envers la Porte.

L'agent du prince Ipsilanty, en me donnant ces informations, m'a ajouté qu'il fallait s'attendre que ces dispositions de la Porte seront changées par le caractère des commandants ottomans en mesures de rigueur qui, bien loin d'apporter remède au mal, l'empireront et contribueront à la ruine et à la destruction des Serviens, ou donneront à leur insurrection un caractère beaucoup plus dangereux; qu'il avait fait tout son possible pour tempérer la nature des ordres de la Porte à ses commandants, en prévenant le ministère ottoman des conséquences qui peuvent en résulter pour l'Etat, et quoique les représentations n'aient pas eu un plein succès, elles ont en partie modéré les instructions adressées aux commandants ottomans.

Cette situation des choses nous impose encore plus de ménagement dans une intervention en faveur des Serviens, et surtout dans l'établissement de quelques relations avec eux. Je ne manquerai cependant pas, conformément aux instructions générales de la cour impériale relativement à la manière dont la Porte doit se comporter envers les sujets chrétiens dans les circonstances actuelles, de saisir la première occasion favorable pour entretenir le ministère ottoman de la nécessité de ne pas aigrir l'esprit des Serviens, afin de ne pas les porter au désespoir.

Je persiste toujours à croire que le moment, où ils se seront emparés de Belgrade, sera celui dont ils devront profiter pour réclamer utilement notre intervention.

C'est la première insinuation que je chercherai à leur faire, mais de manière à ne pas nous compromettre avec la Porte.

Je suis...

Получено 12 июля 1804 г.

Печат. по подлиннику.

A. d'Italinsky

[ocr errors]

Перевод

38

,

Ваше сиятельство, направляя Вам с депешей от 3(15)* этого месяца письмо которое было мне адресовано сербами, я имел честь заметить в. с-ву, что мне казалось важным выяснить, насколько далеко зашли их отношения с Австрией, которым должно было способствовать их соседство.

В. с-во сможете составить мнение об их характере из сделанных императорским и королевским интернунцием после прибытия к нему нарочного из Вены сообщений 47, с которыми реис-эфенди ознакомил меня.

Основное содержание их сводится к тому, что сербы сообщили венскому двору, что они уже овладели Шабацем, Пожаревацем и другими крепостями Сербии и им остается только захватить Белград, которым они надеются овладеть в ближайшее время; что они предлагают отдать всю страну и всю нацию под покровительство венского двора и что если последний ответил бы отказом на их предложения под тем предлогом, что он находится в мире с Портой, то они обратились бы тогда к другой державе.

Интернунций добавил к этому сообщению, что его двор по соображениям дружбы не принял их предложения, но что его, однако, не может устраивать, чтобы смута и беспорядки продолжались и далее в такой близости от его границ, и что он просит Порту как можно быстрее покончить с подобным положением и дать ему по этому вопросу ответ.

Реис-эфенди выразил интернунцию удивление и неудовольствие в связи со столь недружелюбным заявлением. Он заметил, что венский двор, вместо того чтобы спокойно выслушивать заявления сербов и принимать их ad referendum, должен был бы, поскольку он является другом Порты, решительно заявить им о своем отказе и даже указать, что им не подобало бы делать подобные предложения; что ему кажется весьма странным, что подданные Порты предложили одну из ее провинций иностранной державе, а последняя вовсе не нашла это предложение необычным. Рейс-эфенди заявил далее, что Порта действовала иначе, когда, даже во время последней войны 48, венгры и трансильванцы обратились к ней и хотели свергнуть австрийское иго, чтобы встать под ее покровительство; она тогда заявила им, что ведет войну не с целью вырвать подданных из повиновения их государю, а с целью установления мира и получения выгод, которые могут быть добыты оружием и честными, законными средствами; что сербы, конечно, были правы, возмутившись против белградских дахиев, их притеснителей, но они распространили свою месть на невинных, истребляли повсюду магометан, бесчестили их жен, разрушали их мечети и сжигали их деревни, но Порта не жаловалась, однако, на это и продолжала благоприятствовать сербам, как она это делала с самого

начала.

Драгоман интернунция попытался оправдать своего посланника, говоря, что, делая это заявление, тот лишь выполнял указания своего двора, и попросил реис-эфенди дать ему официальный ответ, с тем чтобы он мог направить его с возвращавшимся нарочным.

Реис-эфенди заметил ему, что умный дипломат, знающий местные обычаи, должен исправлять формулировки своего двора, когда они совершенно не соответствуют этим обычаям, и заявил, что даст интернунцию официальный ответ, но последний ни в чем не будет отличаться от того, который он дает ему сегодня неофициально.

Действительно, спустя два-три дня он дал ответ, но последний несколько отличался по форме. Реис-эфенди составил его в очень любезных выражениях. Он написал в ответе, что Порта видит в отказе венского двора от предложений сербов свидетельство добрососедских и дружественных чувств, что ей известно, сколь справедливо дело сербов, которому она благоприятствовала с самого начала, что правитель Боснии Бечир-паша, направляющийся в Сербию и даже в Белград с целью положить конец этим волнениям, также имеет повеление благоприятствовать их делу, изгнать из Белграда дахиев, угнетавших этот народ, и обеспечить последнему все гарантии и преимущества, которых он мог справедливо желать.

