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1877 gewiss nicht unterlassen, jede Gelegenheit wahrzunehmen, um ein Uebereinkommen zu erzielen, welches eine raschere und einfachere Gebahrung auf dem Gebiete der wechselseitigen Rechtshilfe ermöglicht

Es ist aber derzeit nicht in der Lage, Abhilfe zu bieten, und muss vielmehr die sorgfältigste Beobachtung der für Requisitionen erlassenen Bestimmungen als das unter den gegebenen Verhältnissen fördersamste Mittel empfehlen, weitere Verzögerungen und Schwierigkeiten zu vermeiden.

Was die in dieser Beziehung gestellten Anfragen anbelangt, so ist zuvörderst als selbstverständlich zu betonen, dass die von der kaiserlich russischen Regierung getroffenen Anordnungen in keiner Weise auf die Bestimmungen des Staatsvertrages vom 15./3. October 1874, R. G. B. 128 vom Jahre 1875, abändernd einwirken können. Es wird demnach bei allen Requisitionen, welche auf Grund des Artikels XIII dieses Staatsvertrages in einer mit einem Auslieferungsbegehren zusammenhängenden nichtpolitischen Strafsache zu stellen sind, in Gemässheit des Artikels XVII genügen, wenn den Actenstücken oder Urkunden, welche nicht ohnehin in deutscher Sprache abgefasst sind, eine deutsche Uebersetzung beigegeben und sie sohin behufs diplomatischer Vermittlung von dem Ober- Landesgerichte dem Justizministerium vorgelegt werden.

Ebenso bleibt der Schlusssatz des Artikels X vollkommen unberührt.

Hinsichtlich aller jener von den k. k. österreichischen Gerichten an kaiserlich russische Gerichte zu stellenden Requisitionen aber, welche eine nicht mit einem Auslieferungsbegehren zusammenhängende Strafsache oder einen Act der Rechtshilfe auf dem Gebiete der Civilrechtspflege zum Gegenstande haben, muss fortan in Gemässheit der mit dem Justizministerial-Erlasse vom 10. Januar 1877, Zahl 317, dem Ober- Landesgerichte bekanntgegebenen Einrichtungen der russischen Regierung vorgegangen werden.

Alle derartigen, an das competente kaiserlich russische Gericht auszufertigenden Ersuchschreibem können daher ausnahmslos nur mehr auf diplomatischen Wege befördert werden und sind demgemäss stets von den ansuchenden Gerichten erster Instanz dem vorgesetzten Ober-Landesgerichte und von diesem dem Justizministerium vorzulegen. Sie sind immer mit den russischen Uebersetzungen zu belegen, und es ist, um Anstände, die wiederholt vorkommen, zu vermeiden, das Originalschreiben mit der Legalisirung zu versehen. Ist dieses Schreiben nicht in deutscher Sprache abgefasst, so ist in Gemässheit der

bereits früher bestandenen Anordnungen immer auch noch eine 1877 deutsche Uebersetzung behufs Information unserer auswärtigen Vertretung beizulegen.

Handelt es sich aber um die Beantwortung einer von einem kaiserlich russischen Gerichte an ein k. k. österreichisches Gericht gestellten Requisition oder um einen von einem k. k. österreichischen Gerichte einer kaiserlich russischen Behörde auch ohne Requisition zu leistenden Act der Rechtshilfe, wie z. B. Mittheilung der Todesfallacten über einen hier verstorbenen Staatsangehörigen oder der Acten über die Erhebung des Geisteszustandes eines hier befindlichen russischen Angehörigen, so besteht kein Anlass, den diesbezüglichen Actenstücken russische Uebersetzungen beizulegen.

Wohl aber sind auch solche Schreiben und Actenstücke mit der Legalisirung und, falls sie nicht in deutscher Sprache abgefasst sind, mit einer deutschen Uebersetzung zu versehen und zur Beförderung auf diplomatischem Wege vorzulegen. Es wird übrigens gleichzeitig an das k. und k. Ministerium des Aeussern das Ansuchen gestellt, der russischen Regierung zu eröffnen, dass ihre Gerichte allen für die k. k. österreichischen Gerichte bestimmten Ersuchschreiben, auf welche nicht die Artikel XIII und XVII des Auslieferungsvertrages Anwendung finden, jedenfalls eine deutsche Uebersetzung beizufügen hätten.

