Oeuvres complètes, Volume 2J.-J. Benichet aîné, 1810 - French literature |
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... douleur même qu'il montrait en se servant des avantages que lui donnaient le zèle trop ardent et le style quelquefois amer de ce prélat , toutes ces raisons réunies donnaient du poids à ses défenses . Ses malheurs mê- mes , et l ...
... douleur même qu'il montrait en se servant des avantages que lui donnaient le zèle trop ardent et le style quelquefois amer de ce prélat , toutes ces raisons réunies donnaient du poids à ses défenses . Ses malheurs mê- mes , et l ...
Page 61
... douleur et d'inquiétude dans son commencement . Ce saint et glorieux ouvrage , dont le suc- cès intéressait également la religion et l'état , le sacerdoce et l'empire , est le fruit pré- cieux de leur parfaite intelligence . Jamais les ...
... douleur et d'inquiétude dans son commencement . Ce saint et glorieux ouvrage , dont le suc- cès intéressait également la religion et l'état , le sacerdoce et l'empire , est le fruit pré- cieux de leur parfaite intelligence . Jamais les ...
Page 76
... douleur il remarquait dans ses écrits des principes extrêmement opposés à ceux de saint Augustin , à qui les papes nous renvoient pour apprendre de lui uelle est la doctrine de l'église romaine . touchant le mystère de la grâce ...
... douleur il remarquait dans ses écrits des principes extrêmement opposés à ceux de saint Augustin , à qui les papes nous renvoient pour apprendre de lui uelle est la doctrine de l'église romaine . touchant le mystère de la grâce ...
Page 110
... douleur ; jamais rien ne fut plus éloigné des phrases brillantes du bel esprit . Hercule et Philoctete parlent ,, avec la même douleur vive et simple dans ,, Sophocle " . De tels spectacles pourraient , selon M. de Fénélon , être très ...
... douleur ; jamais rien ne fut plus éloigné des phrases brillantes du bel esprit . Hercule et Philoctete parlent ,, avec la même douleur vive et simple dans ,, Sophocle " . De tels spectacles pourraient , selon M. de Fénélon , être très ...
Page 133
... douleur de ce ,, qui nuit tant à l'église . Je vous dirai même , » par une simplicité de confiance , ce que d'autres que vous ne croiraient pas facile- ,, ment ; c'est que je suis véritablement affligé ,, pour la personne de M. le ...
... douleur de ce ,, qui nuit tant à l'église . Je vous dirai même , » par une simplicité de confiance , ce que d'autres que vous ne croiraient pas facile- ,, ment ; c'est que je suis véritablement affligé ,, pour la personne de M. le ...
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Common terms and phrases
aimer amis autorité avez Avez-vous Beauvilliers besoin bonté brai cardinal de Noailles choses cœur condamnation confiance consolation demander desirer devant devoir Dieu diocèse dire doctrine doit donner douleur duc de Bourgogne écrits écrivit esprit évêques Fénélon fesait gens gloire goût grace guerre hommes j'ai jamais Jesus-Christ juger l'abbé l'amour l'archevêque de Cambrai l'autorité l'église l'état laisser lettre liberté livre loix Louis XIV madame de Maintenon madame Guyon mandement Meaux ment ministres modération monde monseigneur montrer n'avait N'avez-vous nation nécessaire ouvrage paix pape parler paroles passions pasteurs père personne peuples piété ples pré prélat prendre prévenir prier prince public puissance qu'à qu'un quiétisme raison Ramsai religion rien sage saint Augustin secret sentimens sentir serait seul sincère sion souffrir soumission soutenir sujets talens tion trouve vérité vertu Voilà voulait vrai zèle دو دو دو دو رو دو وو رو دو رو وو وف وو دو وو وو
Popular passages
Page 107 - En pensant bien, il parle souvent mal; il se sert des phrases les plus forcées et les moins naturelles. Térence dit en quatre mots, avec la plus élégante simplicité, ce que celuici ne dit qu'avec une multitude de métaphores qui approchent du galimatias.
Page 101 - Tout le discours est un ; il se réduit à une seule proposition mise au plus grand jour par des tours variés.
Page 360 - Les traités de paix ne couvrent rien lorsque vous êtes le plus fort, et que vous réduisez vos voisins à signer le traité pour éviter de plus grands maux : alors ils signent comme un particulier donne sa bourse à un voleur qui lui tient le pistolet sous la gorge.
Page 182 - J'ai souffert bien des maux depuis ; mais un des plus grands a été celui de ne pouvoir point vous témoigner ce que je sentais pour vous pendant ce temps, et que mon amitié augmentait par vos malheurs au lieu d'en être refroidie. Je pense, avec un vrai plaisir, au temps où je pourrai vous revoir, mais je crains que ce temps ne soit encore bien loin. Il faut s'en remettre à la volonté de Dieu, de la miséricorde duquel je reçois toujours de nouvelles grâces.
Page 370 - Avez-vous fait justice au mérite de tous les principaux sujets que vous pouviez mettre dans les emplois ? En ne faisant pas justice aux particuliers sur leurs biens, comme sur leurs terres, sur...
Page 94 - Amyot, dans le cardinal d'Ossat, dans les ouvrages les plus enjoués, et dans les plus sérieux : il avoit je ne sais quoi de court, de naïf, de hardi, de vif et de passionné. On a retranché , si je ne me trompe, plus de mots qu'on n'en a introduit. D'ailleurs je voudrais n'en -perdre aucun, et en acquérir de no'uveaux. Je voudrais autoriser tout terme qui nous manque, et qui a un son doux, sans danger d'équivoque.
Page 395 - ... de toutes les autres lois. Celui qui gouverne doit être le premier et le plus obéissant à cette loi primitive ; il peut tout sur les peuples, mais cette loi doit pouvoir tout sur lui. Le père commun de la grande famille ne lui a confié ses...
Page 248 - Accordez à tous la tolérance civile , non en approuvant tout comme indifférent , mais en souffrant avec patience tout ce que Dieu souffre , et en tâchant de ramener les hommes par une douce persuasion.
Page 108 - Un autre défaut de Molière, que beaucoup de gens d'esprit lui pardonnent et que je n'ai garde de lui pardonner, est qu'il a donné un tour gracieux au vice, avec une austérité ridicule et odieuse à la vertu.
Page 398 - ... gouverner? Pour parler franchement, les hommes sont fort à plaindre d'avoir à être gouvernés par un roi qui n'est qu'homme semblable à eux ; car il faudrait des dieux pour redresser les hommes.