После этого малоприятного для Порты сообщения оттоманское министерство получило известие о том, что один из сербских вождей, некий Георгий, подпись которого я заметил под письмом, адресованным мне, отказался от политики верности Порте, о желании проводить которую сербы заявляли, поднимая восстание против белградских дахиев, и выступил против самой Порты с большим отрядом, находящимся под его командованием.

Порта вынуждена была, естественно, умолчать об этом досадном для нее обстоятельстве, о котором я был извещен представителем князя. Ипсиланти.

Сейчас, сообщая в. с-ву о демарше венского двора, я не ставлю перед собой задачу выяснить мотивы, которые определили его решение, и тем более не могу делать предположения относительно образа действий, которого он будет придерживаться в отношениях с сербами, после того как он разгласил их намерения; я ограничусь тем, что доведу до сведения в. с-ва о том, что это сообщение венского двора и последовавшее вслед за этим известие о вооруженном выступлении против самой Порты одного из вождей этих народов произвело в оттоманском министерстве впечатление, в целом неблагоприятное для сербов, и в результате паше Боснийскому и другим военачальникам и должностным лицам Порты были отправлены распоряжения следить за их действиями и пригрозить местным жителям гневом султана щем сделать все для того, чтобы удержать их в подчинении Порте.

[ocr errors]

в об

Представитель князя Ипсиланти, информировав меня об этом, добавил, что следует ожидать, что эти распоряжения Порты в связи с известным характером оттоманских военачальников превратятся в суровые меры, которые не только не исправят зло, а усугубят его, будут способствовать разорению и истреблению сербов или придадут их восстанию гораздо более опасный характер; что он сделал все возможное для того, чтобы смягчить характер распоряжений Порты ее военачальникам, предупредив оттоманское министерство о последствиях, которые могут явиться результатом этого для государства, и хотя эти представления не имели полного успеха, но благодаря им инструкции, посланные оттоманским военачальникам, были несколько смягчены.

Такое положение вещей заставляет нас соблюдать еще большую осторожность при ходатайствах в пользу сербов и особенно при установлении каких-либо связей с ними. Однако в соответствии с общими инструкциями императорского двора относительно образа действий Порты по отношению к христианским подданным в настоящих условиях я не премину использовать первый благоприятный случай для того, чтобы заявить оттоманскому министерству о необходимости не ожесточать сербов, чтобы не довести их до отчаяния.

Я по-прежнему считаю, что сербы должны использовать захват Белграда как благоприятный момент для того, чтобы потребовать нашего посредничества.

Это первое, что я попытаюсь им внушить, но таким образом, чтобы не испортить наших отношений Портой.

Пребываю...

А. Италинский

Посол в Лондоне С. Р. Воронцов

товарищу министра иностранных дел А. А. Чарторыйскому

17(29) июня 1804 г.

Сообщает о своих беседах с Питтом и Гарроуби по вопросам противодействия намерениЯм Франции в отношении Турции и Королевства Обеих Сицилий и предоставления Англией субсидий участникам коалиции против империи Наполеона I.

Арх. Воронцова, кн. ХѴ, стр. 215-221.

35. Товарищ министра иностранных дел А. А. Чарторыйский
поверенному в делах в Париже П. Я. Убри

22 июня (4 июля) 1804 г.

Monsieur, nous aurions désiré, il est vrai, que Vous tenant strictement à Vos instructions*, après avoir reçu du gouvernement français une réponse 28 à Votre offices, que Vous avez jugé Vous-méme d'un contenu à blesser la dignité de s. m., Vous eussiez persévéré dans notre résolution de demander Vos passeports et de remettre la note qui Vous avait été envoyée éventuellement d'ici à cet effet. Cette démarche de Votre part nous aurait mis fort à l'aise en coupant court à une guerre de plumes désagréable et entièrement inutile. Elle n'aurait nullement été le signal d'une guerre immédiate, car cesser de correspondre ne comporte pas la nécessité absolue de commencer à se battre.

En suivant à la lettre les ordres qui Vous furent transmis, Vous auriez mis la France dans l'obligation de faire les premiers pas vers un rapprochement avec nous (en cas qu'elle trouvât de son intérêt de prévenir la rupture à laquelle elle nous voyait décidés) et les griefs que nous avons à sa charge étant amplement détaillés dans la seconde note que Vous étiez chargée de présenter, elle se trouverait alors dans la nécessité de proposer leur redressement et, par cela même, en convenant de notre droit à l'exiger, se mettre dans l'impossibilité de ne point remplir, si ce n'est la totalité, du moins une partie des engagements qu'elle avait contractés. Ou bien, en Vous remettant Vos passeports, elle nous aurait fait atteindre incontinent notre but de ne plus être en relation avec un gouvernement sanguinaire qui venait de se souiller d'un crime odieux, et dont la conСм. док. 6.

« PreviousContinue »