Le régne d'Alexandre Ier: La bastile Russe et la révolution en marche (1801-1812)Plon-Nourrit, 1923 - Russia |
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Affaires étrangères Alexandre Ier allait allié Ancienne Russie anglais Araktchéiév Archives russes Archives Vorontsov assurément aurait Austerlitz Autrichiens Bennigsen Berlin Catherine Caulaincourt Champagny Comité secret complet des lois comte comtesse Conseil de l'empire Correspondance Czartoryski d'Alexandre d'autres décembre dessein devait Diérjavine donner duché de Varsovie Élisabeth engagé Erfurt faisait fils de Paul Finlande Frédéric-Guillaume Friedland gouvernement grand-duc NICOLAS grande-duchesse guerre Hardenberg Harpe homme ibid Kotchoubey Kourakine Koutousov l'alliance l'Angleterre l'Autriche l'empereur l'impératrice laissait lui-même maître Markov MARTENS Memel Mémoires ment Metternich ministre n'était Napo Napoléon Narychkine négociation Nesselrode Niémen Novossiltsov Oubril oukase passer Paul Stroganov pays Pétersbourg Petrograd politique Pologne polonaise porté premier Consul prince princesse projet Prusse prussienne raison rapport Rastoptchine Recueil complet réforme régime Relations diplomatiques roubles Roumiantsov s'en s'est Savary Sbornik SCHILDER Sénat serait serfs seulement Souvenirs souverain Spéranski suiv Talleyrand tard TATICHTCHEV Tchernichev Tilsit tion Tolstoy traité trouvait tsar Varsovie WALISZEWSKI
Popular passages
Page 146 - C'est sur de semblables principes que l'on pourrait procéder à la pacification générale, et donner naissance à une ligue dont les stipulations formeraient^ pour ainsi dire, un nouveau code du droit des gens, qui, sanctionné par la plus grande partie des Etats de l'Europe, deviendrait sans peine la règle immuable des cabinets, d'autant que ceux qui prétendraient l'enfreindre risqueraient d'attirer sur eux les forces de la nouvelle union.
Page 146 - Pourquoi ne pourrait-on pas y soumettre le droit positif des nations, assurer le privilège de la neutralité, insérer l'obligation de ne jamais commencer la guerre qu'après avoir épuisé les moyens qu'une médiation tierce peut offrir, avoir de cette façon mis au jour les griefs respectifs ; et...
Page 146 - Ce n'est point le rêve de la paix perpétuelle qu'il s'agit de réaliser; cependant on se rapprocherait sous plus d'un rapport des résultats qu'il annonce, si dans le traité qui terminerait la guerre générale on parvenait à fixer sur des principes clairs et précis les prescriptions du droit des gens. Pourquoi ne pourrait-on pas y soumettre le droit positif des nations, assurer le privilège de la neutralité, insérer l'obligation de ne jamais commencer la guerre qu'après...
Page 135 - I", on eût eu connaissance que les auteurs du complot se trouvaient à une lieue des frontières, on n'eût pas été empressé de les faire saisir.
Page 24 - ... d'avoir plus d'esprit que l'empereur Alexandre; mais à cet esprit il manque une pièce, et il m'est impossible de découvrir laquelle ». Enfin, un Français qui l'avait bien connu, La Ferronayes, disait de lui : « Derrière l'abandon apparent de l'empereur, il ya toujours de la ruse et du calcul. La profonde dissimulation est peut-être chez lui moins une étude et un défaut qu'une vertu accessoire et pour ainsi dire une conséquence des inconséquences de son caractère ». ANNEXE II LE...
Page 441 - ... rang. Elle n'est ni intrigante, ni malfaisante, ni vindicative. Ce n'est point une Pompadour, ce n'est point une Montespan, c'est plutôt une la Vallière, hormis qu'elle n'est pas boiteuse et que jamais elle ne se fera carmélite.
Page 228 - Dieu nous a sauvés: au lieu de sacrifices, nous sortons de la lutte avec une sorte de lustre. Mais que direz-vous de tous ces événements! Moi, passer mes journées avec Bonaparte, être des heures entières tête à tête avec lui? Je vous demande un peu si tout cela n'a pas l'air d'un rêve.
Page 240 - Savez-vous, maman, que cet homme me paraît comme un séducteur libertin qui, de gré ou de force, fait passer toutes les belles dans ses bras ; la Russie, comme la plus vertueuse, s'est longtemps défendue» mais elle a franchi le pas comme une autre et c'est peut-être autant à la séduction qu'à la force qu'elle a cédé dans la personne de l'Empereur. Il a un secret attrait pour son séducteur qui perce dans tout.
Page 233 - Napoléon est plutôt prêt à déclarer, dans un article secret, que ce mariage que l'on a cru être dans sa pensée n'est point dans sa politique et que quand il y...