Die hierüber von der russischen Regierung zu gewärtigende Erklärung wird seinerzeit dem k. k. Ober-Landesgerichte zur Kenntniss gebracht werden. Bis dahin ist auf russische Ersuchschreiben nach Thunlichkeit Bedacht zu nehmen. Das k. k. OberLandesgericht wird ermächtigt, falls es dies für nothwendig erachtet, den unterstehenden Gerichten im Sinne dieser Erklärungen angemessene Belehrung zu ertheilen, und ersucht, die genaue Beobachtung dieser Bestimmungen zu überwachen.

962.

20 mars 1877.

Circulaire du ministère Imp. et R. des affaires étrangères concernant les soins à prendre dans la correspondance officielle et l'expédition des dépêches.

(Archives du ministère Imp. et R. des affaires étrangères.) Circulare des k. u. k. Ministeriums des Aeussern vom 20. März 1877 Z. 4322/II.

Bei der grossen Geschäftsanhäufung böte es dem k. u. k. Ministerium eine wesentliche Erleichterung und Zeitersparniss, wenn Berichte, welche Depeschen beantworten oder mit solchen

1877 in Bezichung stehen, die letzteren durch Angabe des Datums und summarische Berührung des Gegenstandes genau bezeichnen würden. Man beehrt sich demnach das k. u. k Consular-Amt dienstfreundlichst zu ersuchen, darauf Bedacht nehmen zu wollen.

Das k. u k. Ministerium kann nicht umhin, die gefällige Aufmerksamkeit der Herren Missions-Chefs darauf zu lenken, dass bei einigen Missionen Vernachlässigungen in der Expedition, sowohl der politischen als administrativen Piecen vorkommen und hiemit das Ersuchen zu verbinden, persönlich und durch Vermittlung der Herren Kanzlei-Chefs strenge darüber wachen zu wollen, dass der Schrift, Orthographie, Datirung, Nummerirung, Litterirung, endlich dem Anschlusse der Beilagen eine grosse Sorgfalt gewidmet werde.

963.

29 mars et 7 avril 1877.

Correspondance avec l'Italie à l'égard du procès-verbal de la Conférence internationale pour la détermination du point de jonction du chemin de fer de la Pontebba à la frontière Italo-Autrichienne.

(Archives du ministère Imp. et R. des affaires étrangères.)

D'après les intelligences prises entre les deux Gouvernements Italien et Autrichien, les Délégués soussignés se sont réunis le 2 courant à Pontebba afin de fixer les conditions techniques du point de réunion du chemin de fer de Udine à Tarvis, à la frontière des deux Etats.

Ayant examiné les plans élaborés des deux côtés pour faire arriver la ligne à la frontière, et après avoir parcouru la localité, ils se sont arrêtés aux conclusions suivantes.

La direction de la ligne traversant le torrent Pontebba reste fixée comme sur le plan annexé au présent procès verbal; cette ligne est droite sur toute la traversée du torrent, et le point de jonction est fixée en plan au milieu de la largeur de ce torrent, soit à une distance de 16 73 m des arêtes intérieures actuelles de l'une et de l'autre digne. Pour fixer la hauteur de ce point on est d'abord convenu que la perte de 16 per %0 du côté de l'Italie cessera à la distance de 47 30 m du point de frontière ci-dessus indiqué. De ce point la ligne sera horizontale sur une longueur de 70 00 m soit jusqu'à la distance de 22 70 m de la frontière sur le territoire Autrichien. Ensuite on arrivera au palier de la Station de Pontafel en suivant une rampe qui n'excède point le 16 per % et en faisant un raccord convenable

avec l'horizontale du pont. En raison de ce profil la quote de la 1877 table supérieure des rails au point de jonction sur le milieu du torrent resulte de 567 07 m. Cette quote est en relation avec celle du point de repère indiqué sur le plan à la tête du pont de la route postale en amont, sur la rue droite. La hauteur de ce point de repère au dessus du niveau de la mer est convenue de 564 51 m.

Il reste entendu que la largeur de la voie au point de réunion sera de 1 445 m. entre les faces intérieures des rails; les rails des deux Etats seront réunis au point de frontière par un joint suspendu, formé d'éclisses spéciales, à frais commun.

