Recueil des travaux, Volume 5 |
Contents
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Common terms and phrases
actionnaires agricole agriculture améliorations Angerville arpens Arrondissement Arrondissement de Bernay Arrondissement de Louviers Arrondissement de Pont-Audemer Arrondissement des Andelys assolemens avantages baron Bignon Bernay besoin bestiaux Bourth Campigny charrue Grangé civilisation classes concours de charrues Conseil d'administration Conseil général cultivateurs culture d'Evreux décerné département de l'Eure dépenses donner élémens enfans Evreux ferme-modèle greffes hommes industrie intérêts j'ai jour jury l'agriculture l'art l'assolement triennal l'établissement l'industrie l'instruction labour laisse liberté lois long-tems Louviers Louxor lutte maire malade médaille d'or médecine Membres mémoire ment Messieurs Monpou moyens nation nombre Nonancourt observations Passy pâturages peuple physique plantes Pluchet Pont-Audemer pouces première présente Président produits progrès propriétaire puisse quinine Rancé rapport récoltes Reinette reste résultats richesses Rouen sangsues science séance générale séance publique Secrétaire section Seine-Inférieure semoir sentiment sera seront seulement siècle Société libre d'Agriculture Sourdon succès suivant tems terrains terre tion travaux tribune trouve tumeur utile vaccin vaines pâtures versoir
Popular passages
Page 408 - Il s'agit uniquement de leur transmettre, d'un centre commun, les moyens de travail et de succès qui ne sauraient leur venir d'ailleurs, et de recueillir, à ce même centre, les fruits de leur activité, pour les répandre dans une sphère étendue.
Page 408 - Au moment où l'instruction populaire se répand de toutes parts, et où les efforts dont elle est l'objet amènent, dans les classes nombreuses qui sont vouées au travail manuel , un mouvement d'esprit énergique, il importe beaucoup que les classes aisées, qui se livrent au travail intellectuel , ne se laissent point aller à l'indifférence et à l'apathie. Plus l'instruction élémentaire deviendra générale et active, plus il est nécessaire que les hautes études , les grands travaux scientifiques...
Page 455 - L'Académie, qui ne prescrit aucun système, déclare aussi qu'elle n'entend pas adopter tous les principes des ouvrages qu'elle couronnera.
Page 454 - Les auteurs sont priés d'écrire en francais ou en latin , etde faire remettre une copie bien lisible de leurs ouvrages. Ils écriront au bas une sentence ou devise , et joindront un billet séparé et cacheté portant la même sentence , et renfermant leur nom , leurs qualités et leur demeure. Ils adresseront les lettres et paquets...
Page 405 - Recueil de la Société libre d'agriculture, sciences, arts et belles -lettres du département de l'Eure , nos 17, 18 et 19.
Page 408 - ... et fugitifs. De là, aussi, l'indifférence du public qui , n'étant point tenu au courant des efforts des hommes éclairés dont se composent les sociétés savantes, ne les seconde pas* de son influence, et laisse périr trop souvent des germes heureux qui méritaient qu'on prît soin de leur développement. Combien de nobles espérances, combien d'utiles tentatives sont ainsi demeurées infructueuses ! Les esprits les plus actifs se refroidissent, la tristesse et le découragement s'emparent...
Page 456 - Chaque ouvrage devra porter en tête une devise qui sera répétée sur un billet cacheté , contenant le nom et le domicile de l'auteur. Le billet ne sera ouvert que dans le cas où le prix serait remporté. Cette ouverture sera faite par M.
Page 202 - Ceux qui retiraient de leurs biens cinq cents mesures de fruits liquides ou secs payaient au public un talent ; ceux qui en retiraient trois cents mesures devaient un demi-talent ; ceux qui avaient deux cents mesures payaient dix mines, ou la sixième partie d'un talent ; ceux de la quatrième classe ne donnaient rien. La taxe était juste, quoiqu'elle ne...
Page 202 - La taxe était juste, quoiqu'elle ne fût point proportionnelle : si elle ne suivait pas la proportion des biens, elle suivait la proportion des besoins. On jugea que chacun avait un nécessaire physique égal; que ce nécessaire physique ne devait point être taxé ; que l'utile venait ensuite, et qu'il devait être taxé, mais moins que le superflu ; que la grandeur de la taxe sur le superflu empêchait le superflu1.
Page 155 - Le premier et le troisième furent administrés froids; le second fut chauffé au bain-marié , en tenant la bouteille bouchée. Tous les trois occasionnèrent de fortes convulsions , des contractions violentes des membres ; les yeux devinrent fixes, les pupilles furent dilatées. A la suite le malade se trouva mieux et put se lever , ce qu'il avait été dans l'impossibilité de faire depuis un an. Un quatrième lavement , composé comme les...