Histoire populaire du Consulat, de l'Empire et des Cent jours (de 1799 à 1815): (Veillées de Simon le Pauvre.)

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Martinon, 1851 - 343 pages
 

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Popular passages

Page 218 - Considérant qu'au lieu de régner dans la seule vue de l'intérêt, du bonheur et de la gloire du peuple français, aux termes de son serment, Napoléon a mis le comble aux malheurs de la patrie, par son refus de...
Page 52 - Le peuple veut l'hérédité de la dignité impériale dans la descendance directe, naturelle, légitime et adoptive de Napoléon Bonaparte, et dans la descendance directe, naturelle et légitime de Joseph Bonaparte et de Louis Bonaparte, ainsi qu'il est réglé par le sénatus-consulte organique du 28 floréal an xii.
Page 144 - Soldats! voilà la bataille que vous avez tant désirée ! Désormais la victoire dépend de vous ; elle nous est nécessaire , elle nous donnera l'abondance, de bons quartiers d'hiver et un prompt retour dans la patrie...
Page 177 - La victoire a conduit les armées alliées sur votre frontière ; elles vont la franchir. » Nous ne faisons pas la guerre à la France ; mais nous repoussons loin de nous le joug que votre gouvernement voulait imposer à nos pays , qui ont les mêmes droits à l'indépendance et au bonheur que le vôtre. » Magistrats, propriétaires, cultivateurs, restez...
Page 117 - Les préceptes de la religion catholique; 2° La fidélité à l'empereur, à la monarchie impériale, dépositaire du bonheur des peuples, et à la dynastie napoléonienne, conservatrice de l'unité de la France et de toutes les idées libérales proclamées par les constitutions...
Page 218 - Qu'il a anéanti la responsabilité des ministres, confondu tous les pouvoirs, et détruit l'indépendance des corps judiciaires ; « Considérant que la liberté de la presse, établie et consacrée comme l'un des droits de la nation, a été constamment soumise à la censure...
Page 216 - Vos magistrats seraient traîtres envers vous et la patrie, si, par de viles considérations personnelles, ils comprimaient plus longtemps la voix de leur conscience. Elle leur crie que vous devez tous les maux qui vous accablent à un seul homme. » C'est lui qui, chaque année, par la conscription, décime nos familles. Qui de nous n'a perdu un fils, un frère, des parents, des amis?
Page 50 - Non , je ne puis consentir à regarder ce bien si universellement préféré à tous les autres , sans lequel tous les autres ne sont rien , comme une simple illusion ; mon cœur me dit que la liberté est possible, que le régime en est facile , et plus stable qu'aucun gouvernement arbitraire, qu'aucune oligarchie.
Page 224 - SM l'Empereur Napoléon renonce pour lui, ses successeurs et descendants, ainsi que pour chacun des membres de sa famille, à tout droit de souveraineté et de domination, tant sur l'empire français et le royaume d'Italie, que sur tout autre pays.
Page 266 - Soldats fédérés , s'il est des hommes nés dans les hautes classes de la société qui aient déshonoré le nom français , l'amour de la patrie et le sentiment de l'honneur national se sont conservés tout entiers dans le peuple des villes, les habitans des campagnes et les soldats de l'armée.

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