Il est aussi entendu que l'axe qui vient d'être déterminé formera le milieu de la voie unique, et que, quand il s'agira de construire, une seconde voie, celle-ci sera posée en oval de cet axe, et dans ce cas la distance des axes des deux voies sera de 3.60 m. Le torrent sera traversé au moyen d'un pont en fer en une seule travée de la largeur nette de 450 m. posée sur deux culées en maçonnerie,

Chaque état construira lui même la culée qui se trouve de son côté, et les Ingénieurs locaux se mettront d'accord pour construire les deux culés sur le même type, en observant de faire le pavement intérieur des culées parallèle à celui des dignes actuelles, en relief de 0 10 m et avec les arêtes verticales taillées en biseau.

Quant à la travée métallique on reconnait qu'il est nécessaire qu'elle soit faite et posée par le Gouvernement Autrichien, auquel l'Italie payera la moitié de la dépense.

Les rails sur le pont seront posés sur traverses; chaque administration pourvoira les rails et les traverses jusqu'au point de frontière.

Sous réserve de ratification de la part des deux Gouver

nements.

Fait à Venise, le 6 février 1877

Le Délégué du Gouvernement Autrichien: signé Lott.
Le Délégué du Gouvernement Italien: signé F. Biglia.

Le comte Robilant au Comte Andrássy:

19 mars 1877.

Le Gouvernement du Roi, mon Auguste Souverain, m'a chargé d'annoncer à V. E. qu'il a approuvé les délibérations prises par Mr. Biglia, délégué du Gouvernement Royal d'Italie et Mr. Lott, délégué du Gouvernement I. et R. Austro-Hongrois, au sujet des modalités techniques pour la conjonction des deux réseaux des chemins de fer Italien et Austro-Hongrois à la Pontebba et consignées dans le procès-verbal en date de Venise,

X. Recueil.

5

1877 6 février 1877, dont copie est ci-jointe. En conséquence je suis autorisé à déclarer officiellement à V. E., contre l'échange d'une déclaration analogue de la part du Gouvernement I. et R., que le Gouvernement Royal accepte en entier les stipulations contenues dans le susdit procès-verbal. Bien entendu que les intelligences consignées dans ce document ne visent que le point de vue technique de la dite jonction, vu que la solution des différentes autres questions existantes par rapport aux chemins de fer des deux Etats a été d'un commun accord réservée aux négociations définitives du traité de commerce. Je saisis etc.

Le comte Andrássy au Comte Robilant:

7 avril 1877.

Après avoir communiqué au ministre I. R. du commerce le contenu de la note que V. Ê. m'a fait l'honneur de m'adresser le 19 mars dernier, concernant le procès-verbal dressé à Venise, le 6 février p., par les délégués Austro-Hongrois et Italien chargés d'arrêter le point de jonction des deux lignes du chemin de fer entre Tarvis et Udine, je suis maintenant a même de vous informer, Monsieur le Comte, que le Gouvernement de Sa Majesté I. et R. Ap. approuve aussi de son côté, les dispositions techniques relatives au point de jonction et au pont à construire sur la torrent de Pontebba, consignées dans le dit procès-verbal, à condition toutefois, que les deux Gouvernements parviennent à s'entendre sur les autres modalités du raccordement à régler par un traité formel.

Vu l'urgence des diverses constructions à faire sur cette route, il importe d'accélérer autant que possible la réalisation d'un pareil traité, et le Gouvernement I. et. R. se réserve de faire prochainement au Gouvernement Royal une proposition à cet effet. Je saisis etc.

964.

20 mars 1877.

Ordonnance du ministère Imp. R. du commerce concernant l'accession de l'Égypte à la convention télégraphique internationale de St. Pétersbourg.

(T. V. Bl. 1877, Nr. 4.) Beitritt Egyptens zum internationalen Telegraphen - Vertrage, Z. 7257. Die egyptische Regierung ist laut ihrer an die kaiserlichrussische Regierung abgegebenen Erklärung vom 21. December 1876 dem internationalen Telegraphen-Vertrage ddo. St. Petersburg, den 10./22. Juli 1875 beigetreten.

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